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J ai trouvé fascinant cet univers dans lequel nous baigne Alain Damasio. Le découpage et les dessins d'Éric Henninot sont très beaux, vivants, dynamiques. Mais bizarrement, le récit ne coule pas, tout ça est un peu confus... Les textes sont très présents, trop densifiés, sûrement pour rester fidèles au roman. Ca rend la lecture fastidieuse et éteind un peu le plaisir.
J'aurais probablement dû lire la version couleur, qui aurait rajouté du contraste et aussi aidé à distinguer mieux les protagonistes de la Horde. Ça sera le cas pour le tome 2...
Et à coup sûr, je vais me lancer avant dans la lecture du roman, car j'ai l'impression qu'il est préférable d'être pré-initié pour mieux apprécier cette saga.
Quel plaisir de redécouvrir l'univers de Damasio sous le coup de crayon d'Éric Henninot ! En commençant l'album, je n'avais aucune attente et j'ai été complètement emportée et il me tarde de lire la suite. Il me tarde d'arriver à la source du vent avec les 23 membres de la 34e horde !!
Le roman est un chef d'œuvre, la BD inspirée de l'histoire est elle aussi magnifique. L'auteur a réussi à s'emparer de l'univers de damassio pour y apporter sa touche et surtout son graphisme somptueux, je redécouvre ce récit.
Ce tome de la saga Sept nous mène sur une île. Sept enfants, naufragés, jouent en toute insouciance sur cette île. Mais un jour, un enfant se rend compte qu’il n’arrive plus à se souvenir des jours précédents et se décide à écrire un journal pour se rappeler.
Après un début qui installe les lieux et les personnages, nous découvrons un récit loin d’être passionnant. Devinant facilement avant le tiers de l’histoire l’hypothétique dénouement, l’histoire se pousse mollement jusqu’à la fin, et c’est sans surprise, avec des révélations qui arrivent finalement trop tardivement pour nous surprendre ou nous émerveiller. L’histoire est complétement ratée.
En revanche, le graphisme est plutôt bien réalisé avec des traits assez ronds, sans violence, se prêtant particulièrement à l’univers des enfants. Les couleurs sont bien traitées et sont fidèles à l’ambiance voulue.
En somme, l’album est assez décevant.
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