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Manon Debaye

Manon Debaye

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Avis sur cet auteur (6)

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    Couverture du livre « La falaise » de Manon Debaye aux éditions Sarbacane

    Jen sur La falaise de Manon Debaye

    un vélo à couteau rejoint un corps morceau dans l’herbe
    un pacte au sang scellé
    une falaise n’atteindra pas les 13 ans
    deux mains sauteront à l'unisson
    Astrid et Charlie hors forêt s’ignorent
    les poings repoussent l’amitié
    la vraie qui compte
    et le collège de toutes les impunités
    en...
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    un vélo à couteau rejoint un corps morceau dans l’herbe
    un pacte au sang scellé
    une falaise n’atteindra pas les 13 ans
    deux mains sauteront à l'unisson
    Astrid et Charlie hors forêt s’ignorent
    les poings repoussent l’amitié
    la vraie qui compte
    et le collège de toutes les impunités
    en disgrâce
    les forts et les faibles les faibles presque forts les forts presque faible derrière un masque et les insultes pour écraser ou faire croire ou faire semblant
    Charlie et Astrid se sont trouvés et font le serment de dire stop
    radicalement
    stop à la trop grande ignorance ou la trop grande couvade
    la demi-mesure ne mesure pas la douleur
    les cerveaux enfants ne voie qu’une fin pour issue
    les adultes ne perçoivent pas
    et puis les gestes dépassent l’amour et la violence contenu explose même auprès de ceux qui compte
    Charlie se confond en regrets
    trop tard
    Astrid a disparu

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    Couverture du livre « La falaise » de Manon Debaye aux éditions Sarbacane

    SaraC sur La falaise de Manon Debaye

    La falaise est une lecture qui interpelle, tant par la forme que par le fond.
    La forme : un dessin aux crayons de couleur, très simple.
    Le fond : violent, cru, mais vrai.

    Deux pré adolescentes de 13 ans que tout oppose lient une amitié autour d’un pacte secret, elles se jetteront ensemble...
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    La falaise est une lecture qui interpelle, tant par la forme que par le fond.
    La forme : un dessin aux crayons de couleur, très simple.
    Le fond : violent, cru, mais vrai.

    Deux pré adolescentes de 13 ans que tout oppose lient une amitié autour d’un pacte secret, elles se jetteront ensemble de la falaise vendredi, avant midi. « Après (elles), le déluge ».

    Un nouvel album très marquant de Sarbacane qui vise toujours juste. Avec une trame finalement assez simple, Manon Debaye, dépeint les multitude des facettes et ambivalences de l’adolescence.
    Les sujets peuvent paraître durs, car traités sans romantisme. Au contraire, la colère, le harcèlement, la violence verbale et physique que peuvent cacher les murs du collège y sont d’un réalisme troublant. Mais c’est justement ce réalisme cru qui différencie cette lecture d’autres œuvres sur le même thème.

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    Couverture du livre « La falaise » de Manon Debaye aux éditions Sarbacane

    bulle.noire sur La falaise de Manon Debaye

    Du lundi au vendredi, 5 jours dans la vie d’Astrid et Charlie. Astrid est blonde, elle écrit dans un carnet, elle a une famille aimante mais est la cible des autres au collège. Charlie est brune, garçon manqué à la famille désorganisée, elle adore Bruce Lee et elle suscite la crainte des autres…...
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    Du lundi au vendredi, 5 jours dans la vie d’Astrid et Charlie. Astrid est blonde, elle écrit dans un carnet, elle a une famille aimante mais est la cible des autres au collège. Charlie est brune, garçon manqué à la famille désorganisée, elle adore Bruce Lee et elle suscite la crainte des autres… Elles se retrouvent près de la falaise et concluent un pacte, vendredi elles sautent.

    On est d’abord saisi par le contraste entre ce dessin aux crayon de couleurs, enfantin, et cette tension qui s’installe très vite, dés les premières cases silencieuses. Puis on découvre ces 2 jeunes filles, leur vie, chez elles, au collège… on découvre 2 adolescentes différentes et qui pourtant souffrent du même mal. Comment grandir ? On découvre aussi leur relation, passionnée, étrange…

    Pour un premier album, Manon Debaye fait fort. C’est un livre puissant, libre qui analyse avec finesse et sans jugement la complexité de l’adolescence. Le récit nous garde tendu jusqu’au bout et le dessin expressif et mélancolique est parfaitement adapté.

    Au final, je suis sous le charme de ce beau livre (bravo Sarbacane ! ) et de la découverte d’une autrice qu’il faudra suivre avec attention !

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    Couverture du livre « La falaise » de Manon Debaye aux éditions Sarbacane

    Lamelys sur La falaise de Manon Debaye

    Lorsque j’ai vu passer ce titre, il y a un truc sur la couverture qui m’a interpellé… est-ce le titre ? Le dessin au crayon ? Ou le regard froid de cette fille ? L’atmosphère qui s’en dégage a piqué la curiosité et titiller mon instinct sur une possible thématique douloureuse.

    2 jeunes filles...
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    Lorsque j’ai vu passer ce titre, il y a un truc sur la couverture qui m’a interpellé… est-ce le titre ? Le dessin au crayon ? Ou le regard froid de cette fille ? L’atmosphère qui s’en dégage a piqué la curiosité et titiller mon instinct sur une possible thématique douloureuse.

    2 jeunes filles aux antipodes, que ce soit physiquement et par leur caractère, cependant elles sont habitées par un mal-être nourrit au quotidien par diverses choses… un mal-être qui les réunit jusqu’à les pactiser dans la noirceur.

    Manon Debaye aborde avec justesse les états d’âmes d’adolescents, le harcèlement, les relations parents-enfants et surtout la différence, différence qui gêne et soulève bien des douleurs.

    Avec ce dessin aux crayons de couleur, on pourrait croire à une douce violence et pourtant celle-ci est crue et brutale, bordée par des dialogues acérés, on est heurté par ce qui se passe sous nos yeux avec un sentiment d’impuissance et de colère.

    Phénomène n’est pas le bon terme, cependant le harcèlement et le mal-être des enfants font l’actualité que ce soit par les médias, documentaire, films et livres, ce n’est pas suffisant mais nécessaire.

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