Nathalie pose ses questions et celles de nos lecteurs à Gilles Legardinier ! A l'occasion de la sortie du livre de Gilles Legardinier "Quelqu’un pour qui trembler" Nathalie participe à la Conversation Virtuelle avec lecteurs.com
Placée sous le signe de l’humour et de la gaité, découvrez cette rencontre inattendue avec Gilles Legardinier, un auteur toujours positif et optimiste dont le succès ne se dément pas ! Une fois n’est pas coutume, à l'occasion de la...
Auteur à succès avec ses romans où l'humour est de rigueur comme "Complètement cramé", "Demain j'arrête" et récemment, "Et soudain tout change", Gilles Legardinier, auteur plein de projets, nous a accordé une interview "Autour d'un verre"...
Nathalie pose ses questions et celles de nos lecteurs à Gilles Legardinier ! A l'occasion de la sortie du livre de Gilles Legardinier "Quelqu’un pour qui trembler" Nathalie participe à la Conversation Virtuelle avec lecteurs.com
Le temps des vacances, qui rime souvent avec lecture, est le moment idéal pour s’abandonner à ces titres qui nous ont fait envie et que nous n’avons pas eu le temps de lire. Ils viennent de sortir en format de poche, un format idéal à glisser dans la valise ou le sac de plage.
Auteur à succès avec ses romans où l'humour est de rigueur comme "Complètement cramé", "Demain j'arrête" et récemment, "Et soudain tout change", Gilles Legardinier répond à nos questions "Autour d'un verre".
Oh là là mais quel désastre. Autant j'avais adoré "Ca ne peut pas rater", autant j'ai détesté ce livre. L'histoire est remplie de banalités, le lecteur devine déjà à l'avance tout ce qui va se passer dans cette histoire, il n'y a rien de surprenant, juste des lieux communs. C'est du déjà vu à chaque page, aucun entrain dans l'écriture, des personnages sans personnalités. Rien, le vide total.
Chronique précédemment parue sur le blog www.sambabd.net
Jouons franc-jeu ! Je n’ai pas lu le roman de Gilles Legardinier. Pire, peut-être, je ne connaissais pas Gilles Legardinier. Erreur ? je ne sais pas… En tout cas, l’adaptation de son roman par Convard et Brazao plaide plutôt en la faveur d’un rattrapage littéraire concernant ce bon monsieur…
Car en effet, si l’on met de côté le dessin qui, sans être horrible est un peu trop statique au niveau des personnages et un peu trop froid par son réalisme et ses couleurs (les décors, eux, sont de très bonne facture, tout de même !), le scénario est vraiment très sympa. La patte Convard fonctionne toujours aussi bien : un peu d’ésotérisme par-ci, un peu de mystère sur les grands de ce monde, notamment les tyrans, notamment les nazi, un peu de sites archéologiques par là… Et roule ma poule. Je vous cale une romance entre un professeur passif et une superflic qui en a dans le pantalon et le tour est joué…
Bon, je caricature un brin, certes, mais je ne plaisante pas en disant que ça fonctionne. On se laisse bien entraîner par l’histoire et on a clairement envie de savoir qui est derrière tout ça et comment cela va se développer et se terminer… Après, chat échaudé craignant l’eau froide, vu qu’il ne s’agit que d’un diptyque, j’ai bien peur que la seconde partie ne soit un peu bâclée, comme cela arrive de plus en plus fréquemment, et que nous restions sur notre faim… Bon, ne soyons pas mauvaise langue. On verra bien.
En attendant, ce premier tome est plutôt réussi.
Quelle déception. L'histoire est franchement banale, aucun suspens, le sujet est survolé... bref à faire. Dommage car cet auteur a habituellement le don de nous embarquer dans des romans si agréable à lire.
Legardinier, c'est tout ou rien pour moi.
Malheureusement cette fois-ci, c’est rien.
Impossible d'entrer dans cette histoire.
Je ne comprends rien, je ne sais pas où il veut en venir.
Il y a les bons et les gentils d'un Ordre qui doit protéger le trésor des Templiers.
Et il y a les méchants des grands groupes économiques qui veulent s'en emparere
Ah non, ce n'est pas ça ?
Quand je vous dis que je n'ai rien compris.
J'ai perdu depuis trop longtemps mon âme adolescente et suis hermétique à ce à genre de récit mi-fantastique, mi-je ne sais quoi.
Bon, j'ai quand même tenu une centaine de pages sur près de 500.
Pas mal non ?
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