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Jose-Louis Bocquet

Jose-Louis Bocquet

Romancier, biographe et éditeur né en 1962, José-Louis Bocquet a publié huit romans noirs chez Gallimard, Buchet/Chastel et La Table Ronde. Il est aussi l’auteur de biographies de René Goscinny, H.-G. Clouzot et André Franquin.

Scénariste pour l’audiovisuel, il a collaboré avec Georges Lautner, ...

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Romancier, biographe et éditeur né en 1962, José-Louis Bocquet a publié huit romans noirs chez Gallimard, Buchet/Chastel et La Table Ronde. Il est aussi l’auteur de biographies de René Goscinny, H.-G. Clouzot et André Franquin.

Scénariste pour l’audiovisuel, il a collaboré avec Georges Lautner, Pierre Jolivet, Hervé di Rosa, Patrick Grandperret. Dans le domaine de la bande dessinée, il a aussi écrit des scénarios pour Serge Clerc, Steve Cuzor, Stanislas, Philippe Berthet. De 2006 à fin 2020, il dirige le label « Aire Libre » au sein des éditions Dupuis.

Bocquet signe également des "bio graphiques" mises en images par Catel, consacrées à des femmes méconnues ou invisibilisées: Kiki de Montparnasse, Olympe de Gouges, Joséphine Baker et Alice Guy.

 

Crédit photo © Mathieu Zazzo .

Avis sur cet auteur (38)

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    Couverture du livre « Le Passager du Polarlys » de Christian Cailleaux et Jose-Louis Bocquet aux éditions Dargaud

    Matatoune sur Le Passager du Polarlys de Christian Cailleaux - Jose-Louis Bocquet

    Premier « roman dur » de Simenon, Le passager du Polarlys est adapté ici en bande dessinée sous l’illustration de Christian Cailleaux et la supervision de José-Louis Bocquet.

    Simenon a toujours voulu investir la littérature. Seulement, la nécessité de manger et le désir de bien faire ont fait...
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    Premier « roman dur » de Simenon, Le passager du Polarlys est adapté ici en bande dessinée sous l’illustration de Christian Cailleaux et la supervision de José-Louis Bocquet.

    Simenon a toujours voulu investir la littérature. Seulement, la nécessité de manger et le désir de bien faire ont fait qu’il commence par « feuilletonner », pendant plusieurs années. La série des Maigret est née pendant cette période.

    Alors, la parution de celui-ci annonce un nouveau style, une nouvelle mouvance qui symbolise, pour la littérature populaire, son entrée dans la grande.

    Le passager du Polarys est né d’un voyage fait par Georges, accompagné de sa femme, dans le Grand Nord. Sa particularité est de révéler, tel un épisode de la série de Colombo, le meurtre dès le début puis d’enchaîner dans le huis clos du bateau. Celui-ci est certainement un hommage à la Reine, Agatha Christie. Polarlys est l’expression norvégienne correspondant au terme « Aurore Boréale », et fait donc référence au phénomène arctique naturel.

    Une jeune femme regarde avidement la vitrine de la Coupole, le bar chic du Paris des années trente. Elle est invitée à la table d’une bande qui va l’entraîner toute la nuit, de boîte en boîte, jusqu’à un atelier d’artiste. Lors de l’ingérence du fameux « Çakébon », morphine ou héroïne en injection, la jeune femme est victime d’une overdose. Marie Baron vient de mourir.

    Dans le port de Hambourg, un cargo s’apprête à appareiller. Le capitaine Petersen accueille ses invités pour les emmener à l’extrême nord de la Norvège. Cet équipage va se révéler beaucoup moins anodin qu’il n’y paraît, d’autant plus que les cadavres risquent de s’accumuler…

    Christian Cailleaux, a déjà donné vie à Prévert avec Hervè Bourhis, et à Boris Vian dans Piscine Molitor. Son trait sait parfaitement ressortir cette atmosphère des années 30, entre fêtes et outrances. José-Louis Bocquet est un des spécialistes de cette période. Il a collaboré avec de nombreux illustrateurs, notamment pour des romans graphiques sur Olympe de Gouges, Kiki de Montparnasse et Joséphine Baker.

    Certainement, celui-ci sera suivi par d’autres. Le passage à la bande dessinée permet d’actualiser le talent d’un écrivain qui est encore trop considéré comme l’auteur de séries télévisées un peu ringardes.

    De façon concise, cette bande dessinée reprend en l’actualisant le premier roman dit « dur », c’est-à-dire sérieux, de Georges Simenon, Le passager du Polarlys. Une manière agréable de redécouvrir le talent de cet écrivain, devenu désuet par les séries télévisées rediffusées à l’infini !
    Chronique illustrée ici
    https://vagabondageautourdesoi.com/2024/03/03/simenon-le-passager-du-polarlys/

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    Couverture du livre « Simenon, l'Ostrogoth » de Loustal et Jose-Louis Bocquet et Jean Luc Fromental et John Simenon aux éditions Dargaud

    catherine a sur Simenon, l'Ostrogoth de Loustal - Jose-Louis Bocquet - Jean Luc Fromental - John Simenon

    Une bd ou livre graphique magnifique, car je ne sais plus quel terme employé.
    En tout cas, un beau livre qui nous raconte les premières années de Georges Simenon.
    Le 24 mars 1923, Régine Renchon et Georges Simenon sont déclarés mari et femme, d'abord par le curé de l'église Sainte-Véronique...
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    Une bd ou livre graphique magnifique, car je ne sais plus quel terme employé.
    En tout cas, un beau livre qui nous raconte les premières années de Georges Simenon.
    Le 24 mars 1923, Régine Renchon et Georges Simenon sont déclarés mari et femme, d'abord par le curé de l'église Sainte-Véronique puis par l'échevin communiste de la bonne ville de Liège.
    Ces deux fringants jeunes gens – elle peintre déjà exposée, lui journaliste en herbe et aspirant romancier – ne vont pas s'attarder dans leur Belgique natale. Les voici à Paris où, dans l'effervescence des Années folles, ils se livrent corps et âme à l'esprit du temps et à la conquête de la gloire.
    Ce livre est l'histoire de ces premières années, à Liège et surtout à Paris. Il y a des extraits des premiers romans, signés sous pseudonymes. La vie d'artiste, de journaliste, d'écrivain, la vie de bohème n'est pas toujours facile.
    Il y a aussi de belles rencontres, avec Joséphine Baker, qui fera de Georges son "secrétaire de nuit", avec Colette, qui lit ses premiers contes, Arthème Fayard, qui éditera ses premiers textes, Foujita, l’affichiste Paul Colin et tant d'autres de cette époque des années folles.
    J'ai découvert aussi le personnage de Tigy, l'épouse peintre, qui va sacrifier sa carrière de peintre au profit de celle de l'écrivain…
    Ce texte et ses superbes planches couvrent la période de 1923 à 1930, entre sa montée à Paris et la parution de la première enquête du commissaire Maigret. Sept années d’un travail acharné à fournir des textes de commande pour des gazettes destinées au grand public. Mal payées et encore moins bien considérées, ces milliers de pages lui permettront néanmoins de se forger un style. Cependant, bien conscient de la futilité des paillettes, il préfère quitter la capitale et habiter sur un bateau, L’Ostrogoth, afin de pouvoir continuer son œuvre.
    Ce texte m'a donné envie de (re)lire les textes de Simenon ou de Georges SIm, Jean du Perry .. Il aurait écrit 161 romans populaires, contes, nouvelles sous environ 26 pseudonymes. Et les adaptation de ses différents textes en BD.
    Et aimerait tant que sa vie continue à être racontée grâce à ces auteurs.
    Une longue vie, puisque Simenon a vécu de 1903 à 1989.
    Et, personnellement, j'ai découvert lors de vacances à La Rochelle, qu'il y avait vécu pendant 10 ans et que certains de ses textes y ont été écrits et que certains lieux l'avaient inspirés. Très touchant de prendre un café dans la brasserie qu'il avait l'habitude de fréquenter. je vais donc continuer ma découverte de ses textes mais aussi de sa vie.
    #SimenonlOstrogoth #NetGalleyFrance

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    Couverture du livre « Simenon, l'Ostrogoth » de Loustal et Jose-Louis Bocquet et Jean Luc Fromental et John Simenon aux éditions Dargaud

    Mousquetaire11 sur Simenon, l'Ostrogoth de Loustal - Jose-Louis Bocquet - Jean Luc Fromental - John Simenon

    Lorsque l'on évoque Georges Simenon, la première image qui me vient à l'esprit est celle de Maigret, son personnage emblématique joué par Bruno Cremer que je regardais régulièrement sur France 2 lorsque j'étais petite...

    C'est donc avec une certaine nostalgie que j'ai sollicité "Simenon,...
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    Lorsque l'on évoque Georges Simenon, la première image qui me vient à l'esprit est celle de Maigret, son personnage emblématique joué par Bruno Cremer que je regardais régulièrement sur France 2 lorsque j'étais petite...

    C'est donc avec une certaine nostalgie que j'ai sollicité "Simenon, l'Ostrogoth" auprès de la maison d'édition Dargaud sur Netgalley France pour en apprendre plus sur la vie de l'auteur avant qu'il ne connaisse le succès au début des années 1930 avec l'écriture de ces romans policiers qui l'ont rendu célèbre.

    J'ai trouvé la lecture de cette bande dessinée très intéressante et instructive. Ayant du mal à me plonger dans les biographies, je me rends compte qu'avec le temps, je me tourne de plus en plus vers des albums pour découvrir l'histoire de certaines personnalités. Grâce à un travail conjoint réunissant Jean-Luc Fromental, José-Louis Bocquet et John Simenon, le fils de Georges Simenon, nous nous retrouvons plongés dans une Europe d'entre-deux-guerres où le couple Simenon quitte la Belgique pour la vie parisienne en quête d'une notoriété. de par leurs passions pour l'écriture et pour l'art, les deux jeunes gens rencontreront de nombreux artistes ou personnalités comme par exemple Colette ou Joséphine Baker que l'on retrouve dans cet album.

    Concernant les illustrations, j'ai beaucoup aimé le coup de crayon de Loustal qui offre une autre dimension au récit et qui nous permet de mieux nous faire découvrir une époque.

    Je tiens à remercier les Editions Dargaud et Netgalley France pour ce plongeon historique que j'ai apprécié. Si vous souhaitez en apprendre un peu plus sur Georges Simenon ou les personnalités qu'il a côtoyé, vous vous régalerez de découvrir les notices biographiques et autres annexes proposées à la fin du volume comme ce fut mon cas.

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    Couverture du livre « Un autre regard sur Blake et Mortimer : l'art de la guerre » de Floc'H et Jose-Louis Bocquet et Jean Luc Fromental aux éditions Blake Et Mortimer

    Romain Ambrosini sur Un autre regard sur Blake et Mortimer : l'art de la guerre de Floc'H - Jose-Louis Bocquet - Jean Luc Fromental

    L’art suprême de la guerre est de soumettre l’ennemi sans combattre.
    Olrik y était presque...

    L’art suprême de la guerre est de soumettre l’ennemi sans combattre.
    Olrik y était presque...