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Jean-Christophe Deveney

Jean-Christophe Deveney

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Avis sur cet auteur (16)

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    Couverture du livre « À bout de bras : la folle saga des frères Acariès » de Pierre Ballester et Jean-Christophe Deveney et Michel Acaries et Sagar aux éditions Delcourt

    L'ivresse des bulles sur À bout de bras : la folle saga des frères Acariès de Pierre Ballester - Jean-Christophe Deveney - Michel Acaries - Sagar

    De Bab-El-Oued en passant par Marseille, Paris ou New-York, la famille Acariès a connu une incroyable ascension dans le monde de la boxe. Toujours soudés, toujours là les uns pour les autres, boxeurs, soigneurs, entraîneurs, promoteurs, ils ont tout connus, ils ont rencontré les meilleurs. Une...
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    De Bab-El-Oued en passant par Marseille, Paris ou New-York, la famille Acariès a connu une incroyable ascension dans le monde de la boxe. Toujours soudés, toujours là les uns pour les autres, boxeurs, soigneurs, entraîneurs, promoteurs, ils ont tout connus, ils ont rencontré les meilleurs. Une famille, une clan, une histoire.

    Ce roman graphique rend hommage à cette famille qui a tant donné à la boxe. Round par round, chapitre par chapitre, le lecteur fait connaissance avec le père, les fils et avec le milieu complexe de la boxe. Comme dans un match, il y a des moments intenses et des moments où il faut prendre son souffle pour mieux continuer. Graphiquement, le trait de Sagar exprime parfaitement bien chaque phase de la vie, les victoires, les défaites, les rencontres.

    Un très beau roman graphique où l'on ressent la force de ce clan soudé pour toujours. Une belle découverte, d'un monde et d'une famille que je ne connaissais pas assez, alors rien que pour cela, je dis un très grand merci aux auteurs.

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    Couverture du livre « À bout de bras : la folle saga des frères Acariès » de Pierre Ballester et Jean-Christophe Deveney et Michel Acaries et Sagar aux éditions Delcourt

    Linstantbd sur À bout de bras : la folle saga des frères Acariès de Pierre Ballester - Jean-Christophe Deveney - Michel Acaries - Sagar

    Ballester et Deveney adaptent ici un livre biographique sur un duo mythique de la boxe française ; les frères Acaries.

    Nous allons suivre pas à pas l'évolution  de ses garçons, de leur jeunesse algérienne jusqu'à l'exode nécessaire en France. Alors que la boxe  leur tend les bras  Michel et...
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    Ballester et Deveney adaptent ici un livre biographique sur un duo mythique de la boxe française ; les frères Acaries.

    Nous allons suivre pas à pas l'évolution  de ses garçons, de leur jeunesse algérienne jusqu'à l'exode nécessaire en France. Alors que la boxe  leur tend les bras  Michel et Louis vont découvrir un univers rude où ils seront constamment m'y à l'épreuve.

    Partis de rien, ils vont monter très haut. A travers cet album nous allons vivre et ressenti avec eux les étapes et émotions qui vont croiser leur route. 

    Graphiquement le coup de crayon est hachuré, nerveux le tout dominé par des œuvres et couleurs sombres. C'est un style particulier mais qui représente bien le parcours de vie des frères Acaries.

    En bref un album touchant et fort à la fois. Prenez votre ticket nous sommes au premier rang pour assister à ce combat de vie  !

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    Couverture du livre « Le septième homme et autres récits » de Haruki Murakami et Jean-Christophe Deveney et Pmgl aux éditions Delcourt

    Lamelys sur Le septième homme et autres récits de Haruki Murakami - Jean-Christophe Deveney - Pmgl

    C’est sous la plume de JC Deveney que l’on découvre 9 récits assez courts, on pourrait les classer comme « tranche de vie » mais avec une dimension particulière et une dose d’étrange et d’irréel.
    Une narration qui nous entraine aisément à travers ces portraits qui font réfléchir et parfois nous...
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    C’est sous la plume de JC Deveney que l’on découvre 9 récits assez courts, on pourrait les classer comme « tranche de vie » mais avec une dimension particulière et une dose d’étrange et d’irréel.
    Une narration qui nous entraine aisément à travers ces portraits qui font réfléchir et parfois nous laisse dubitatif avec une fin abrupte.

    Si le crayon ne m’a pas charmé d’emblée, .PMGL retranscrit parfaitement l’atmosphère avec des personnages caractérisés qui ont des gueules, pas forcément belles mais avec ce truc un brin attachant que je ne saurais expliquer .
    Un trait vif et irrégulier qui fonctionne bien avec l’écrit de JC Deveney nous embarquant page après page avec fluidité.

    Une expérience de lecture surprenante, déroutante et finalement captivante même si des zones d’ombres persistes. On se laisse porter dans ces aventures humaines où notre imaginaire travaille avec une certaine réflexion.

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    Couverture du livre « Empire Falls Building » de Tommy Redolfi et Jean-Christophe Deveney aux éditions Soleil

    Julien Leclerc sur Empire Falls Building de Tommy Redolfi - Jean-Christophe Deveney

    Cette bande dessinée s’ouvre sur une rêverie tragique. Un homme en costume cravate se prépare avec nonchalance à sauter du haut d’un immeuble, dont on ne connaîtra le nom et la réputation que plus tard, et se retrouve happé par le ciel. En quelques images, des couleurs sombres et nuancées, les...
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    Cette bande dessinée s’ouvre sur une rêverie tragique. Un homme en costume cravate se prépare avec nonchalance à sauter du haut d’un immeuble, dont on ne connaîtra le nom et la réputation que plus tard, et se retrouve happé par le ciel. En quelques images, des couleurs sombres et nuancées, les auteurs se jouent de la pesanteur et d’une certaine tragédie. Il y a une pesanteur qui est déjà là et servira de fil rouge sensible à l’histoire. Edgard se retrouve dans cet immeuble qui le lieu, le territoire et, d’une certaine manière, le temps de toute la narration. On voyage complètement dans ce bâtiment dont les frontières restent floues et fascinantes, d’autant plus que le point de vue est celui d’un artiste en herbe, peu confiant, porté par ses émotions et ses rêves. Edgard n’a pas conscience de la réalité et une fois dans l’immeuble, il perd pied entièrement.
    La bande dessinée se déploie au coeur d’un lieu clos tout en poussant les murs. La narration colle bien à la puissante ambition de l’homme d’affaires et aux espoirs de l’architecte. Les calques reprenant les dessins de l’artiste viennent se coller aux pages de la bd, apportant un niveau supérieur de projection. Et c’est l’une des forces du récit, laisser de l’espace à ce que les personnages imaginent. Rien n’est jamais vraiment dit, vraiment fait. Tout est rêvé, ça donne autant d’espoir que de déceptions. Les personnages avancent donc sur le fil de cet équilibre émotionnel, la chute n’étant jamais bien loin.
    Pour éviter d’entretenir trop de flou et ainsi perdre le·la lecteur·rice, les dessins donnent de la matière faisant des personnages et surtout leurs visages des territoires marqués par le temps et les émotions. Edgard nous apparaît d’abord comme un enfant, un visage lisse sur lequel tout glisse. Au fur et à mesure, il est plus à l’épreuve, se perdant dans ce projet architectural. La fatigue se fait sentir, ses nuits sont troublées par divers bruits et il vieillit. Le temps passe et alourdit chacun. L’épouse de l’homme d’affaires présente un visage figé dans le temps et un regard très inquiet. Elle est autant une source de joie que de peur. Elle est mise en scène comme une figure antique distillant une certaine magie. Les autres personnages, l’homme d’affaires et le régisseur, ont des visages marqués, dont la chair prend le dessus sur la vie. Ce sont des statues de viande. Ils en imposent tout en étant effrayant. Ce travail graphique marque chaque apparition et donne l’impression d’une vitalité sanguine qui se serait évanouie. A contrario, un client de l’hôtel aux cheveux longs est plus souriant, encore animé par une vie, moins absorbé par l’immeuble. Il y a une véritable relation charnelle entre certains personnages et le bâtiment. Celui-ci, oeuvre de plusieurs vies d’architectes, semble avoir vampirisé ses créateurs, captant leur énergie pour mieux atteindre le sommet et les cieux.

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