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David Litchfield

David Litchfield
Petit, David Litchfield dessinait des aventures de Star Wars et d'Indiana Jones pour ses aînés. En grandissant, il se mit à inventer des histoires pour les enfants. Son premier album, L'ours qui jouait du piano, paru chez Belin Jeunesse en 2015, a obtenu le prestigieux prix des librairies anglai... Voir plus
Petit, David Litchfield dessinait des aventures de Star Wars et d'Indiana Jones pour ses aînés. En grandissant, il se mit à inventer des histoires pour les enfants. Son premier album, L'ours qui jouait du piano, paru chez Belin Jeunesse en 2015, a obtenu le prestigieux prix des librairies anglaises Waterstone.

Avis sur cet auteur (3)

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    Couverture du livre « Un jour, j'irai dans l'espace... » de David Litchfield aux éditions Belin Education

    kadeline sur Un jour, j'irai dans l'espace... de David Litchfield

    Je suis perplexe avec cet album qui m’a fait passer par différents sentiments. Je suis peut être en train de surinterpréter mais il y a un contraste qui me dérange. D’un côté, il est magnifique et semble prôner la réalisation de ses rêves, d’un autre le message final me laisse un goût amer. Tout...
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    Je suis perplexe avec cet album qui m’a fait passer par différents sentiments. Je suis peut être en train de surinterpréter mais il y a un contraste qui me dérange. D’un côté, il est magnifique et semble prôner la réalisation de ses rêves, d’un autre le message final me laisse un goût amer. Tout la partie sur la réalisation de ses rêves, l’obstination pour y arriver et le fait que bien qu’omniprésent, il n’est pas incompatible avec l’accomplissement d’une vie « standard » avec amis et famille, m’a beaucoup plu. J’ai trouvé ça très positif de montrer qu’on peut mener les deux de front. Si on s’était arrêter là, je serais très contente mais on pousse peu à peu vers le message qu’aller au bout de ses rêves c’est passer à côté du « vrai bonheur ». Et là on entre dans le conditionnement sociétal. Moi la première j’en suis imprégnée. En fermant l’album, j’étais toute émue, je trouvais ça beau de rappeler que le bonheur est partout, que la famille est primordiale… Oui mais non en fait, avec le recul non, je ne veux pas de ce message tel quel.
    Pour avoir tout fait pour arriver à réaliser mon rêve, je ne peux que me demander si j’en serais là aujourd’hui si j’avais entendu que c’était normal de l’abandonner sous prétexte qu’on aurait déjà tout pour être heureux sans lui. Pour conclure, il y a du bon voire très bon dans cet album mais je ne laisserai pas les jeunes seuls face à ce livre. Il me parait être un bel intermédiaire pour discuter sur les rêves, le bonheur, l’envie de réussir et la place de ses proches dans ce processus.

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    Couverture du livre « Un jour, j'irai dans l'espace... » de David Litchfield aux éditions Belin Education

    Lelamaquilit sur Un jour, j'irai dans l'espace... de David Litchfield

    Quoi de mieux qu'un album sur la famille pour l'hiver et les fêtes de Noël ? Faut dire qu'on ne s'attend pas à ce sujet en lisant le titre et en regardant la couverture du nouveau D. Litchfield, et pourtant...
    Nous rencontrons Lucie. Une passionnée de l'univers. Son rêve ? Se faire enlever...
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    Quoi de mieux qu'un album sur la famille pour l'hiver et les fêtes de Noël ? Faut dire qu'on ne s'attend pas à ce sujet en lisant le titre et en regardant la couverture du nouveau D. Litchfield, et pourtant...
    Nous rencontrons Lucie. Une passionnée de l'univers. Son rêve ? Se faire enlever par un extraterrestre et enfin aller dans l'espace. À côté de chez elle, il y a un rocher, elle s'y assoit chaque soir, allumant et éteignant sa lampe de poche, espérant alerter la vie d'en haut. Et un jour, c'est chose faite. Une immense soucoupe volante colorée fait son apparition. Lucie rencontre un extra-terrestre et la vie dans le ciel. Mais ses parents la cherchent partout, elle décide donc de revenir sur terre. Sauf qu'elle n'a jamais oublié son périple et rêvera toute sa vie d'y retourner. On la suit donc le long de sa vie, grandir et vieillir, fonder une famille, jusqu'à ce que la soucoupe réapparaisse. Va-t-elle la suivre ou rester avec sa famille ?

    Que c'est beau ! Autant dans le texte, très simple, très évocateur et les illustrations. Celles-ci sont intenses, poétiques, fantasmagoriques... (et jetez un oeil à ses autres albums qui sont d'une grande beauté) On a des images pleine pages, d'autres en style BD sans texte, à la fois une douceur et une force se dégage. Un bel album à partager.

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    Couverture du livre « Le géant » de David Litchfield aux éditions Belin Education

    Elodie Noizet sur Le géant de David Litchfield

    Que ce soit la couverture ou les illustrations, ce album est magnifique. On entre dans un univers plein de poésie et d'enchantement. Chaque illustration semble comme illuminée et c'est un ravissement. C'est un album jeunesse qui ravira les petits (dès 5 ans) comme les plus grands. Les thèmes...
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    Que ce soit la couverture ou les illustrations, ce album est magnifique. On entre dans un univers plein de poésie et d'enchantement. Chaque illustration semble comme illuminée et c'est un ravissement. C'est un album jeunesse qui ravira les petits (dès 5 ans) comme les plus grands. Les thèmes abordés sont la différence et l'amitié. Apprendre à un enfant de ne pas avoir peur de ce qui est différent, être ouvert aux autres et faire preuve de sociabilité. Mes enfants ont adoré! Bref, c'est notre dernier coup de coeur.

    http://auchapitre.canalblog.com/archives/2017/11/19/35873672.html
    Ma page Facebook Au chapitre d'Elodie

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