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Julien Birban

Julien Birban
Après des études de philosophie, Julien Birban fait le tour du monde avec son groupe de punk hardcore. En tournée, il réalise ses premières photographies, bientôt exposées en galeries. Il déménage ensuite à New York, où il poursuit son travail d'artiste touche-à-tout. Aujourd'hui scénariste et ré... Voir plus
Après des études de philosophie, Julien Birban fait le tour du monde avec son groupe de punk hardcore. En tournée, il réalise ses premières photographies, bientôt exposées en galeries. Il déménage ensuite à New York, où il poursuit son travail d'artiste touche-à-tout. Aujourd'hui scénariste et réalisateur, son angle d'approche est toujours profondément enraciné dans les sous-cultures radicales. Il vit désormais entre Tokyo et Paris. Les Douleurs Premières est son premier roman.

Avis sur cet auteur (6)

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    Couverture du livre « Les douleurs premières » de Julien Birban aux éditions Heloise D'ormesson

    Claudia Charrier sur Les douleurs premières de Julien Birban

    C'est l'histoire de deux sœurs, animées par une rage de vivre et une détermination à surmonter les obstacles de la vie. Elles ont dû apprendre à se battre pour survivre dans un environnement hostile, la plus jeune cachant sa féminité pour éviter le mépris de ses parents, qui désiraient...
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    C'est l'histoire de deux sœurs, animées par une rage de vivre et une détermination à surmonter les obstacles de la vie. Elles ont dû apprendre à se battre pour survivre dans un environnement hostile, la plus jeune cachant sa féminité pour éviter le mépris de ses parents, qui désiraient uniquement des garçons.

    Dans ce récit, leurs souvenirs remontent à la surface, douloureusement et le lecteur est emporté dans leur tourbillon émotionnel.

    Le roman est écrit avec une grande intensité, avec des mots qui frappent forts.
    Les personnages sont attachants, réalistes et complexes. Leurs parcours de vie s'entremêlent, se complètent, et parviennent à nous faire ressentir ce qu'elles traversent.


    Des phrases courtes, des mots qui claquent, une vie qui défile à toute allure, chahutée par les souvenirs et les événements qui se produisent dans la vie des frangines.
    L'écriture de l'auteur est vive et à fleur de peau donnant un sentiment d'urgence, exprimant le désespoir, l'amertume ou au contraire l'euphorie.

    Un texte qui parle de la force qu'on peut trouver dans l'adversité. Il vous fera ressentir toute l'intensité de l'amour et de la perte.
    Une ode à la fureur de vivre, à l'amour et à la sororité.

    C'est un premier roman. Il mérite d'être lu pour l'originalité, la sensibilité et la qualité de la plume de Julien Birban.
    Un auteur à suivre, c'est certain.

    https://leslecturesdeclaudia.blogspot.com/2023/04/les-premieres-douleurs.html

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    Couverture du livre « Les douleurs premières » de Julien Birban aux éditions Heloise D'ormesson

    Jean-Patrice sur Les douleurs premières de Julien Birban

    Assez convenu, ce livre fait dans le ''jeunisme'', les héroïnes sont délurées, agressives, les adultes sont ''nuls'', la rage de vivre, etc... ça fait procédé, c'est banal, et on n'y croit pas, malgré la publicité de l'éditeur - qui se voit facilement puisqu'on retrouve les mêmes commentaires...
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    Assez convenu, ce livre fait dans le ''jeunisme'', les héroïnes sont délurées, agressives, les adultes sont ''nuls'', la rage de vivre, etc... ça fait procédé, c'est banal, et on n'y croit pas, malgré la publicité de l'éditeur - qui se voit facilement puisqu'on retrouve les mêmes commentaires identiques d'un site à l'autre.

    Sur Babelio : "Joaimelire" affirme : "Serrez les dents parce que ça va cogner un peu, ça va tacher le formica. Et servez-vous un verre, vous allez quand même pas me lire sobre."
    Pas facile de vous proposer un résumé... Dans ce récit, différentes voix se laissent la place : deux soeurs et deux garçons amoureux.

    Sur Lecteurs.com :
    "Johanna Karniewicz" déclare : "Serrez les dents parce que ça va cogner un peu, ça va tacher le formica. Et servez-vous un verre, vous allez quand même pas me lire sobre."
    Pas facile de vous proposer un résumé... Dans ce récit, différentes voix se laissent la place : deux sœurs et deux garçons amoureux.

    Ca se voit, et ce n'est pas très glorieux... Ah, la pub, le marketing et les côteries littéraires ne remplaceront jamais un bon livre d'un vrai écrivain.

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    Couverture du livre « Les douleurs premières » de Julien Birban aux éditions Heloise D'ormesson

    Johanna Karniewicz sur Les douleurs premières de Julien Birban

    "Serrez les dents parce que ça va cogner un peu, ça va tacher le formica. Et servez-vous un verre, vous allez quand même pas me lire sobre."

    Pas facile de vous proposer un résumé... Dans ce récit, différentes voix se laissent la place : deux sœurs et deux garçons amoureux. À Paris, au bord de...
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    "Serrez les dents parce que ça va cogner un peu, ça va tacher le formica. Et servez-vous un verre, vous allez quand même pas me lire sobre."

    Pas facile de vous proposer un résumé... Dans ce récit, différentes voix se laissent la place : deux sœurs et deux garçons amoureux. À Paris, au bord de l'océan, en Italie ou à Santiago. C'est avec la plus jeune des sœurs que l'on passe le plus de temps.

    Ce premier roman est atypique. L'écriture est superbe, à la limite du parler, très addictive, chaque phrase est une citation en soi que j'avais envie de noter. Si on accepte ce langage original, on peut vraiment se laisser porter.

    Le changement de narrateur selon les chapitres est assez déroutant au départ mais redonne une belle dynamique au livre.

    J'ai aimé ces personnages tout cabossés, malmenés par la vie, leurs histoires sont belles et on y croit. Mais encore une fois, je reproche à ce livre trop de noirceur. En tant que lectrice, le trop finit par me sortir de mes émotions, car je trouve ça exagéré. J'ai besoin d'un meilleur équilibre lumières/drames.

    Je recommande tout de même ce roman pour la plume superbe !

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    Couverture du livre « Les douleurs premières » de Julien Birban aux éditions Heloise D'ormesson

    s.laby sur Les douleurs premières de Julien Birban

    C’est un livre écrit comme on renverse une table. Avec des mots qui raclent, qui grincent et qui cognent.

    Une jeune fille “née du côté qui morfle, fabriquée dans une famille lamentable, dans la génération la plus conne de toutes” nous balance tout en pleine face : son enfance nulle, la fuite...
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    C’est un livre écrit comme on renverse une table. Avec des mots qui raclent, qui grincent et qui cognent.

    Une jeune fille “née du côté qui morfle, fabriquée dans une famille lamentable, dans la génération la plus conne de toutes” nous balance tout en pleine face : son enfance nulle, la fuite avec sa grande sœur, leur installation à Paris, les nuits qui dérapent dans l’alcool et le sexe. “J‘échafaude les détails pour que vous compreniez bien ce que je vais vous dire, je veux pas vous perdre en chemin.”

    Cette cascade de souvenirs déferle alors qu’elle vient de s’exiler en Italie. Loin de Paris et loin de la vie, elle finit par nous cracher son drame, sa douleur première, un garçon parmi tant d’autres. “Avec lui je pourrais l’aimer, le flottement bouffi d’une vie sans importance, la grande berceuse de la vie normale et des heures gâchées.” Elle raconte le bonheur intégral qui finit fracassé dans une peine absolue.

    Foudroyée par le chagrin, elle laisse la parole à sa sœur. Certains chapitres, c’est la frangine qui récupère la narration, avec le même débit, le même boucan, une dose de souffrance en moins.

    Et puis Damien rapplique. Un autre mec. “C’est mon tour ? Je ne suis pas très à l’aise ici, je ne vois pas quoi dire.” Les uns après les autres, ils avouent l’amour raté, les fins de soirée, les déceptions partout, les cafés trop forts, les supernovas à effondrement de cœur. Jusqu’à ce qu’il ne reste plus que sa voix à elle pour faire la paix avec le chaos du monde.

    Seulement, cette voix de fille est écrite par un homme. Comme si son désir à lui était projeté dans ce roman, avec de grandes croyances sur les filles fragiles qui portent des robes légères et qui attendent qu’on les embrasse. Une vision fantasmée qui aurait peut-être pu être évitée.

    C’est un livre excessif, à lire vite et fort. On tourne les pages et c’est la vie qui défile, la vie triste comme un bar qui annonce sa fermeture, abîmée comme de la poésie en lambeaux, sale mais lumineuse comme un petit village d’Italie.

Bibliographie de Julien Birban (1)

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