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Jean-Pierre Jub

Jean-Pierre Jub
Ancien dirigeant d'une société d'ingénierie en informatique, Jean-Pierre JUB a troqué le costume cravate contre la tenue de baroudeur dès la retraite venue.Il se justifie en disant : « J'ai repris le cours de mon destin là où je l'avais laissé le jour de mes vingt ans. » Jean-Pierre JUB dit de l... Voir plus
Ancien dirigeant d'une société d'ingénierie en informatique, Jean-Pierre JUB a troqué le costume cravate contre la tenue de baroudeur dès la retraite venue.Il se justifie en disant : « J'ai repris le cours de mon destin là où je l'avais laissé le jour de mes vingt ans. » Jean-Pierre JUB dit de lui : « Je ne suis ni écrivain ni photographe, mais ça ne m'empêche pas ni d'écrire ni de prendre des photos. » Il le fait avec talent et il trouve son inspiration en parcourant l'Afrique. De son expédition en 2004, il a ramené un roman « L'AFRIQUE EN DEUCHE » et une exposition photos «LES ENFANTS DU MALI. » En 2006, il sillonne l'Algérie avec son sac à dos, d'Alger à Tamanrasset, de Constantine à Oran en rentrant il confie às es amis: « J'ai trouvé un beau pays plein de contrastes : au nord la mer, la montagne et des plaines fertiles, au sud le désert, et la richesse de son sous-sol :pétrole, gaz, minerais. Les Algériens ont tout pour être heureux et prospères,hélas plusieurs générations ont été sacrifiées par l'incompétence et la malhonnêteté des dirigeants qui se sont succédés depuis l'indépendance. Les 10ans de guerre civile qui viennent de s'écouler ont laissé des traces, la peur est encore présente partout. Chacun se méfie l'un des militaires, l'autre des barbus. Quand à la jeunesse elle est amorphe et veut tout, tout de suite ce qui creuse un fossé d'incompréhension avec les anciens. C'est peut être pour ça que je semble découragé, mais c'est pour eux les Algériens que j'ai mal car c'est un peuple tellement généreux et tolérant vis à vis de nous les Français qui avons pourtant un lourd tribut à leur devoir. Je pense avoir un bon sujet de roman,mais il reste encore à travailler et je devrai très certainement retourner en Algérie pour me documenter et m'immerger dans leur culture. » Cette année en 2007, il est allé dans le désert mauritanien, du côté de Chinguetti, sur les traces de Théodore Monod