Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
« Je ne suis plus ! À vrai dire pas encore tout à fait, ce qui fait de moi une post-mortem, du moins c’est ce qu’affirme Mamie Orties ! ».
Dans ce premier tome, on fait la connaissance d’Alisik, qui se réveille dans un cimetière, et qui comprends peu à peu qu’elle est morte. Entourée des autres habitants, elle va peu à peu découvrir ses capacités, ses limites. Le temps paraît bien long, jusqu’à l’arrivée de Ruben, jeune garçon aveugle qui entend les fantômes…
L’histoire est assez sympa, l’univers s’installe doucement, les personnages hauts en couleurs sont franchement bien dessinés. Les planches sont très belles et m’ont fait penser à Tim Burton.
La mort est abordée comme un conte, poétique, tout en finesse et humour.
Un bon début de série avec de superbes illustrations et une histoire touchante.
Si vous ne connaissez pas, je vous la recommande…
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