Découvrez 5 conseils lecture jeunesse
Découvrez 5 conseils lecture jeunesse
Un roman jeunesse qui se lit facilement. J'aime beaucoup la jeune héroïne qui va devoir faire des pieds et des mains pour survivre dans cet environnement angoissant et mortel. L'histoire est originale et m'a vraiment happée au côté de Sophie. Les rebondissements ne manquent pas, le suspense non plus, et le tout, saupoudré de personnages parfois horripilant ou amusant, donne un roman que j'ai vraiment aimé lire et découvrir !
Il y a une question que tout le monde se pose : où est passé la chaussette manquante ? A partir de là, ce roman jeunesse crée une histoire drôle, fun et pleine d'aventures. Les personnages sont sympathiques. Les intraterrestres font des fautes mais le dosage ne gène pas la lecture. On passe un très bon moment. La combinaisons de tous les éléments arrive à créer de l'originalité à partir d'une situation qu'on pense avoir vu et revu (le pauvre gamin qui part dans une horrible pension où il sera maltraité). Une réussite qui fait passer un bon moment.
Ce roman jeunesse est une histoire encore meilleure que le premier tome : c'est très drôle, fun et plein d'aventures. Les personnages sont excellents. Les intraterrestres font des fautes mais le dosage ne gène pas la lecture et contient même quelques perles comme le kilékonsuila et sa définition. On passe un très bon moment et puis c'est intelligent. Les enfants ne sont pas pris pour des idiots et certaines figures de style sont prétextes dissimulés pour enrichir sont vocabulaires.
Hâte d'avoir le tome 3.
Il est très rare qu'après une lecture je ne sache point comment me positionner, ou plutôt que je me sente mal à l'aise de n'avoir pas su apprécier un roman. Quand je n'aime pas, je n'aime pas et puis voilà, pas de chichi, on passe au suivant en espérant mieux le gouter.
Car Oublier mon père a beaucoup de qualités et notamment celle d'aborder avec lucidité, sincérité, sans pathos, un sujet difficile : la quête identitaire d'un homme que l'on suit par chapitres alternés de l'enfance à la quarantaine, sa reconstruction après une vie emplie de violences en tout genre, sa voie vers la résilience. C'est souvent très cru, sans concession et bien porté par une écriture vraie .
Pourtant, je suis restée complètement extérieure aux souffrances extrêmes que subit le narrateur ; j'ai ressenti toute l'empathie de l'auteur pour lui, mais moi, je ne suis pas parvenue à en ressentir.
En fait, je n'ai pas su où me placer dans cette avalanche de péripéties souvent glauques qui conduisent le héros dans une descente aux enfers quasi sans fin : harcèlement, folie de la mère, mort du père, boulimie, anorexie, cancer ... Ce n'est pas le « glauque » qui m'a gênée : dans la même veine, j'avais été très impressionnée par le puissant En Finir avec Eddy Bellegueule d'Edouard Louis, et touchée au final par le sort terrible d'Eddy.
En tout cas, même la lumière de la Suède où le narrateur se reconstruit n'est pas parvenue à dissiper ce sentiment d'inconfort qui a brouillé mes sens de lectrice. Je le regrette.
Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur
Soyez le premier à en lancer une !
La saga fantasy de Philip Pullman se dévore aussi en bande dessinée
Des plus jeunes lecteurs aux ados, des livres pour s’émerveiller des beautés de la Nature et la protéger…
Nous sommes en 1939, dans les montagnes de Kabylie...
Des histoires différentes mais qui jamais ne nous laissent indifférents