« Nous sommes tous morts » ! Le lecteur ne réchappera pas de la lecture du premier roman de Salomon de Izarra (Rivages), auteur qui se fait remarquer autant par son nom, inoubliable, que par l’effronterie réussie de son roman.
« Nous sommes tous morts » ! Le lecteur ne réchappera pas de la lecture du premier roman de Salomon de Izarra (Rivages), auteur qui se fait remarquer autant par son nom, inoubliable, que par l’effronterie réussie de son roman.
J'ai retrouvé dans cette histoire des échos qui me viennent de loin, des lectures de mon adolescence.
Mais je trouve qu'il y a une certaine naïveté dans les descriptions des monstres, et comme si en 1931 on ne savait pas que rien ne peut vivre dans le vide de l'espace. Je me doute bien que ce n'est pas le cas, que c'est l'imaginaire de l'époque qui le veut...
Et pourtant, que ça fait du bien de lire ça.
D'abord il y a les descriptions du Vermont qui me font voyager, puis les représentations surannés des monstres qui m'emportent des années en arrière pour mon plus grand plaisir.
Mais le plaisir a été de courte durée !
C'est écrit sous forme purement narrative ce qui donne à mes yeux un récit un peu rébarbatif, tant le manque d'interaction et de dialogue rend le tout un peu morne.
Finalement, trop de descriptions m'ont souvent perdue en route malgré la beauté de l'écriture.
Je relirai du Lovecraft, même si celui-là ne m'en donne pas vraiment l'envie.
Lovecraft, un auteur que je connaissais de nom, que j’avais envie de lire, et qui finalement a toujours été mis de côté. Pendant le confinement, nous avons redécouvert les jeux de société. Aussi, un nouveau jeu (entre autres!) s’est ajouté à la collection: Horreur à Arkham. Il s’agit d’un jeu de cartes, évolutif et coopératif. Ce jeu est fondé sur les intrigues et l’univers de Lovecraft. Je ne cache pas que j’étais un peu sceptique au début, mais le jeu m’a conquise. La première extension est l’Héritage de Dunwich. J’ai donc voulu en savoir plus sur cet univers, et c’est pourquoi j’ai commandé l’Horreur à Dunwich.
Wilbur Whateley est un garçon pas comme les autres. D’une taille disproportionnée à un comportement des plus étranges, les habitants ont un regard méfiant sur lui. Même les animaux en ont peur. Son grand-père lui a souvent conté des histoires de rituels de sorcellerie. C’est pour cette raison que le garçon se lance à la recherche du célèbre manuscrit, le Nécronomicon. Le trouvera-t-il ? Que deviendra ce livre s’il tombe entre les mains de ce drôle de garçon ?
Un univers vraiment particulier et propre à Lovecraft. Une tension permanente et un regard contemplatif sur un monde des plus étranges. Un monde dérangeant parfois, mais qui garde des codes sociétaux que nous connaissons. Ce roman présente une certaine sombreur accompagnée d’un mysticisme où même derrière les pages, les frissons vous traversent. Le jeu est fidèle à l’univers de Lovecraft, et je ne saurai que vous conseiller le livre et le jeu !
A lire en plein jour si vous voulez découvrir Lovecraft tranquillement, sinon, privilégiez la lecture à la bougie pour plus de sensations !
Je dois vous l’avouer, j’ai lu très peu de livres d’horreur. Dans ma jeunesse, grâce à Stephen King, j’en avais découvert quelques-uns que j’avais beaucoup aimés, mais je n’ai jamais vraiment renouvelé l’expérience. La réédition par la maison Bragelonne de textes de HP Lovecraft, l’écrivain considéré comme un maître de ce genre, était donc une belle opportunité que je ne pouvais pas manquer.
J’ai donc commencé mon exploration avec deux nouvelles, complètement différentes. La première « L’appel de Cthulhu » raconte l’enquête menée par un chercheur sur des évènements extraordinaires, qui se sont déroulés à divers endroits du globe. Ses investigations vont le lancer sur les traces d’une légende occulte. Dans cette aventure, le mystique met à l’épreuve le scientifique. L’auteur nous dévoile l’ampleur des forces inconnues qui dépassent les connaissances humaines et menacent sa survie. Il crée alors le grand Cthulhu, entité cosmique dont le mythe va lui survivre.
« L’horreur à Dunwich », la seconde nouvelle est plus traditionnelle. Elle nous narre l’apparition d’une forme de vie hybride et les ravages qu’elle va occasionner au sein d’une petite communauté. Grâce à un écriture soignée mais accessible, cette aventure fantastique met en lumière le génie de l’écrivain pour les descriptions et les ambiances terrifiantes.
HP Lovecraft n’a jamais écrit de romans, uniquement des nouvelles et son talent n’a pas été reconnu de son vivant. Pourtant, lorsque l’on voit qu’il était capable d’écrire de telles histoires au début du vingtième siècle, on s’étonne de cette anomalie. Il était un homme aux idées novatrices. Il fait partie des précurseurs et a été l’inspiration de beaucoup des horribles histoires que l’on a inventées ensuite. Même si je ne suis pas un spécialiste du genre, j’ai passé un excellent moment au contact de son univers horrifique. Je complèterai donc avec joie ma collection de ses écrits.
http://leslivresdek79.com/2020/06/30/565-566-h-p-lovecraft-lappel-de-cthulhu-lhorreur-a-dunwich/
Je dois vous l’avouer, j’ai lu très peu de livres d’horreur. Dans ma jeunesse, grâce à Stephen King, j’en avais découvert quelques-uns que j’avais beaucoup aimés, mais je n’ai jamais vraiment renouvelé l’expérience. La réédition par la maison Bragelonne de textes de HP Lovecraft, l’écrivain considéré comme un maître de ce genre, était donc une belle opportunité que je ne pouvais pas manquer.
J’ai donc commencé mon exploration avec deux nouvelles, complètement différentes. La première « L’appel de Cthulhu » raconte l’enquête menée par un chercheur sur des évènements extraordinaires, qui se sont déroulés à divers endroits du globe. Ses investigations vont le lancer sur les traces d’une légende occulte. Dans cette aventure, le mystique met à l’épreuve le scientifique. L’auteur nous dévoile l’ampleur des forces inconnues qui dépassent les connaissances humaines et menacent sa survie. Il crée alors le grand Cthulhu, entité cosmique dont le mythe va lui survivre.
« L’horreur à Dunwich », la seconde nouvelle est plus traditionnelle. Elle nous narre l’apparition d’une forme de vie hybride et les ravages qu’elle va occasionner au sein d’une petite communauté. Grâce à un écriture soignée mais accessible, cette aventure fantastique met en lumière le génie de l’écrivain pour les descriptions et les ambiances terrifiantes.
HP Lovecraft n’a jamais écrit de romans, uniquement des nouvelles et son talent n’a pas été reconnu de son vivant. Pourtant, lorsque l’on voit qu’il était capable d’écrire de telles histoires au début du vingtième siècle, on s’étonne de cette anomalie. Il était un homme aux idées novatrices. Il fait partie des précurseurs et a été l’inspiration de beaucoup des horribles histoires que l’on a inventées ensuite. Même si je ne suis pas un spécialiste du genre, j’ai passé un excellent moment au contact de son univers horrifique. Je complèterai donc avec joie ma collection de ses écrits.
http://leslivresdek79.com/2020/06/30/565-566-h-p-lovecraft-lappel-de-cthulhu-lhorreur-a-dunwich/
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