Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Eugene Trivizas

Eugene Trivizas

La biographie de cet auteur n'est pas encore disponible, connectez-vous pour proposez la vôtre :

/1200

Merci d’utiliser une photo au format portrait en indiquant les copyrights éventuels si elle n’est pas libre de droits.

Nous nous réservons le droit de refuser toute biographie qui contreviendrait aux règles énoncées ci-dessus et à celles du site.

Les textes à caractère commercial ou publicitaire ne sont pas autorisés.

Avis sur cet auteur (3)

  • add_box
    Couverture du livre « Le dernier chat noir » de Eugene Trivizas et Michèle Justrabo aux éditions Jasmin

    Evlyne Léraut sur Le dernier chat noir de Eugene Trivizas - Michèle Justrabo

    Le Dernier chat noir
    Eugène Trivizas
    Traduit du grec par Michèle Justrabo
    Editions du Jasmin.
    Saad Bouri
    L'anthropomorphisme est de finesse et d'excellence.
    Sociétale, politique, cette satire est une piqûre de rappel.
    Ce sont les chats, qui, ici, content l'évènementiel advenu sur cette...
    Voir plus

    Le Dernier chat noir
    Eugène Trivizas
    Traduit du grec par Michèle Justrabo
    Editions du Jasmin.
    Saad Bouri
    L'anthropomorphisme est de finesse et d'excellence.
    Sociétale, politique, cette satire est une piqûre de rappel.
    Ce sont les chats, qui, ici, content l'évènementiel advenu sur cette île où au préalable, chats et humains cohabitaient tout en amitié et tolérance.
    "La plupart des hommes étaient gagnés par une haine généralisée pour tout ce qui revêtait la couleur noire."
    Dictature, oppression, la liberté de conscience bafouée, les chats sont des boucs émissaires, des cibles. Plus un seul sur l'île, telle est la consigne.
    Il y a une sacrée morale dans ce grand livre.
    "En accusant les chats de tous les maux de l'île, ils trouvent là la parfaite excuse de leurs échecs, de la récession du pays."
    Apprendre à toujours se méfier comme le disait Prosper Mérimée.
    Traduit dans plus de 10 langues et maintenant en français, c'est une chance inouïe.

  • add_box
    Couverture du livre « Les oreillers magiques » de Eugene Trivizas aux éditions Jasmin

    Evlyne Léraut sur Les oreillers magiques de Eugene Trivizas

    « Les oreillers magiques » d’Eugène Trivizas méritent la plus symbolique des nuits. Cet album jeunesse est une surprise de haute voltige. Le lire, c’est grandir. Engagé, subtil, il déploie les valeurs humanistes en hymne vivifiant. Dénonciateur, tout en finesse, son sceau révèle une vertueuse...
    Voir plus

    « Les oreillers magiques » d’Eugène Trivizas méritent la plus symbolique des nuits. Cet album jeunesse est une surprise de haute voltige. Le lire, c’est grandir. Engagé, subtil, il déploie les valeurs humanistes en hymne vivifiant. Dénonciateur, tout en finesse, son sceau révèle une vertueuse rencontre avec l’auteur, dont les mots sont des signaux. Il pointe du doigt là où ça fait mal. Il y a tout pour réussir sa vie, et trouver sa voie. Les clefs sont suggérées. L’histoire profonde, certaine, incite à l’élévation pour le lecteur. L’hédonisme, la fraternité, le Vivre-Ensemble, le droit au Bovarysme sont l’encre de cette histoire. Les tyrannies, les soumissions, les dictatures, les lois oppressantes qui font mourir la fleur sur le goudron du mal sont dénoncées. C’est un album empreint d’une dualité exemplaire écrite avec habileté. Manichéen, sa grandeur est une conviction. Le lecteur sait où se trouve sa place, dans le blanc de cette trame de renom, et du côté du maître d’école résistant et de ses élèves combattants de la première heure. Ils réussiront à abattre le fléau machiavélique grâce aux rêves. Plus que cela encore, cet album jeunesse est le « Matin Brun » de Franck Pavloff pour les enfants. Cet album culte est un outil. Le lecteur (petit ou grand) approuve « Les oreillers magiques » qui cache sous Villeciel où règne Croque-Peuple 1ier l’amplitude d’une liberté possible, à condition de croire et en ses rêves et combats, en l’unité et sa concorde, et en à la persévérance. Cet album est une fierté de lecture, une heure de gloire. Il doit se trouver et vite dans chaque école, chaque lieu de vie. Son enseignement est le meilleur qui soit donné à l’enfant pour s’émanciper. Les illustrations expressives toutes de noir et blanc de Behry Rotsen sont une double lecture enchanteresse. Traduit à la perfection du Grec par Michèle Justrabo cette merveille méritante, devient un alliage prometteur et doué. Les Editions du Jasmin prouvent une nouvelle fois une ligne éditoriale hors pair, majeure et universelle. « Les oreillers magiques » sauveur, intuitif, est dans la cour des Grands.

  • add_box
    Couverture du livre « Le dernier chat noir » de Eugene Trivizas et Michèle Justrabo aux éditions Jasmin

    Le Chat rouge sur Le dernier chat noir de Eugene Trivizas - Michèle Justrabo

    Extraordinaire !

    Extraordinaire !

Discussions autour de cet auteur

Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur

Soyez le premier à en lancer une !