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Christian Binet

Christian Binet

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Avis sur cet auteur (9)

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    Couverture du livre « Les Bidochon T.2 ; en vacances » de Christian Binet aux éditions Fluide Glacial

    Alexandra Olivier sur Les Bidochon T.2 ; en vacances de Christian Binet

    Toujours aussi amusant, les bidochons partent en vacances au camping. Rencontre entre vacanciers, humour décalé, prise de risques pour Mr Bidochon.
    Lire une BD de Binet reviens a ne pas se prendre la tête et bien rigoler.
    Les scénarios proposés sont tellement vrais

    Toujours aussi amusant, les bidochons partent en vacances au camping. Rencontre entre vacanciers, humour décalé, prise de risques pour Mr Bidochon.
    Lire une BD de Binet reviens a ne pas se prendre la tête et bien rigoler.
    Les scénarios proposés sont tellement vrais

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    Couverture du livre « Les Bidochon T.4 ; maison, sucrée maison » de Christian Binet aux éditions Fluide Glacial

    Evy Black sur Les Bidochon T.4 ; maison, sucrée maison de Christian Binet

    Très bon album, les blagues sont pas datées, au contraire. (Notamment les problèmes avec les ouvriers étrangers). La seule chose que je trouve dommage,c'est l'impression que le personnage de Raymonde s'efface de plus en plus. Je lui trouvais un caractère fort dans le premier et second tome et la...
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    Très bon album, les blagues sont pas datées, au contraire. (Notamment les problèmes avec les ouvriers étrangers). La seule chose que je trouve dommage,c'est l'impression que le personnage de Raymonde s'efface de plus en plus. Je lui trouvais un caractère fort dans le premier et second tome et la manière dont elle rembarée Robert me faisait mourir de rire... j'ai la sensation qu'elle devient passive au fil des tomes et j'espère que les prochains vont me donner tord.

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    Couverture du livre « Les Bidochon t.3 : en habitation à loyer modéré » de Christian Binet aux éditions J'ai Lu

    Evy Black sur Les Bidochon t.3 : en habitation à loyer modéré de Christian Binet

    Pas le meilleur album des bidochon, les blagues sont un peu datées. (Normal pour des blagues de 1980, lu en 2021).

    Pas le meilleur album des bidochon, les blagues sont un peu datées. (Normal pour des blagues de 1980, lu en 2021).

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    Couverture du livre « Les Bidochon t.20 ; n'arrêtent pas le progrès » de Christian Binet aux éditions Fluide Glacial

    Henri-Charles Dahlem sur Les Bidochon t.20 ; n'arrêtent pas le progrès de Christian Binet

    Mettons d’emblée les choses au point : Voilà l’un des meilleurs romans de l’année. En s’intéressant à une septième fonction – secrète – du langage, Laurent Binet réussit une œuvre polyphonique qui ne peut que ravir les amateurs de littérature, ceux qui aiment la petite musique des mots et ne...
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    Mettons d’emblée les choses au point : Voilà l’un des meilleurs romans de l’année. En s’intéressant à une septième fonction – secrète – du langage, Laurent Binet réussit une œuvre polyphonique qui ne peut que ravir les amateurs de littérature, ceux qui aiment la petite musique des mots et ne dédaignent pas à l’occasion, en apprendre un peu plus sur des domaines qu’ils n’ont pas explorés jusque là.
    Comme l’épistémologie ou la sémiologie, termes restés pour moi assez abscons jusqu’à la lecture de ce roman qui tient à la fois de l’enquête policière, d’un traité sur les fonctions du langage, d’une photographie des années 80 au sein du milieu universitaire et intellectuel français, d’une analyse de la victoire de François Mitterrand face à Valery Giscard d’Estaing et d’un magistral plaidoyer pour la littérature !
    Car il fallait une bonne dose d’audace pour mettre en scène des personnages qui, pour nombre d’entre eux, continuent leur bonhomme de chemin aujourd’hui, Philippe Sollers ou Bernard Henry-Levy, Laurent Fabius ou Jack Lang, pour n’en citer que quatre, et qui auront peut être différemment apprécié le traitement que leur fait subir Laurent Binet. Mais ce n’est que du roman… Quoique.
    C’est ainsi que Wikipédia nous indique que l’auteur de Mythologies est «fauché par la camionnette d'une entreprise de blanchissage alors qu'il se rend au Collège de France, le 25 février 1980 et que Roland Barthes meurt des suites de cet accident le 26 mars suivant à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris. Il est enterré auprès de sa mère, dans le cimetière d'Urt au Pays basque.» Au plus près de la réalité et de la biographie que lui a consacrée Marie Gil (et dont Laurent Binet a rendu compte avec enthousiasme dans les colonnes de Marianne en 2012), nous allons revivre tous ces épisodes, retrouver les témoins et tenter de comprendre l’enchaînement fatal.
    Autre trouvaille géniale de l’auteur : le duo de choc qu’il constitue pour mener cette enquête. Jacques Bayard est un enquêteur des RG qui va bien vite être dépassé par les théories intellectuelles. Pour tenter de démêler cet inextricable écheveau, le commissaire va s’adjoindre les services d’un jeune universitaire, titulaire d’un DEA e lettres modernes sur le roman historique et qui prépare une thèse de linguistique sur les actes de langage. Simon Herzog, même s’il n’est pas a proprement parler sémiologue, va accepter d’aider Bayard qui vient d’acheter Le Barthes sans peine en librairie.
    Ce dernier épisode donne du reste le ton jubilatoire de ce roman. C’est drôle de bout en bout. A partir du moment où Jacques et Simon comprennent à la fois l’importance du document qu’ils recherchent et qu’ils ne sont pas seuls sur cette piste, la quête va devenir de plus en plus ébouriffante. Des bancs de la Sorbonne à ceux de l’université de Bologne puis de Cornell, ils n’auront de cesse de mettre la main sur cette septième fonction, quitte à laisser quelques cadavres sur le côté, à goûter aux joies des backrooms, à succomber aux charmes d’une espionne russe et à éviter les parapluies bulgares… sans oublier les Dupont et Dupond asiatiques, les Brigades rouges et la belle Bianca.
    « Quand on a goûté à la langue, on s’ennuie assez vite avec toute autre forme de langage : étudier la signalisation routière ou les codes militaires est à peu près aussi passionnant pour un linguiste que de jouer au tarot ou au rami pour un joueur d’échecs ou de poker. Comme pourrait dire Umberto Eco : pour communiquer, la langue, c’est parfait, on ne peut pas faire mieux. Et cependant, la langue ne dit pas tout. Le corps parle, les objets parlent, l’Histoire parle, les destins individuels ou collectifs parlent, la vie et la mort nous parlent sans arrêt de mille façons différentes ».
    Et nous, on se régale, on s’amuse, on s’instruit de ces mille façons. «Sublime, forcément sublime» ! http://tinyurl.com/ptgjvf2

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