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Francisco Goldman

Francisco Goldman
Francisco Goldman est né en 1954 à Boston. Écrivain et journaliste, il enseigne au Trinity College dans le Connecticut. Il est l'auteur de quatre romans – Dire son nom (Prix Femina étranger 2011), L'époux divin (Éditions de l'Olivier, 2006), The Ordinary Seaman (1997) et The Long Night of White C... Voir plus
Francisco Goldman est né en 1954 à Boston. Écrivain et journaliste, il enseigne au Trinity College dans le Connecticut. Il est l'auteur de quatre romans – Dire son nom (Prix Femina étranger 2011), L'époux divin (Éditions de l'Olivier, 2006), The Ordinary Seaman (1997) et The Long Night of White Chickens (1992) – et d'un ouvrage de non-fiction, The Art of Political Murder (2007). Il a reçu le Sue Kaufman Prize of American Academy of Arts and Letters pour son premier livre. Son second roman figurait parmi les finalistes des prestigieux International IMPAC-Dublin Literary Award et du Los Angeles Times Book Prize. Ses textes de fiction sont fréquemment publiés dans le New Yorker, Harper's, The New York Times Magazine, Esquire, The New York Review of Books, entre autres. Sa femme, Aura Estrada, est morte tragiquement à l'âge de 30 ans en 2007. C'est en son honneur qu'il a créé et dirige le Aura Estrada Prize remis tous les deux ans à une femme de moins de 35 ans qui écrit en espagnol et vit aux États-Unis ou au Mexique. Francisco Goldman partage son temps entre Brooklyn, New York et Mexico.

Avis sur cet auteur (2)

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    Couverture du livre « Dire son nom » de Francisco Goldman aux éditions 10/18

    Elizabeth Pianon sur Dire son nom de Francisco Goldman

    Aura, la femme de l’auteur, à peine trente ans, meurt lors d’une séance de surf.
    Inconsolable, fou d’amour et de chagrin, il continue à la faire vivre à travers ces pages.
    C’est émouvant, c’est triste, c’est beau (malgré quelques longueurs)
    Retours sur la famille d’Aura et sur la...
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    Aura, la femme de l’auteur, à peine trente ans, meurt lors d’une séance de surf.
    Inconsolable, fou d’amour et de chagrin, il continue à la faire vivre à travers ces pages.
    C’est émouvant, c’est triste, c’est beau (malgré quelques longueurs)
    Retours sur la famille d’Aura et sur la sienne.
    Souvenirs des merveilleux moments de leur courte vie commune, entre le Mexique et les Etats-Unis.
    Il retrace l’enfance et la jeunesse d’Aura.
    Petit bémol : n’est-il pas un peu impudique vis-à-vis d’elle (même à titre posthume) de retranscrire ses journaux intimes ?
    Il semble difficile que Francisco Goldman réussisse à surmonter ce deuil.
    « Dire son nom » pour qu’elle continue à vivre.
    « Dire son nom » pour continuer à lui dire son amour.
    « Dire son nom » encore et encore.

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    Couverture du livre « Dire son nom » de Francisco Goldman aux éditions 10/18

    Virginie Vuidart sur Dire son nom de Francisco Goldman

    "Chaque jour est une ruine, la ruine du jour qu'il aurait dû être".
    Fransisco Goldman nous parle de sa jeune épouse trop tôt disparue, décédée dans un accident sur une plage du Mexique. Le récit est émouvant, poignant. Il parle d'Aura avec délicatesse, regret et toujours avec amour. Il nous...
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    "Chaque jour est une ruine, la ruine du jour qu'il aurait dû être".
    Fransisco Goldman nous parle de sa jeune épouse trop tôt disparue, décédée dans un accident sur une plage du Mexique. Le récit est émouvant, poignant. Il parle d'Aura avec délicatesse, regret et toujours avec amour. Il nous parle de son enfance, de leur rencontre, leur mariage, de leurs projets, de sa vie à lui après son décès. On pleure avec lui et on regrette de ne pas avoir connu Aura Estrada.
    Je le conseille vivement, c'est un livre magnifique.

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