Laura Ellen Anderson

Laura Ellen Anderson est une jeune illustratrice londonienne qui depuis 2011 travaille avec les plus grands éditeurs anglais et américains : Candelwick, Bloomsburry, Scholastic. Elle a illustré une vingtaine d'ouvrages, romans et albums.

Avis sur cet auteur (2)

Couverture du livre « Amélia Fang, la vampirette Tome 2 : Amélia Fang et les seigneurs licornes » de Laura Ellen Anderson aux éditions Casterman

kadeline sur Amélia Fang, la vampirette Tome 2 : Amélia Fang et les seigneurs licornes de Laura Ellen Anderson

- c’est drôle, c’est mignon
- l’amitié et l’importance du groupe sont au coeur de l’histoire
- il y a de l’action
- ça prône la tolérance tout en dénonçant l’effet qu’à la peur sur sur l’ouverture d’esprit
- et le traitement des licornes est juste génial

Couverture du livre « Harper et le parapluie rouge t 1 » de Claire Cerrie Burnell et Laura Ellen Anderson aux éditions Albin Michel

kadeline sur Harper et le parapluie rouge t 1 de Claire Cerrie Burnell - Laura Ellen Anderson

Harper est une jeune fille élevée par sa grand-tante. Quand celle-ci part pour le travail, en la laissant chez une voisine, une chose inattendue se produit, Minuit son chat, disparait. Ni une ni deux Harper part enquêter dans tout l’immeuble pour retrouver son chat et elle découvre qu’en fait tous les chats ont disparu. Où sont-ils ? Harper mène l’enquête avec un petit groupe d’enfants et son parapluie rouge. La petite bande est composé de personnages hétéroclites, imparfaits, de vrais enfants quoi. Parmi eux, il y a Nate, un jeune aveugle en apparence solitaire qui a une louve guide au lieu d’un chien. J’ai aimé le traitement du personnage de Nate. Premier point important à noter autour de ce personnage c’est le loup qui faisait fuir les autres enfants et isolait Nate pas le handicap. Je trouve ce choix positif pour l’acceptation de la diversité. L’autre point important pour moi c’est son rôle dans l’histoire. Pour une fois la personne handicapée physique n’est pas limité à un rôle de réflexion. Son handicap va devenir un avantage pour une partie de l’action et ça fait plaisir surtout dans un roman jeunesse. C’est intelligent et une bonne idée de montrer qu’il y a des capacités qui sont développés pour compenser un handicap et peuvent devenir un avantage dans certaines situations. Ce petit roman première lecture est une ode à la diversité et à l’amour d’autrui. C’est doux, c’est mignon, avec une intrigue intelligente qui tient la route et bourré de références à des contes et textes classiques. Pour ne citer que les deux plus frappantes : le parapluie magique très Mary Poppins et l’intrigue qui donne une version moderne du joueur de flute de Hamelin version chats.

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