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Edmond Rostand

Edmond Rostand
Fils de l'économiste Eugène Rostand, Edmond Rostand fait des études de droit à Paris avant de se consacrer à l'écriture. Il écrit, d'abord sans succès, des poèmes puis une comédie en vers, 'Les romanesques'. Ses pièces en vers, 'La princesse lointaine' et 'La Samaritaine', écrites pour l'actrice ... Voir plus
Fils de l'économiste Eugène Rostand, Edmond Rostand fait des études de droit à Paris avant de se consacrer à l'écriture. Il écrit, d'abord sans succès, des poèmes puis une comédie en vers, 'Les romanesques'. Ses pièces en vers, 'La princesse lointaine' et 'La Samaritaine', écrites pour l'actrice Sarah Bernardt ont connu un certain succès. Mais, si Edmond Rostand est encore lu aujourd'hui c'est grâce à la gloire qu'a rencontré sa pièce en cinq actes, 'Cyrano de Bergerac'. 'L'Aiglon' reçoit quelques années plus tard un succès analogue. Rentré à l'âge de trente trois ans à l'Académie française, il meurt de la grippe espagnole en 1918. 'Cyrano de Bergerac' est la pièce qui a réhabilité le drame romantique en France et qui, sans subir l'usure du temps, connaît des succès jamais démentis lors de chacune des ses adaptations au théâtre ou au cinéma.

Articles en lien avec Edmond Rostand (1)

Avis sur cet auteur (26)

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    Couverture du livre « Cyrano » de Edmond Rostand aux éditions J'ai Lu

    Sarah. A sur Cyrano de Edmond Rostand

    Je ne suis pas une fan du théâtre cependant cette pièce de théâtre est pour moi celle que je préfère pour le style, l'histoire romantique, et le panache de Cyrano.
    Comment ne pas tomber sous le charme des mots de Cyrano qui emporte dans un tourbillon bien des sentiments...

    Je ne suis pas une fan du théâtre cependant cette pièce de théâtre est pour moi celle que je préfère pour le style, l'histoire romantique, et le panache de Cyrano.
    Comment ne pas tomber sous le charme des mots de Cyrano qui emporte dans un tourbillon bien des sentiments...

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    Couverture du livre « Cyrano » de Edmond Rostand aux éditions J'ai Lu

    caro manil sur Cyrano de Edmond Rostand

    Classique
    Théâtre
    Encore une fois, un vrai chef d'oeuvre ! Je me nourris de ces phrases superbes ... j'en suis très friande et gourmande comme je suis, j'en veux encore !!!
    Je connaissais la fameuse tirade des nez mais je ne connaissais pas l'histoire ... je suis émue, très émue !

    Classique
    Théâtre
    Encore une fois, un vrai chef d'oeuvre ! Je me nourris de ces phrases superbes ... j'en suis très friande et gourmande comme je suis, j'en veux encore !!!
    Je connaissais la fameuse tirade des nez mais je ne connaissais pas l'histoire ... je suis émue, très émue !

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    Couverture du livre « Cyrano de Bergerac » de Edmond Rostand aux éditions Folio

    Natalie Peron sur Cyrano de Bergerac de Edmond Rostand

    Incontournable. A voir en pièce de théâtre, mais, sans surprise très déçue des adaptations cinématographiques. A lire et à relire, surtout quand le paraitre est de plus en plus important. Comment éblouir par ses mots, et non par son apparence.

    Incontournable. A voir en pièce de théâtre, mais, sans surprise très déçue des adaptations cinématographiques. A lire et à relire, surtout quand le paraitre est de plus en plus important. Comment éblouir par ses mots, et non par son apparence.

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    Couverture du livre « Cyrano de Bergerac » de Edmond Rostand aux éditions Folio

    plume parisienne sur Cyrano de Bergerac de Edmond Rostand

    "Ne le plaignez pas trop : il a vécu sans pactes,
    Libre dans sa pensée autant que dans ses actes."

    1983. Ma marraine m'emmène voir Cyrano de Bergerac au théâtre Mogador, probablement en juin, pour mes 11 ans.
    C'est le grand Jacques Weber qui joue l'homme au panache. Je suis subjuguée et...
    Voir plus

    "Ne le plaignez pas trop : il a vécu sans pactes,
    Libre dans sa pensée autant que dans ses actes."

    1983. Ma marraine m'emmène voir Cyrano de Bergerac au théâtre Mogador, probablement en juin, pour mes 11 ans.
    C'est le grand Jacques Weber qui joue l'homme au panache. Je suis subjuguée et fascinée par la taille de la salle, le velours rouge des sièges. Mais de la pièce je n'ai rien retenu, marquée au fer blanc par la remarque de ma marraine sur ma tenue, pas assez chic, pas assez fille (assez garçon manqué j'avais mis mon plus beau pantalon corsaire rouge et un polo).

    "Oh !... Délabyrinthez vos sentiments !" dit Roxane.

    Cela explique sans doute en partie pourquoi je n'avais jamais lu la pièce jusqu'à ce jour, le souvenir encore trop présent malgré les 38 ans passés depuis !

    Quelle erreur... et en même temps quelle joie de pouvoir découvrir maintenant ce texte jubilatoire, cette puissance de la langue au service de l'amour et du courage.
    Est-ce bien utile de vous raconter la trame de cette histoire d'amour à trois voix ? De vous présenter Cyrano de Bergerac fier Cadet de Gascogne, le pâle Christian de Neuvillette et Roxane la bien-aimée ? Raguenau, pâtissier poète et le Comte de Guiche ?

    "Moi, c'est moralement que j'ai mes élégances."

    "Impossible, monsieur ; mon sang se coagule en pensant qu'on y peut changer une virgule."

    "Calculer, avoir peur, être blême, préféré faire une visite qu'un poème, rédigé déplacé se faire présenter ? Non merci ! Non merci ! Non merci ! Mais chanter, rêver, rire, passer, être seul, être libre, avoir l'oeil qui regarde bien, la voix qui vibre, mettre, quand il vous plaît, son feutre de travers, pour un oui, pour un non, se battre, -ou faire un vers !"

    "Puisque tu crains, tout seul, de refroidir son coeur,
    Veux-tu que nous fassions - et bientôt tu l'embrases!-
    Collaborer u peu tes lèvres et mes phrases?..."

    "Je suis las de porter en moi-même un rival !"

    Un coup de coeur absolu, un classique indispensable.