Cela faisait longtemps que je n'avais pas lu de roman de Donato Carrisi, et j'ai pris beaucoup de plaisir avec celui la, même si celui ci est différent de ses précédents.
L'histoire débute avec un enfant qui se sauve de la noyade lui même alors que sa mère l'abandonne là. On le retrouve adulte, il est devenu l'homme qui nettoie ... et l'homme qui observe et découvre la vie des femmes d'après le contenu de leur poubelle.
En parallèle il y a la femme mouche qui elle va au secours des femmes victimes de violences.
C'est super bien mené, mystérieux à souhaits avec de nombreux rebondissements peut être un peu moins violents que dans les précédents romans. J'y ai même trouvé une subtile douceur. Un roman qui maintient en haleine de bout en bout, et un final surprenant.
Il s’agit de ma première lecture d’un des romans de Donato Carrisi. J’ai bien vu que ses dernières sorties étaient très attendues à chaque fois. Amatrice de thriller, il fallait qu’à un moment donné, je tente l’aventure avec cet auteur très populaire.
Alors, effectivement, ça marche bien : des chapitres courts, un suspense entretenu tout au long de l’intrigue, une fin qui répond et qui recoupe toutes les questions auxquelles le lecteur attend des réponses.
Oui mais voilà, il me manquait un brin de profondeur à ce roman. Pourtant, l’auteur prend son temps. Il y a une double temporalité sur le passé et le présent de « l’homme qui nettoyait » et c’est ce qui est intéressant et très prenant. Les pages se tournent toute seules, et ça, ça fait un bien fou. Mais, malgré un passé assez lourd du personnage principal, j’ai comme eu l’impression d’avoir un rapide aperçu de ce personnage. J’ai deviné pas mal de choses sur l’intrigue et les tenants et aboutissants d’un des personnages, un peu mystique. Je n’avais pas vu un autre aspect qui m’a effectivement surprise. En réalité, on comprend tout à la fin, mais j’aurais voulu être un peu plus surprise.
Je pense malgré tout que j’ai été un peu exigeante en commençant ma lecture devant les critiques largement positives que j’ai lues sur les romans de cet auteur. Il semblerait que j’ai mis la barre un peu haute. J’ai passé malgré tout un bon moment de lecture, regrettant parfois que le roman ne me surprenne pas plus que ça.
Je retenterai peut-être avec moins d’attente que la première fois.
Je ne le répéterai jamais assez fort, j'adore les livres de Donato Carrisi. Je n'en loupe aucun.
Ce volume est la suite de "La maison des voix" où l'on suit le travail du Dr Pietro Gerber. Si vous avez manqué de lire le volume précédent, il ne vous empêchera pas de comprendre et d'apprécier cette lecture.
Grâce aux recherches de Carrisi, on apprend la complexité de l'esprit et le résultat d'une manipulation de celui-ci. C'est un roman prenant même si angoissant. On le suit sur ce nouveau dossier d'un enfant retrouvé et de sa mère disparue. Il ne parle plus, et est donc soupçonné de l'avoir éliminée...
J'ai retiré une étoile car comme à son habitude, il y a de fameux rebondissements et une belle intrigue.. sauf que dans celui-ci, il faudra patienter jusqu'à la sortie du prochain numéro pour connaître les prochaines mouvements des protagonistes.
On retrouve la vie de Pietro Gerber qui cette fois plonge dans ses souvenirs d’enfance. C’est efficace, agréable à lire et on attend la suite. Un seul bémol le personnage d’Anna Hall est évoquée mais sans plus, il faut je pense attendre le suivant.
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