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Ken Follett

Ken Follett
Ken Follett est né à Cardiff, au Pays de Galles. D'abord reporter, il dirige ensuite sa propre maison d'édition. En 1978, il écrit «L'Arme à l'œil», un thriller original qui rencontre immédiatement le succès. Depuis, il se consacre entièrement à l'écriture. Outre les romans d'espionnage comme «Le... Voir plus
Ken Follett est né à Cardiff, au Pays de Galles. D'abord reporter, il dirige ensuite sa propre maison d'édition. En 1978, il écrit «L'Arme à l'œil», un thriller original qui rencontre immédiatement le succès. Depuis, il se consacre entièrement à l'écriture. Outre les romans d'espionnage comme «Le Réseau Corneille» ou «Le Vol du frelon», Ken Follett a signé des fresques historiques telles que «Les Piliers de la Terre», «La Marque de Windfield», «Le Pays de la liberté» et des romans brûlants d'actualité comme «Le Troisième Jumeau», qui nous plonge au cœur des manœuvres inavouables liées aux découvertes de la génétique. Ses romans sont traduits dans plus de vingt langues, et six d'entre eux ont été portés à l'écran.

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Articles en lien avec Ken Follett (4)

Avis sur cet auteur (319)

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    Couverture du livre « Les armes de la lumière » de Ken Follett aux éditions Robert Laffont

    Scarlett19 sur Les armes de la lumière de Ken Follett

    On retrouve avec un grand plaisir la ville de Kingsbridge, cette fois de la fin du 18e au début du 19e siècle. On suivra les évolutions technologiques du tissage qui entraîneront de grands bouleversements sociaux. Mais également des épisodes des guerres napoléoniennes jusqu’à Waterloo. Un grand...
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    On retrouve avec un grand plaisir la ville de Kingsbridge, cette fois de la fin du 18e au début du 19e siècle. On suivra les évolutions technologiques du tissage qui entraîneront de grands bouleversements sociaux. Mais également des épisodes des guerres napoléoniennes jusqu’à Waterloo. Un grand Ken Follett.

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    Couverture du livre « Les armes de la lumière » de Ken Follett aux éditions Robert Laffont

    sylvie adam sur Les armes de la lumière de Ken Follett

    Sal, fileuse, se retrouve veuve avec un jeune enfant, Kit. Elle en veut à Will, le fils du Seigneur, responsable de l'accident de son mari et est obligée de quitter son village pour aller travailler à Kingsbridge. Amos l'emploie mais est obligé de recommencer tout à zéro : son père avait...
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    Sal, fileuse, se retrouve veuve avec un jeune enfant, Kit. Elle en veut à Will, le fils du Seigneur, responsable de l'accident de son mari et est obligée de quitter son village pour aller travailler à Kingsbridge. Amos l'emploie mais est obligé de recommencer tout à zéro : son père avait contracté des dettes et quand il est décédé, Hornbeam, personnage machiavélique et diabolique, souhaite racheter son entreprise. Amos ne se laisse pas faire et aidé par un autre tisserand, Spade, il réussit finalement à s'en sortir. Quant à Elsie, la fille de l'évêque, elle aime Amos qui est aveuglé par une autre jeune femme. Elsie n'a plus qu'un but, celui de créer son école pour les enfants pauvres. La pauvreté est en effet partout, hommes, femmes et enfants travaillent durement mais le pain est de plus en plus cher, il faut financer les guerres. On voit ainsi évoluer ce petit monde. Amos, Elsie et Spade sont relativement ouverts. Quant à Sal, elle n'hésite pas à se révolter et à dire ce qu'elle pense. Le gouvernement ne travaille pourtant pas en faveur de son peuple et réprime toute révolte. On craint comme en France, une révolution. Hornbeam et Will s'associent pour faire régner cette oppression dans la ville.
    La révolution industrielle qui s'opère dans les filatures est très bien expliquée.
    Les machines remplacent les hommes qui ne demandent qu'à travailler. Les années passent et Kit sera démontrer son intelligence et de nouvelles perspectives vont s'ouvrir à lui. Malheureusement, en même temps, c'est Napoléon qui accroît son pouvoir et il faut encore se battre.
    Quelques chapitres sont alors consacrés notamment à la bataille de Waterloo.
    Les personnages principaux sont attachants et on craint souvent pour leur vie. Certains diront peut-être qu'il y a toujours les "bons" d'un côté et les "méchants" de l'autre, mais c'est ce qui fait finalement le roman. Un roman passionnant où les femmes sont mises en avant.

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    Couverture du livre « Le réseau Corneille » de Ken Follett aux éditions Le Livre De Poche

    Zaza sur Le réseau Corneille de Ken Follett

    Jamais déçue avec Mr Follett !
    L'auteur retrace la mise en place d'une équipe de 6 femmes ayant pour mission la destruction du central de transmission téléphonique des Allemands à Paris à la veille du débarquement des Alliés.
    Ces résistantes Anglaises auront maille à faire contre un colonel...
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    Jamais déçue avec Mr Follett !
    L'auteur retrace la mise en place d'une équipe de 6 femmes ayant pour mission la destruction du central de transmission téléphonique des Allemands à Paris à la veille du débarquement des Alliés.
    Ces résistantes Anglaises auront maille à faire contre un colonel Allemand diabolique et la Gestapo.

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    Couverture du livre « Les armes de la lumière » de Ken Follett aux éditions Robert Laffont

    MAPATOU sur Les armes de la lumière de Ken Follett

    Attention gros pavé de près de 800 pages !

    J’aime le travail de Ken Follet et étais donc pressée de découvrir son nouveau roman.

    Si celui-ci se situe dans la petite ville de Knigsbridge de ses précédents romans, l’époque est différente. L’histoire commence en 1792 et se termine en 1823...
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    Attention gros pavé de près de 800 pages !

    J’aime le travail de Ken Follet et étais donc pressée de découvrir son nouveau roman.

    Si celui-ci se situe dans la petite ville de Knigsbridge de ses précédents romans, l’époque est différente. L’histoire commence en 1792 et se termine en 1823 soit en pleine révolution industrielle et pendant la guerre de vingt-deux ans qui a opposé les troupes napoléoniennes aux anglais et leurs alliés.

    Beaucoup d’ouvriers de la région de Knigsbridge sont tisserands, les femmes fileuses. Ils sont employés par des drapiers, eux-mêmes confrontés à des difficultés économiques. Ces derniers se tournent vers des innovations qui vont leur permettre de produire plus, plus vite et à moindre coût : les métiers à tisser.

    De nombreux ouvriers se retrouvent ainsi sans emploi, sans ressources et sans aucune aide. De cette situation naîtra l’idée de créer des syndicats pour s’opposer à la toute puissance de ceux qui représentent l’autorité du roi.

    Une répression terrible sera appliquée à ceux qui tentent de s’opposer au pouvoir ; une simple réunion de deux ouvriers peut les condamner aux travaux forcés, voire au bannissement en Australie.

    Outre le fait que la justice est plus qu’arbitraire, que les juges et les riches sont bien souvent corrompus, il y a le spectre de la Révolution Française qui plane. L’aristocratie anglaise craint beaucoup que le peuple anglais ne leur fasse subir le même sort qu’en France. D’où une gouvernance d’une main de fer où les condamnations à la pendaison étaient légions. J’ignorais tout à fait cet aspect de l’histoire anglaise.

    S’ajoute par ailleurs, la menace que Napoléon envahisse l’Angleterre ; les vingt-deux ans de combat s’achèveront à Waterloo.

    Ken Follet, à travers des personnages attachants, d’autres détestables, nous embarque dans cette histoire que j’ai trouvée passionnante. Comme toujours avec cet auteur, j’ai refermé le livre en ayant passé un excellent moment de lecture et en ayant appris beaucoup de choses.