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Daniel Fohr

Daniel Fohr
Daniel Fohr vit à Paris. Il aime le rock anglais et la moto. Il pourrait vivre n'importe où du moment qu'il fait chaud.

Articles en lien avec Daniel Fohr (1)

Avis sur cet auteur (13)

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    Couverture du livre « La vague qui vient » de Daniel Fohr aux éditions Inculte

    Alex-Mot-à-Mots sur La vague qui vient de Daniel Fohr

    La quatrième de couverture avait tout pour me plaire : un artiste exilé sur une île ; son regard décalé sur les habitants ; des situations cocasses.
    Cette lecture aurait pu être un moment réjouissant si il n'y avait pas eu : des descriptions trop longues ; la volonté de jouer sur les mots tout...
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    La quatrième de couverture avait tout pour me plaire : un artiste exilé sur une île ; son regard décalé sur les habitants ; des situations cocasses.
    Cette lecture aurait pu être un moment réjouissant si il n'y avait pas eu : des descriptions trop longues ; la volonté de jouer sur les mots tout le temps (jamais un moment de répit pour le lecteur).
    J'ai fini par ne m'intéresser qu'aux dialogues, en diagonal.

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    Couverture du livre « L'émouvante et singulière histoire du dernier des lecteurs » de Daniel Fohr aux éditions Slatkine Et Cie

    Zabouille sur L'émouvante et singulière histoire du dernier des lecteurs de Daniel Fohr

    Ça commence fort et donne le ton dès le début. Un homme qui se déguise en femme pour s’octroyer le droit et le temps de lire. Parce que lire c’est typiquement féminin. Dit-il…
    « …j’en suis réduit à me déguiser en femme pour aller lire dans un parc. J’ai toujours aimé lire à l’extérieur,...
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    Ça commence fort et donne le ton dès le début. Un homme qui se déguise en femme pour s’octroyer le droit et le temps de lire. Parce que lire c’est typiquement féminin. Dit-il…
    « …j’en suis réduit à me déguiser en femme pour aller lire dans un parc. J’ai toujours aimé lire à l’extérieur, n’importe où, mais ça devient difficile. »

    J’ai été séduite par cet homme, par ses mots et son humour, par ses sentiments qu’il exprime vis-à-vis des livres. J’ai été emportée au gré de ces pages, par cette histoire burlesque, en me laissant prendre au jeu… me disant « Et si c’était vrai ? » Et alors, pourquoi pas ? J’ai aimé ses citations, ses références littéraires, j’en ai marqué des pages, j’en ai coché des extraits.
    Et voilà l’état d’esprit dans lequel j’ai découvert la merveilleuse histoire du dernier des lecteurs. Le seul homme. L’unique.
    « Je suis le dernier lecteur de livres sur cette planète. Tous les autres sont des femmes. »

    J’aime les livres qui parlent de livres et de lecteurs. Imaginez. Avec celui-ci, me voilà servie. Il nous raconte son histoire, lui, l’anonyme. Comme lui, mes doigts ont filé sur le papier granuleux. Ce plaisir de le toucher, le livre papier.
    « De même que l’arbre qui tombe ne fait de bruit que si quelqu’un est là pour l’entendre, un livre n’existe que si quelqu’un est là pour le lire. »

    Être le dernier des lecteurs c’est pour lui aussi être le responsable de cette espèce masculine en voie de disparition… il faut donc tenter de passer le flambeau, assurer le relai, quoi qu’il en coûte… plus facile à lire qu’à faire !
    « La littérature est un jardin secret qui demande à être partagé. »

    « Un livre c’est de la magie blanche. On ne sait jamais ce qui sortira du cube de papier et l’effet qu’il produira une fois ouvert. »
    Je peux vous certifier que la magie de celui-ci a bien eu l’effet escompté. Il est hors du commun. De ce cube de papier est sorti un excellent moment de lecture, addictif et divertissant, pour lequel je remercie infiniment les Éditions Slatkine et Cie et son vénérable auteur.
    Et quant à vous, Daniel Fohr, pour répondre à votre chaleureuse dédicace (encore merci pour cette délicate attention), je vous confirme que j’ai passé un très agréable moment en compagnie de votre dernier lecteur, je m’associe bien volontiers à sa cause de défenseur du roman et du papier. Au plaisir de vous lire à nouveau.

    https://littelecture.wordpress.com/2021/06/02/lemouvante-et-singuliere-histoire-du-dernier-des-lecteurs-de-daniel-fohr/

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    Couverture du livre « L'émouvante et singulière histoire du dernier des lecteurs » de Daniel Fohr aux éditions Slatkine Et Cie

    Dominique Sudre sur L'émouvante et singulière histoire du dernier des lecteurs de Daniel Fohr

    Si aujourd’hui 85% des lecteurs sont des lectrices, il existe de fait un certain nombre de lecteurs, et donc d’hommes qui apprécient la lecture et aiment en parler.

    Mais dans ce roman tout à fait délicieux et parfois désarmant, l’auteur imagine un monde dans lequel le dernier des lecteurs...
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    Si aujourd’hui 85% des lecteurs sont des lectrices, il existe de fait un certain nombre de lecteurs, et donc d’hommes qui apprécient la lecture et aiment en parler.

    Mais dans ce roman tout à fait délicieux et parfois désarmant, l’auteur imagine un monde dans lequel le dernier des lecteurs devra faire un choix s’il ne veut pas que le goût de la lecture s’éteigne avec lui. Transmettre sa passion à d’autres hommes, à ce fils qu’il pourrait élever un jour, devenir auteur lui-même pour enfin voir chez les libraires des thèmes qui pourraient intéresser ses coreligionnaires ?

    Difficile de trouver la bonne solution même si toutes les options restent possibles. Enfin, s’il est encore temps, car rien n’est moins sûr. Dans le monde de notre narrateur, les hommes regardent les écrans, font du sport ou en parlent beaucoup, ont un travail et des responsabilités, et laissent la lecture et les rêveries qu’elle implique aux femmes.

    Mais sont-elles seulement plus enclines à la rêverie, à la romance ou à l’évasion. Seraient-elles plutôt curieuses et surtout capables de s’intéresser à tous les sujets, tous les domaines, tous les voyages dans le temps ou dans l’espace, prêtes à comprendre, analyser, compatir, avoir de l’empathie pour les personnages et les situations qu’elles rencontrent dans les livres ? Capables d’échanger avec d’autres lectrices et de s’enrichir de ces échanges ? Car là est la question, que nous apporte la lecture ?

    Ce que j’ai aimé ? À découvrir en lisant ma chronique complète sur le blog Domi C Lire https://domiclire.wordpress.com/2021/05/25/lemouvante-et-singuliere-histoire-du-dernier-des-lecteurs-daniel-fohr/

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    Couverture du livre « L'émouvante et singulière histoire du dernier des lecteurs » de Daniel Fohr aux éditions Slatkine Et Cie

    Squirelito sur L'émouvante et singulière histoire du dernier des lecteurs de Daniel Fohr

    Le narrateur est un lecteur. Mais pas n’importe lequel. Il est le dernier représentant de la gent masculine à ouvrir et tourner les pages d’un objet singulier : un livre. Plus aucun homme sur terre n’ose un tel geste, une telle attitude, sous peine d’être regardé comme un ovni ou être moqué par...
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    Le narrateur est un lecteur. Mais pas n’importe lequel. Il est le dernier représentant de la gent masculine à ouvrir et tourner les pages d’un objet singulier : un livre. Plus aucun homme sur terre n’ose un tel geste, une telle attitude, sous peine d’être regardé comme un ovni ou être moqué par ses semblables. Tant, que pour lire dans un parc, notre lecteur met une perruque et des vêtements de femme… Car les femmes, elles, continuent de lire.

    Notre brave résistant des lettres a tout tenté pour convaincre ses homologues mâles de lire. En vain. A chaque fois les mêmes réponses, la même hypocrisie, la même défiance. Lire est un truc de femmes, un truc pas viril. Circulez, y’a plus personne ! Cependant, le dernier des Mohicans livresque n’abandonne pas car sauver la lecture c’est sauver l’humanité ! Arrivera-t-il à ses fins ?

    Une fable cocasse à lecture rapide qui n’est pas dénuée d’originalité et peut-être de préscience car, effectivement, les femmes lisent beaucoup plus que les hommes. D’un constat, Daniel Fohr a eu envie de tirer une sonnette d’alarme afin que la grande famille des livres ne se retrouve pas dans une congrégation exclusivement féminine mais, qu’au contraire, la diversité puisse flotter au-delà des sexes. L’écrivain pose également la question si des romans sont plus féminins que masculins – pour ma part, comme pour tout, je rejette cette habitude de taxonomie – et du risque tout simplement du manque de pluralité dans l’offre éditoriale. Un écrit accompagné de nombreuses références littéraires, de quelques citations et surtout de moult incipits. Comment résister à ne pas inclure celui de ce présent roman « Pas plus tard qu’hier ». Alors, aujourd’hui, demain, que cette histoire singulière du dernier des lecteurs atterrissent entre vos mains, femmes comme hommes, pour une lecture où les chromosomes X ou Y ne se livrent pas bataille mais partagent une passion, une nourriture… « lire c’est boire et manger » selon Victor Hugo. Bon appétit !

    Blog Le domaine de Squirelito => https://squirelito.blogspot.com/2021/04/une-noisette-un-livre-lemouvante-et.html

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