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Herve Michel

Herve Michel
Michel Hervé est Président fondateur du Groupe Hervé, au sein duquel il expérimente depuis plusieurs décennies la force innovante de la démocratie concertative. Il a par ailleurs été député français, député européen, maire de la ville de Parthenay et professeur associé à l'université Paris VIII. Voir plus
Michel Hervé est Président fondateur du Groupe Hervé, au sein duquel il expérimente depuis plusieurs décennies la force innovante de la démocratie concertative. Il a par ailleurs été député français, député européen, maire de la ville de Parthenay et professeur associé à l'université Paris VIII.

Avis sur cet auteur (3)

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    Couverture du livre « Le secret du Bellerophon » de Herve Michel aux éditions Ex Aequo

    Christine M sur Le secret du Bellerophon de Herve Michel

    Un roman qui mélange Benjamin Gates, Doctor Who et Indiana Jones. Intéressant mais qui ne m'a pas convaincue jusqu'au bout à cause du mélange des genres.



    Histoire : Point de départ : un sous-marin que la mer fait réapparaître au Liban. Est-ce le Bellérophon, sous-marin disparu pendant...
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    Un roman qui mélange Benjamin Gates, Doctor Who et Indiana Jones. Intéressant mais qui ne m'a pas convaincue jusqu'au bout à cause du mélange des genres.



    Histoire : Point de départ : un sous-marin que la mer fait réapparaître au Liban. Est-ce le Bellérophon, sous-marin disparu pendant la 2de Guerre Mondiale ? C'est ce que vont tenter de découvrir Marc et Alwin, deux plongeurs américains professionnels. C'est là que commencent les ennuis, après une première plongée autour du sous-marin. Plusieurs groupes s'opposent non pas pour le sous-marin en lui-même, mais pour un artefact qu'il contiendrait. Et c'est là, le véritable objet de ce roman : l'artefact.

    C'est une histoire à la Indiana Jones, on remplace l'archéologue par des plongeurs et hop, tout fonctionne. On retrouve les mêmes thématiques avec l'objet à chercher, la relation avec la seconde guerre mondiale. Si le roman en restait là, pour moi, c'était bon et j'aurais bien apprécié cette lecture. Eh bien, non. Il faut rajouter là-dessus une autre dimension. Je ne vous dis pas laquelle afin de ne pas vous spoiler mais cette dernière ne m'a pas convaincue du tout et j'ai eu du mal à voir où l'auteur nous amenait avec cela.

    En fait, ce que je regrette un peu avec ce roman, c'est le mélange des genres qui, pour moi, n'ont pas réussi à coller ensemble et a rendu ma lecture un peu confuse. Attention, ce n'est que mon avis, et cela ne veut pas dire que cela sera le cas pour tout le monde.



    Personnages : Ici tout fonctionne : les gentils, les méchants, les gentils qui deviennent méchants, et inversement. Les personnages sont clairement définis, ils sont nombreux mais on ne se perd pas, on comprend qui est qui, le rôle joué. Par contre, j'aurais aimé comprendre un peu plus celui de Stayer car on a l'impression qu'il joue un troisième rôle mais sans que cela soit vraiment clair.



    Couverture : J'adore la couverture, elle apporte un univers qui correspond totalement au roman, et elle me donne envie de le découvrir. Donc le job est rempli.



    Plume : Je pense que c'est le point qui a dérouté ma lecture et fait que je n'ai pas complètement adhéré. Encore une fois, ce n'est que mon avis et ça ne m'empêchera pas de dire que l'auteur a fait un sacré boulot d'écriture (ce dont je serai absolument incapable).

    Je trouve que les changements de situation ne sont pas assez clairs, par moment, j'ai dû devenir sur la page précédente pour comprendre que je changeais de situation/personnage. On aurait pu rajouter des chapitres supplémentaires non pas pour rallonger le roman, mais pour mieux le découper. Le côté aventure avec les plongeurs et l'artéfact fonctionne bien. L'artéfact avec sa vraie nature fonctionne bien, mais la jonction des deux a dû mal à se faire. J'ai senti le coup venir, mais je me disais que ce n'était pas possible, il n'allait pas oser faire comme ça, et si. C'est un peu dommage, cette dernière "action" (non, je ne vous dirai toujours pas de quoi il s'agit) arrive comme un cheveu sur la soupe.

    Autre point qui m'a un peu dérangé, c'est au niveau des dialogues, je trouve que la différence entre dialogue/incise n'est pas assez précise, ce qui n'a pas rendu ma lecture fluide. Ayant une mémoire auditive, les constructions des dialogues sont importantes pour ma petite tête, vu que narrateur/personnage vont avoir une voix complètement différente dans ma tête (oui oui, parfois je me sens un peu folle ^^ ). L'usage de la ponctuation également : je n'ai plus la phrase exacte en tête mais les mots lui donnaient un ton et le point d'exclamation final un autre. Ce qui a eu pour effet de relire la phrase plusieurs fois car quelque chose clochait dans ma tête et je n'ai pas réussi à voir quoi dès le départ. Ce n'est que du chipotage bien sûr, mais c'est ce qui fait que j'adhère ou pas à la plume d'un auteur. Et je pense, que si ma lecture avait été plus fluide, je l'aurais mieux apprécié.

    Attention aux quelques petites coquilles qui se glissent dans le texte, pas très nombreuses mais elles sont là quand même.



    Pour résumer, je trouve l'histoire sympa, le schéma est classique, jusqu'au bout, on peut se demander ce qu'il va arriver aux personnages, comment tout cela va se terminer. Une porte est ouverte à une éventuelle suite, que ce soit autour de Marc et Alwin ou de l'artefact. À voir. Cependant, je ne peux pas dire que j'ai été transporté par cette lecture même si elle fut agréable. Mais il en faut pour tous les goûts !

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    Couverture du livre « La malédiction égyptienne » de Herve Michel aux éditions City

    Yv Pol sur La malédiction égyptienne de Herve Michel

    C'est ma deuxième rencontre avec Hervé Michel, après la bonne surprise de Le regard du diable. Cette fois encore c'est le premier empire qui est le contexte historique mais le lieu et le héros changent. Et les trois compères de cet opus n'épargnent pas leurs efforts pour tenter de démasquer le...
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    C'est ma deuxième rencontre avec Hervé Michel, après la bonne surprise de Le regard du diable. Cette fois encore c'est le premier empire qui est le contexte historique mais le lieu et le héros changent. Et les trois compères de cet opus n'épargnent pas leurs efforts pour tenter de démasquer le coupable qui se fait appeler le roi des mendiants et qui se cache dans les souterrains de Marseille. Voilà donc un roman qui virevolte, qui met en scène des personnages principaux et secondaires bien sympathiques et qui recèle quelques mystères. Certains d'entre eux s'éventent un peu vite, notamment l'identité du roi des mendiants ainsi que le secret du commissaire Rodier, néanmoins, la lecture est agréable jusqu'au bout et j'ai eu plus de satisfaction à me voir confirmer la véracité de mes intuitions que de déception à avoir deviné trop tôt, plutôt un indice de la qualité de ce roman policier.

    Je ne vais pas m'emballer et vous dire que c'est le polar historique du siècle, mais je n'irai pas vous dire non plus de le fuir. C'est un roman qui pourrait bien vous faire passer d'excellents moments de détente estivale. Et ça, ça n'a pas de prix, enfin, juste celui du livre...

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    Couverture du livre « Le regard du diable » de Herve Michel aux éditions City

    Yv Pol sur Le regard du diable de Herve Michel

    Parfois, lorsqu'on alimente régulièrement un blog, on reçoit des livres non demandés de la part d'éditeurs ou d'attachés de presse, directement dans sa boîte à lettres. Ce fut le cas pour celui-ci, et je l'ai laissé traîner me disant, bon encore un polar historique, le genre fonctionne bien et...
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    Parfois, lorsqu'on alimente régulièrement un blog, on reçoit des livres non demandés de la part d'éditeurs ou d'attachés de presse, directement dans sa boîte à lettres. Ce fut le cas pour celui-ci, et je l'ai laissé traîner me disant, bon encore un polar historique, le genre fonctionne bien et les héros naissent régulièrement. Puis, je l'ai ouvert, un jour où je n'avais pas trop envie des autres livres m'attendant. Et alors ? me demandez-vous impatients. Eh bien, je n'ai pas réussi à le refermer avant la toute fin. L'époque n'est pas franchement décrite mais on la sent par des tournures de phrases, des descriptions des lieux et personnages et notamment leurs vêtements, leurs conditions de vie, les moyens d'investigation des policiers. Pour être plus précis, on est en 1808 et l'Empereur n'est que peu présent, le roman n'est pas un traité d'histoire qui nous en apprendra beaucoup sur la période, mais le format assez court -à peine 300 pages aérées, ce qui me va très bien- ne permet pas de se laisser aller à des explications historiques.

    Les L'Islois tombent comme des mouches et les cadavres s'amoncellent à la morgue. Les événements s'enchaînent à un rythme à peine soutenable, maintenant le lecteur dans un état d'inquiétude et de stress quasi permanent. Pas le temps de s'ennuyer dans ce roman policier historique qui file à toute vitesse. Divine surprise donc que Le regard du diable. Le duo d'enquêteurs fonctionne bien, il est bien sympathique et secondé par le lieutenant Joubert et les pêcheurs de L'Isle sur la Sorgue. L'intrigue est suffisamment retorse pour perdre le lecteur et lui faire envisager plusieurs coupables, même si quelques indices sont semés ça et là pour affiner ses doutes.

    Moralité : si vous tombez sur ce livre, ne faites pas comme moi, n'hésitez pas, très bons moments assurés.

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