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Leo Perutz

Leo Perutz
Léo Perutz est né à Prague en 1882. Il quitte la Bohème à l'âge de 17 ans pour Vienne où il étudie les mathématiques et la littérature. Il s'intéresse à la théorie des jeux de hasard et commence par travailler dans une compagnie d'assurances. Il est appelé au combat pendant la Première Guerre mon... Voir plus
Léo Perutz est né à Prague en 1882. Il quitte la Bohème à l'âge de 17 ans pour Vienne où il étudie les mathématiques et la littérature. Il s'intéresse à la théorie des jeux de hasard et commence par travailler dans une compagnie d'assurances. Il est appelé au combat pendant la Première Guerre mondiale, au cours de laquelle il est blessé. De retour à Vienne, il publie son premier ouvrage, La Troisième balle, et entreprend de nombreux voyages. C'est en 1918 que paraît Le Tour du cadran, son troisième roman. En 1933, La Neige de Saint Pierre est interdit par les nazis. Il quitte l'Autriche pour la Palestine en 1938, au moment de l'Anschluss. Borges contribue à le sauver de l'oubli en préfaçant trois de ses livres pendant la Seconde Guerre mondiale. Léo Perutz meurt en 1957. En 1962, à l'initiative de Jean Paulhan et Roger Caillois il reçoit, à titre posthume, le Prix Nocturne créé par Roland Stagliati, un des contributeurs de la revue Fiction.

Avis sur cet auteur (7)

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    Couverture du livre « Le cavalier suédois » de Leo Perutz aux éditions Libretto

    sylvie adam sur Le cavalier suédois de Leo Perutz

    Nous sommes au début du XVIIIe siècle et Charles VII multiplient les guerres et les batailles. Un jeune noble déserte et erre aux côtés d'un vagabond. Les temps sont durs et la route est longue. le vagabond, héros de cette histoire, profite de la naïveté et de la faiblesse de son compagnon,...
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    Nous sommes au début du XVIIIe siècle et Charles VII multiplient les guerres et les batailles. Un jeune noble déserte et erre aux côtés d'un vagabond. Les temps sont durs et la route est longue. le vagabond, héros de cette histoire, profite de la naïveté et de la faiblesse de son compagnon, l'abandonne, lui laissant croire qu'il va revenir après avoir rencontré sa famille auprès de qui il demandera de l'aide. Il rencontre en effet la cousine de ce noble et tombe amoureux. Son domaine est très mal entretenu. Il décide alors de remplir ses poches d'or avant de revenir pour devenir l'époux de cette jeune fille et le maître de ce domaine. Il devient le capitaine d'un groupe de vauriens et acquiert sa fortune en pillant les églises. Il revient alors comme prévu et se fait passer pour le cousin d'enfance qu'elle a toujours aimé. le domaine prospère, le travail des champs est dur mais il est récompensé par l'amour de sa femme et de sa petite fille. Pourtant, le bonheur n'a qu'un temps. On est toujours à sa poursuite et il va devoir quitter les siens pour leur éviter le déshonneur. On va d'aventures en aventures, et on se prend vite d'amitié pour ce vagabond qui veut réussir coûte que coûte. le diable fait parfois son apparition mais notre héros est plus malin que quiconque et déjoue tous les tours. On peut lire le roman comme un conte.

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    Couverture du livre « Le cavalier suédois » de Leo Perutz aux éditions Libretto

    tatibibibi sur Le cavalier suédois de Leo Perutz

    Roman inclassable, atypique, picaresque et foisonnant...conte fantastique....
    Quand un voleur de grands chemins usurpe l'identité d'un jeune déserteur quelque peu falot, Christian von Thornefeld. Pour changer de vie, tenter de contrarier son destin et retrouver la jeune Maria Agneta dont il est...
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    Roman inclassable, atypique, picaresque et foisonnant...conte fantastique....
    Quand un voleur de grands chemins usurpe l'identité d'un jeune déserteur quelque peu falot, Christian von Thornefeld. Pour changer de vie, tenter de contrarier son destin et retrouver la jeune Maria Agneta dont il est tombé amoureux fou.
    C'est ainsi que le voleur devient le Cavalier suédois, rusé, organisé, intelligent; qualités indispensables pour échapper à la cruauté d'un XVIIIe siècle en proie à la guerre et à la barbarie des hommes.
    Et l'on y croise l'âme d'un meunier pendu revenu du royaume des flammes, un baron Maléfice, des hordes de brigands, un ange de la mort, superstitions et bondieuseries entremêlées...
    C'est un conte, une épopée héroïque, une histoire d'amour et un peu de la grande Histoire revisitée en toile de fond.
    Il y a du Cervantès là-dedans, pour la polyphonie du roman...il y a du Robin des Bois là-dedans , pour ce Cavalier règnant sur sa troupe de brigands...
    Il y a du Martin Guerre là-dedans pour cette finesse et cette intelligence de la tête et du coeur.
    Alors certes, abus de confiance et filouterie..oui mais quel personnage attachant que ce Cavalier suédois.
    Culpabilité ? très très peu !!!
    Et cependant, comment ne pas être rattrapé par son destin ?
    Ce petit bijou de littérature autrichienne date de 1936..A redécouvrir ! Impérativement !

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    Couverture du livre « Le cavalier suédois » de Leo Perutz aux éditions Libretto

    Mado Saroul sur Le cavalier suédois de Leo Perutz

    Presque un conte mêlant réalité et fantastique, j'ai adoré

    Presque un conte mêlant réalité et fantastique, j'ai adoré

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    Couverture du livre « Le maître du jugement dernier » de Leo Perutz aux éditions Zulma

    Anita Millot sur Le maître du jugement dernier de Leo Perutz

    Un zest d’Agatha Christie, une pincée de la damnation de Faust, un souffle du portrait de Dorian Gray : vous obtenez ce roman surréaliste que j’ai adoré !

    Un zest d’Agatha Christie, une pincée de la damnation de Faust, un souffle du portrait de Dorian Gray : vous obtenez ce roman surréaliste que j’ai adoré !