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Dean Koontz

Dean Koontz

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Avis sur cet auteur (40)

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    Couverture du livre « Dark Web » de Dean Koontz aux éditions Archipoche

    La Pirate sur Dark Web de Dean Koontz

    Évalué 3 étoiles, un thriller captivant sur le moment mais qui ne laissera pas un grand souvenir…

    Dark Web de Dean Koontz, Série Jane Hawk, volume 1, traduit de l’anglais (É-U) par Sebastian Danchin, Audible Studios, 2018 (1ère édition : L’Archipel, 2018).

    Jane Hawk, inspectrice du FBI,...
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    Évalué 3 étoiles, un thriller captivant sur le moment mais qui ne laissera pas un grand souvenir…

    Dark Web de Dean Koontz, Série Jane Hawk, volume 1, traduit de l’anglais (É-U) par Sebastian Danchin, Audible Studios, 2018 (1ère édition : L’Archipel, 2018).

    Jane Hawk, inspectrice du FBI, refuse de croire que son mari se soit donné la mort. Pour elle, il y a une autre raison. Sa conviction en sort renforcée lorsqu’elle apprend qu’une vague inexpliquée de suicides frappe le pays.
    Elle se met hors-la-loi, disparaît des radars pour mener une enquête pleine d’action et de rebondissements.

    Une intrigue plutôt flippante, sur une possible manipulation des populations par des individus sans scrupules aux idéologies et mœurs douteuses.

    Un livre retrouvé dans les profondeurs de ma PAL audio, plutôt bien servi par la narratrice, Pascale Chemin, qui m’a permis de patienter au fond de mon lit, terrassée par un virus grippal.
    Pour une fois que j’ai commencé une série par le premier tome, je ne suis pas certaine de continuer : trop action/réaction pour moi.

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    Couverture du livre « Intensite » de Dean Koontz aux éditions Pocket

    Bernard Viallet sur Intensite de Dean Koontz

    En Californie, deux étudiantes en psychologie, Laura et Chyna, sont invitées à passer le week-end dans la résidence des parents de Laura. Si celle-ci a eu la chance de bénéficier d’une enfance heureuse et équilibrée, ce ne fut pas le cas de son amie Chyna qui grandit sans père, avec une mère...
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    En Californie, deux étudiantes en psychologie, Laura et Chyna, sont invitées à passer le week-end dans la résidence des parents de Laura. Si celle-ci a eu la chance de bénéficier d’une enfance heureuse et équilibrée, ce ne fut pas le cas de son amie Chyna qui grandit sans père, avec une mère alcoolique, instable, sans emploi et souvent accompagnée de personnages peu recommandables. Elle a passé toute son enfance et sa jeunesse dans la peur, souvent en se cachant dans les endroits les plus improbables pour échapper aux avances des amis ivrognes ou drogués de sa mère. Accueillie chaleureusement par la famille, Chyna monte se coucher et peine à trouver le sommeil. Et soudain, elle entend un cri strident dans la nuit, suivi d’un bruit de chute bien inquiétant. Elle entend aussi des pas dans le couloir et en conclut qu’un inconnu s’est introduit dans la maison. Elle a l’excellent réflexe de se cacher sous son lit. Un inconnu aux bottes tachées de sang entre dans sa chambre mais ne la trouve pas. Quand le calme revient, elle sort de sa cachette. Mais c’est pour découvrir que toute la famille a été sauvagement assassinée et que son amie vient d’être violée. Le tueur l’embarque dans son camping-car. Chyna s’y glisse également dans l’espoir de sauver la vie de Laura. Mais quand elle s’aperçoit que celle-ci est déjà morte, il est déjà trop tard pour s’enfuir…
    « Intensité » est un thriller d’assez bonne facture avec tous les ingrédients du genre : meurtres, tortures physiques et psychologiques, psychopathe aussi inquiétant que répugnant et suspens soigneusement entretenu. Peur et écœurement garantis presque à tous les chapitres. Dommage que tous ces ingrédients ne soient en fait que de grosses ficelles. L’intrigue manque de finesse et parfois même de rythme. Le lecteur tremble avec l’héroïne et est révulsé par le sadisme et la cruauté malsaine du tueur fou. Mais parfois la lassitude vient avec le dégoût. Trop, c’est trop… On patauge un peu trop dans l’hémoglobine et les sanies et tous les ressorts psychologiques sont autant usés qu’outrés. À déconseiller aux âmes sensibles bien évidemment. Mais également aux amis du rationalisme et de la vraisemblance. Sans parler des connaisseurs en psychologie humaine. À vouloir trop forcer le trait, on tombe dans l’outrance et la caricature. L’intrigue démarre assez lentement après une intro bien gore, puis monte crescendo pour une fin dantesque de bataille avec une meute de dobermans dressés à tuer. Dean Koontz est un maître du genre. Il maitrise son sujet. Mais là, il a sans doute trop chargé la mule. Conclusion : pas le meilleur de ses opus !

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    Couverture du livre « Dark Web » de Dean Koontz aux éditions Archipoche

    Michel Gardin sur Dark Web de Dean Koontz

    Dark Web de Dean Kontz

    Personne n'est à l'abri... avec sa couverture d'un demi-visage de femme en coin, yeux bleus intense et lèvre rouge en transparence une grille de lettre et de chiffre, comme l'on peut lire en programmation sur un ordinateur, ce livre sur l'étagère de la bibliothèque a...
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    Dark Web de Dean Kontz

    Personne n'est à l'abri... avec sa couverture d'un demi-visage de femme en coin, yeux bleus intense et lèvre rouge en transparence une grille de lettre et de chiffre, comme l'on peut lire en programmation sur un ordinateur, ce livre sur l'étagère de la bibliothèque a attiré mon regard. Comme quoi une couverture d'un livre peut être la première porte pour s'emparer d'un livre. La sentence de la quatrième page de couverture « Il faut que j'en finisse... c'est urgent ! » me conduit tout naturellement à lire ce texte. Tels sont les derniers mots d'un homme que la vie semblait avoir comblé... mais qui y a lis fin. Brutalement. Et me voici embarqué derrière Jane Hawk, inspectrice du FBI, qui refuse que son mari Nick, qui venait de recevoir la très prestigieuse Medal Of Honor de la Navy affecté à la direction du Développement des unités combattantes de Quantico a mis fin à ses jours voici quatre mois. «  J'étais en train de préparer le dîner. Il s'est rendu dans la salle de bains. Ne le revoyant pas revenir, je me suis inquiétée et je l'ai retrouvé dans la baignoire tout habillé. Il s'était servi de son poignard de combat Ka-Bar et enfoncé la lame profondément au niveau du cou se sectionnant la carotide. »
    C'est ainsi que tout au long de ce roman, à la suite de Jane Hawk, nous allons rencontrer dans un premier temps des personnes qui ont eu des proches qui se sont suicidées, ou du moins ont été répertoriées comme telles par les instances policières qui ont peu ou prou enquêté.
    Persuadée qu'il s'agit d'un meurtre et non que son mari s'est suicidé, Jane Hawk prend un congé sans solde du Bureau et reprend tous les dossiers des personnes qui se sont suicidées.
    Très vite elle se rend compte que ses investigations ne sont pas du goût de tout le monde et doit alors, prendre différentes précautions pour protéger son fils Travis, mais aussi sa propre vie qui est menacée. Elle quitte son domicile, change de véhicule, n'utilise plus ni GPS, ni ordinateur, ni téléphone hormis des portables prépayés, qu'elles détruits systématiquement après chaque conversation. Elle change son allure, utilise de nombreux documents falsifiés pour changer d'identité, dort dans des hôtels de seconde zone, son arme de poing à portée de main.
    Au fur et à mesure des différents chapitres, Dark Web nous fait vivre une enquête à la rencontre de personnages qui vont lui apporter des preuves, comme quoi le suicide de son mari et d'autres fait partie d'un plan diabolique mené au plus haut niveau qui s'il va jusqu'au bout aura des conséquences terribles pour l'humanité toute entière. La visite du site Aspasie vous donnera rétrospectivement des frissons dans le dos et je ne veux pas vous dévoiler des scènes d'action particulièrement bien décrites qui comme l'écrit Kirkus Reviews, sont du grand spectacle.
    Le titre Dark Web, laisse à penser que ce Thriller est dans le côté sombre d'internet, Oui dans le sens que par l'intermédiaire des réseaux il est très facile de connaître tout de la vie des personnes qui les utilisent. Mais c'est aussi une réflexion sur ceux qui sont désignés comme Ils, que l'on ne connaît pas, mais qui à la tête de fortune colossale, manipule, complote, corromps, tuent, prostituent
    pour assouvir leur pouvoir sur le reste de l'humanité, par la manipulation mentale.
    Voilà, tout est dit pour que vous aussi vous ayez le plaisir de lire Dark Web de Dean Kontz.
    Ses ennemis dans l'ombre détiennent des secrets si terrifiants qu'ils sont prêt à éliminer, tout ceux qui sont susceptibles de les confondre. Jane Hawk qui devient la fugitive la plus recherchée des États-Unis, possède plusieurs atouts, une froide détermination, une intelligence, aucune limite, eet l'amour comme vengeance. Bien à vous.

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    Couverture du livre « L'escalier du diable » de Dean Koontz aux éditions Archipel

    Michel Gardin sur L'escalier du diable de Dean Koontz

    L'escalier du diable de Dean Kontz

    C'est après avoir découvert la chambre des murmures, qui m'avait véritablement enthousiasmé, que j'ai découvert ce nouvel épisode des aventures de Jane Hawk, ancienne agente du FBI, devenue la fugitive la plus recherchée des États-Unis. A la suite du meurtre...
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    L'escalier du diable de Dean Kontz

    C'est après avoir découvert la chambre des murmures, qui m'avait véritablement enthousiasmé, que j'ai découvert ce nouvel épisode des aventures de Jane Hawk, ancienne agente du FBI, devenue la fugitive la plus recherchée des États-Unis. A la suite du meurtre de son mari Nick ancien marine, Jane Hawk part en croisade contre les membres d'une société secrète Les Arcadiens, qui ont décidé à partir d'un algorithme d'un ordinateur, de modifier différentes personnes en leur injectant des nanoparticules afin que celle-ci répondent au doigt et à l'œil à toutes leurs exigences, dans des missions terroristes suicidaires. Nous retrouvons donc Jane Hawk, au mois de mars chez Sarah Holdsteck à la recherche d'information concernant son ex-mari Simon Yegg. Très vite la surprise de l'intrusion dans cette villa sous surveillance électronique passée, Sarah Holdsteck, lui fait part « mon mari ! Mon ex-mari. Un merdeux vicelard. J'ai de bonnes raisons de le mépriser... mais quelles sont les vôtres . Il fréquente des gens que je cherche à détruire et au passage , je peux m'arranger pour qu'il regrette sérieusement le mal qu'il vous a fait. » Dans le même temps, trois hommes de stature imposantes, dissimulées par des capuches, tels des moines sataniques occupés à une tache infernale dont un certain Lincoln Crossley, adjoint au shérif investissent la maison occupée par un frère et une sœur, écrivains Tanja et Sanjay Shukla.
    C'est en alternant ces deux moments que l'auteur nous fait vivre ces deux «  rencontres » particulièrement mouvementée et sanglante, mais je ne veux pas vous gâcher les surprises qui je vous l'assure ne manquent pas.
    En parallèle à ces deux séquences si je peux dire, vient s’adjoindre une troisième celle ouverte avec le fils de Jane et Nick Hawk, Travis, qui a trouvé refuge auprès des deux membres des marines lorsque celui-ci a été la cible d'enlèvement par les Arcadiens. Alors que Travis semble être à l'abri, deux agents fédéraux, à la solde des Arcadiens, Jergen et Dubose partent avec des moyens considérables de cet enfant. L'écriture de Dean Kontz nous met tout de suite en tension et c'est dans une montée d'adrénaline et un rythme infernal que nous allons vivre plusieurs chapitre de ce nouveau pan de cette histoire à la rencontre de personnage haut en couleur.
    Usant également des mêmes armes que les Arcadiens, Jane Hawk va être confrontée aux souvenirs d'enfance de Booth Hendrickson qui l’entraînera par la suite dans l'escalier du diable alors que Jergen et Dubose, poursuivent leur recherche dans la vallée de Borrego.
    Lors de cette descente dans l'escalier du diable, Jane Hawk va également découvrir un autre membre des Arcadiens, Anabel Claridge, mère de Booth et se rendre compte que la phrase code «  Jouons au crime dans la tête ne fonctionne plus. «  Pauvre petite connasse. Ton mécanisme de contrôle ne peut rien contre celui que je lui ai injecté. Il est infiniment plus puissant. Il m'appartient et m'appartiendra toujours. »
    D'autres pistes s'ouvrent pour Jane Hawks et il ne semble pas que le combat s'achèvent ainsi. L'on comprend que Dean Kontz termine son roman par cette phrase : « Épuisée, l'on parle ici de Jane Hawk, elle remonte dans son explorer et se mit en quête d'une chambre. Elle avait bien besoin d'un oreiller ou poser la tête et dormir, tout en sachant déjà que les premiers rayons du soleil révéleraient aussi sûrement la beauté du monde que son horreur. »
    Au regards de tout ce que vous vivrez en lisant ce roman de Dean Kontz vous n'aurez pas de mal à trouver un oreiller pour un sommeil réparateur. En ce qui me concerne je l'ai trouvé. J'attends une suite à ce roman que j'ai trouvé moins abouti que la chambre des murmures, car j'espère, que Dean Kontz ne va pas nous, laisser sans nouvelles de Jane Hawks. Bien à vous.