Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Jerome Chantreau

Jerome Chantreau

Après une enfance parisienne et des études littéraires, Jérôme Chantreau a créé un centre équestre. Il s'est formé parallèlement à la sylviculture pour exploiter la forêt attenante à la maison familiale. Aujourd'hui professeur de lettres, il vit dans le Pays Basque. Avant que naisse la forêt est ...

Voir plus

Après une enfance parisienne et des études littéraires, Jérôme Chantreau a créé un centre équestre. Il s'est formé parallèlement à la sylviculture pour exploiter la forêt attenante à la maison familiale. Aujourd'hui professeur de lettres, il vit dans le Pays Basque. Avant que naisse la forêt est son premier roman.

Articles en lien avec Jerome Chantreau (1)

Avis sur cet auteur (44)

  • add_box
    Couverture du livre « Bélhazar » de Jerome Chantreau aux éditions Phebus

    Alex-Mot-à-Mots sur Bélhazar de Jerome Chantreau

    L’auteur se plonge dans le passé, interroge les souvenirs.

    Sauf que l’auteur se regarde aussi écrire, et penser et parler. Et c’est devenu très vite lassant.

    J’avais envie d’en savoir plus sur ce jeune homme ami du fils du narrateur. Mais les informations arrivent au compte-goutte, noyées...
    Voir plus

    L’auteur se plonge dans le passé, interroge les souvenirs.

    Sauf que l’auteur se regarde aussi écrire, et penser et parler. Et c’est devenu très vite lassant.

    J’avais envie d’en savoir plus sur ce jeune homme ami du fils du narrateur. Mais les informations arrivent au compte-goutte, noyées au milieu des descriptions de la vie et des atermoiements de l’auteur.

    J’ai fini par me lasser.

  • add_box
    Couverture du livre « Bélhazar » de Jerome Chantreau aux éditions Phebus

    HEIM sur Bélhazar de Jerome Chantreau

    Une lecture à la fois intense et très surprenante.
    Un fait divers avec la mort d'un garçon de 18 ans, en bas de chez lui suite à un coup de feu, le narrateur qui est aussi l'auteur va chercher à ressusciter cette histoire à l'aide de sa plume. Bavure policière ? Suicide ? Des zones d'ombre...
    Voir plus

    Une lecture à la fois intense et très surprenante.
    Un fait divers avec la mort d'un garçon de 18 ans, en bas de chez lui suite à un coup de feu, le narrateur qui est aussi l'auteur va chercher à ressusciter cette histoire à l'aide de sa plume. Bavure policière ? Suicide ? Des zones d'ombre semblent présentes. Le lecteur est tenu en haleine espérant connaître la résolution de cette énigme. L'auteur va marcher sur les pas de Bélhazar, ce garçon original et attachant, qui s'est inventé tout un monde imaginaire.

    Ce livre est aussi un beau récit sur le deuil de deux parents séparés qui le vivent différemment, mais chacun avec intensité. L'histoire est reliée aussi à certains événements de l'actualité et une certaine poisse qui semble accompagner cette quête de la vérité. Au fil de la lecture, le narrateur cherche constamment en entrer dans la tête de Bélhazar, à communiquer avec lui.

    J'ai eu plus de difficultés à suivre l'auteur quand il s'est agi d'entrer dans le monde imaginaire de son personnage avec un narrateur en quête de vérité mais surtout en quête de qui était le jeune homme. La partie finale m'a laissé un goût un peu mitigé et offre une fin singulière qui suggère que le travail d'écriture était aussi une manière d'aboutir dans cette quête de la vérité.

  • add_box
    Couverture du livre « Bélhazar » de Jerome Chantreau aux éditions Phebus

    yves MONTMARTIN sur Bélhazar de Jerome Chantreau

    Vers minuit en bas de son immeuble, un banal contrôle de police, il se prend une balle dans la tête, Bélhazar, 18 ans, est mort ! Il avait l'allure d'un poète maudit, d'un pirate ou d'un contrebandier. Il avait de mauvaises notes, il faisait rire ses camarades, surprenait par ses connaissances....
    Voir plus

    Vers minuit en bas de son immeuble, un banal contrôle de police, il se prend une balle dans la tête, Bélhazar, 18 ans, est mort ! Il avait l'allure d'un poète maudit, d'un pirate ou d'un contrebandier. Il avait de mauvaises notes, il faisait rire ses camarades, surprenait par ses connaissances. Il voulait faire entrer l'imaginaire d'un enfant dans les critères de l'Éducation nationale. L'école était trop petite pour lui, il était ce qu'on appelait à l'époque, un surdoué.

    Jérôme Chantreau enquête sur la mort, dans des circonstances obscures, d'un adolescent hors norme qu'il a eu comme élève. Il va donc se rapprocher des parents de Bélhazar et de tous ceux qui l'ont connu. La première partie consacrée à l'enquête de Jérôme pour trouver la vérité et combattre la thèse officielle du suicide sur ce fait divers, est très intéressante elle nous permet de faire connaissance avec ce jeune homme érudit qui se passionnait pour les armes, pour l'Histoire en général et particulièrement par la Première Guerre mondiale, l'écriture est agréable souvent poétique. La seconde partie m'a paru bien ennuyeuse. En effet l'auteur s'évertue à entrer dans le monde imaginaire de Bélhazar et je me suis complètement égaré dans les méandres de cette poursuite d'un lapin blanc, comme dans Alice au pays des merveilles, afin de trouver les clefs pour entrer dans cet univers.
    Malheureusement, je n'ai pas réussi à basculer dans cet autre monde.

  • add_box
    Couverture du livre « Bélhazar » de Jerome Chantreau aux éditions Phebus

    Magali BERTRAND sur Bélhazar de Jerome Chantreau

    Je ne surprendrai personne en affirmant qu’il y a, dans une carrière d’enseignant, des élèves ébouriffants, exaspérants ou simplement épatants de drôlerie ou de gentillesse, que l’on croise et que l’on sait, très vite, inoubliables. Bélhazar fut de ceux-là qui, à deux reprises, croisa la route...
    Voir plus

    Je ne surprendrai personne en affirmant qu’il y a, dans une carrière d’enseignant, des élèves ébouriffants, exaspérants ou simplement épatants de drôlerie ou de gentillesse, que l’on croise et que l’on sait, très vite, inoubliables. Bélhazar fut de ceux-là qui, à deux reprises, croisa la route de Jérôme Chantreau, comme élément perturbateur de l’une de ses classes d’abord, comme meilleur ami de son beau-fils ensuite. Une troisième occasion vint le rappeler à lui, terrible, déconcertante, violente : interpellé par les gendarmes, il mourra d’une balle dans la tête, une balle tirée de sa main, d’une arme lui appartenant. Mi-fasciné par cette histoire à l’immense potentiel romanesque, mi-poussé par les parents du jeune homme devenus de proches amis, l’auteur s’est attelé, dans la douleur et les vents contraires, à la tâche herculéenne de rendre à ce bel enfant du hasard sinon la vie, du moins le reflet le plus exact possible de sa réalité. « On ne peut pas mourir quand on est jeune et qu’on sourit comme ça. »
    J’avoue être entrée sur la pointe des pieds dans ce roman qui n’en est pas tout à fait un, pas franchement à reculons, mais peu s’en fallait. J’étais tombée sous le charme de la plume ample, généreuse, racée de Jérôme Chantreau en savourant à pleines mirettes Les enfants de ma mère, son deuxième livre, mais j’avais peiné à terminer Avant que naisse la forêt, étouffée de verdure et de délires qui m’avaient échappé. Quel bonheur de se laisser à nouveau embarquer! Portant à bout de bras cet enfant lumineux et fascinant, l’auteur nous invite à le suivre dans l’intimité même du travail d’écriture en marche, mieux, dans la progression de l’homme vers sa maturité, du professeur vers ce statut d’écrivain qui l’attire et l’effraie. Là où il croit porter au jour une autre vérité sur l’histoire de cet adolescent à nulle autre pareil, c’est Bélhazar qui l’accouche de sa propre destinée, le menant de sa main sûre et légère d’enfant qui joue en toute confiance. Plus il enquête sur sa mort, plus il prend l’ampleur de sa vie, forte, intense, rayonnante, une vie de « Regardeur de soleil ». Plus il en parle, mieux il le dit, se dépouillant pas à pas d’une forme d’arrogance, de la certitude de tenir un bon sujet, gagnant, par l’humilité retrouvée du pèlerin en marche, cette proximité sans apprêt qui fait la magie des plus belles rencontres. Et c’est là que Jérôme Chantreau nous touche, c’est là qu’il nous cueille, nous laissant, à la fin de notre lecture, avec la sensation d’avoir eu cette grande chance, à ses côtés, de rencontrer, à notre tour, à des milles et des milles de tout cliché connu, une sorte de Petit Prince qui, en guise de planète, aurait eu un jardin et aurait préféré les lapins aux renards.

Discussions autour de cet auteur

Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur

Soyez le premier à en lancer une !