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Makyo

Makyo
Né en 1952, Pierre Fournier, dit Makyo, fait son premier essai dans la Carte Blanche de SPIROU sous le pseudonyme de Mohat. Auteur prolifique, on peut citer parmi ses oeuvres quelques épisodes de Jérôme K. Jérôme Bloche et bien sûr La Balade au bout du Monde. En tant qu'auteur complet, il crée Gr... Voir plus
Né en 1952, Pierre Fournier, dit Makyo, fait son premier essai dans la Carte Blanche de SPIROU sous le pseudonyme de Mohat. Auteur prolifique, on peut citer parmi ses oeuvres quelques épisodes de Jérôme K. Jérôme Bloche et bien sûr La Balade au bout du Monde. En tant qu'auteur complet, il crée Grimion Gant-decuir et les deux volumes du Coeur en Islande. Il a travaillé avec de nombreux dessinateurs renommés tels que Christian Rossi, René Follet ou encore Michel Faure. Que ce soit comme auteur complet ou scénariste, Makyo montre un grand éclectisme en abordant le genre policier, la chronique paysanne, le fantastique, l'humour, ... Il fait aussi preuve d'une très grande imagination et y ajoute une touche très personnelle.

Avis sur cet auteur (13)

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    Couverture du livre « Bugz t.1 ; même pas peur ! » de Makyo et Toldac aux éditions Kennes Editions

    RIVERA sur Bugz t.1 ; même pas peur ! de Makyo - Toldac

    Bd qui se lit facile. Il y a une suite. Adapté aux plus jeunes. Belle histoire.

    Bd qui se lit facile. Il y a une suite. Adapté aux plus jeunes. Belle histoire.

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    Couverture du livre « Un homme normal » de Makyo et Sasa aux éditions Delcourt

    L'ivresse des bulles sur Un homme normal de Makyo - Sasa

    Nathan est autiste Asperger, il travaille en tant que développeur informatique et a des amis. Il s’empêche juste de tomber amoureux. Nathan est un homme normal, ce sont les autres qui ne le sont pas. Il contrôle sa vie et gère son hypersensibilité pour éviter de ressentir des choses qu'il ne...
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    Nathan est autiste Asperger, il travaille en tant que développeur informatique et a des amis. Il s’empêche juste de tomber amoureux. Nathan est un homme normal, ce sont les autres qui ne le sont pas. Il contrôle sa vie et gère son hypersensibilité pour éviter de ressentir des choses qu'il ne devrait pas. Mais pour Mathilda, Nathan va aller au-delà des règles qu'il s'est imposées...
    ~
    Ce titre et cette couverture m'intriguaient. Je me suis lancé sans vraiment savoir à quoi je m'attendais. Et très vite, j'ai été pris par cette histoire plus complexe qu'elle n'y paraît. Les auteurs abordent l'autisme sans en faire pour autant un sujet spécifique et c'est totalement logique, car Nathan est un homme normal. Ici ce sont les autres qui agissent de manière "anormale", ils ne prennent pas en compte les conseils qu'on leur donne et se comportent de manière irrationnelle. J'ai trouvé la partie graphisme en adéquation avec l'histoire, sans trop vouloir en ajouter. Sasa va à l'essentiel et c'est réussi.
    ~
    Au final, je ne savais pas vraiment à quoi m'attendre et j'ai été très agréablement surpris. Un très grand merci aux auteurs pour ce bon moment.

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    Couverture du livre « Un homme normal » de Makyo et Sasa aux éditions Delcourt

    Matatoune sur Un homme normal de Makyo - Sasa

    Avec cette bande dessinée, Un homme normal, le sujet du trouble autistique est évoqué pour un adulte, Nathan, autiste Asperger, parfaitement intégré dans son univers social.

    Développeur informatique, Nathan a su exploiter ses différences pour en faire des forces dans les différentes missions...
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    Avec cette bande dessinée, Un homme normal, le sujet du trouble autistique est évoqué pour un adulte, Nathan, autiste Asperger, parfaitement intégré dans son univers social.

    Développeur informatique, Nathan a su exploiter ses différences pour en faire des forces dans les différentes missions de son travail.

    Seulement, quelques aspects de son trouble, comme l’hypersensibilité, l’empêchent de vivre pleinement une vie épanouie. En effet, lorsqu’il aime bien quelqu’un, il est hyper empathique ce qui lui fait ressentir des prémonitions, construites à partir de ses appréhensions et de ses peurs. Alors, plutôt que de souffrir, Nathan s’isole.

    Pourtant, la jeune Mathilda s’est attachée à lui, souhaitant que leur relation amicale évolue. Seulement, elle sait qu’il lui faudra beaucoup de patience avec le soutien de sa propre famille la soutient !

    La bande dessinée évoque particulièrement bien les répercussions que peuvent produire les prémotions. Le quotidien de Nathan en est profondément impacté.

    Les fondus de couleur rendent bien les nuances du ressenti de Nathan. Par ses dessins, particulièrement soignés, Sassa construit dans L’homme normal une histoire toute simple qui rend accessible les répercussions d’un trouble autistique.

    C’est par l’information que les représentations diverses peuvent évoluer. L’homme normal peut apporter quelques clefs d’explication et en plus, c’est un bel ouvrage !

    Sur le blog ici
    https://vagabondageautourdesoi.com/2023/05/05/un-homme-normal/

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    Couverture du livre « La montagne invisible t.2 : la mémoire du monde » de Frederic Richaud et Makyo et Leomacs aux éditions Delcourt

    Lionel Arnould sur La montagne invisible t.2 : la mémoire du monde de Frederic Richaud - Makyo - Leomacs

    Chronique précédemment parue sur le blog www.sambabd.net


    Les tomes se suivent et ne se ressemblent pas. Je crois qu’il s’agit d’ailleurs d’une (mauvaise) tendance qui semble se mettre en place. En effet, non seulement on voit paraître de plus en plus de diptyques, mais, en plus, le schéma...
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    Chronique précédemment parue sur le blog www.sambabd.net


    Les tomes se suivent et ne se ressemblent pas. Je crois qu’il s’agit d’ailleurs d’une (mauvaise) tendance qui semble se mettre en place. En effet, non seulement on voit paraître de plus en plus de diptyques, mais, en plus, le schéma d’un premier tome sympa et d’un deuxième finalement plus décevant a l’air de se répéter.

    En ce qui concerne La montagne invisible, le scénario tient très bien la route sur tout le premier tome et sur l’essentiel du deuxième pour finalement justifier la citation du résumé : » Lorsqu’on sauve une vie, on sauve peut-être celui qui sauvera le monde. » sur les deux pages finales. Alors, certes, ce n’est peut-être pas le propos de raconter l’ascension politique de ce personnage apparemment secondaire, mais « torcher » ça (j’ai mis des guillemets, hein…) en deux pages à la fin ça donne un air de bâclé et de manque de place. Personnellement, ça m’a laissé un arrière-goût pas très agréable alors que l’ensemble me paraissait vraiment solide. D’autant que j’avais fini par m’habituer un peu à la mise en couleur et que le dessin est vraiment très bon.

    Bref, je vous le conseille quand même mais je serais curieux de savoir si mon sentiment est partagé ou non ?