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Charles Roux

Charles Roux

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Avis sur cet auteur (26)

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    Couverture du livre « La maison de jeu » de Charles Roux aux éditions Rivages

    Lovelitt sur La maison de jeu de Charles Roux

    Un second roman époustouflant et dérangeant.

    Avec une grande qualité littéraire et dans un rythme endiablé l'auteur vous propose de sonder l'âme humaine dans ce qu'elle a de plus sombre comme un puit sans fond. Des agisssements de plus en plus extrêmes.

    Le personnage principal Antoine...
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    Un second roman époustouflant et dérangeant.

    Avec une grande qualité littéraire et dans un rythme endiablé l'auteur vous propose de sonder l'âme humaine dans ce qu'elle a de plus sombre comme un puit sans fond. Des agisssements de plus en plus extrêmes.

    Le personnage principal Antoine remplace une addiction par une autre (alcool, sexe, nourriture, drogues...)
    Un roman sur les choix de vie à faire ou imposés par d'autres sans jamais se trouver réellement.

    Un récit fantastique truffé de références littéraires tel un jeu de piste.

    Le bon choix et le bon chemin existent-t-ils vraiment ? Doit-on céder à toutes les tentations du monde consumériste? Est-on vraiment acteur de sa propre vie?

    Intense en émotions avec des scènes qui pourraient choquer certaines morales mais qui font un bien fou à lire.

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    Couverture du livre « Les monstres » de Charles Roux aux éditions Rivages

    JuanGarciaMadero sur Les monstres de Charles Roux

    « Les monstres » de M. Charles Roux est un livre déconcertant à bien des égards. Déjà, rien qu’à tenter de le résumer, nous sommes désarçonnés. Car que dire si ce n’est qu’il nous narre l’histoire de la rencontre entre trois personnages : Alice, l’enseignante célibataire avec son golem de...
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    « Les monstres » de M. Charles Roux est un livre déconcertant à bien des égards. Déjà, rien qu’à tenter de le résumer, nous sommes désarçonnés. Car que dire si ce n’est qu’il nous narre l’histoire de la rencontre entre trois personnages : Alice, l’enseignante célibataire avec son golem de glaise, David, le cadre supérieur ambitieux et drogué, et Dominique, la sorcière du récit qui accessoirement est tenancière/tenancier d’un restaurant qui organise des dîners un peu particuliers.

    Au-delà de son intrigue peu commune, le roman impressionne par son style. M. Roux s’attache à une écriture exigeante et soignée, et met en place un style qui donne à son récit une ambiance hors du temps, sans qu’on sache bien si l’on est dans notre monde ou dans une sorte d’univers parallèle qui ressemble comme deux gouttes d’eau à ce que l’on connaît. Et puis, grand force aussi, l’auteur s’attache à rendre son récit cinématographique grâce à de courts chapitres, qui nous font alterner les points de vue des trois protagonistes. D’ailleurs, à la lecture, ce sont des références cinématographiques qui me vinrent aussitôt. Feuillade d’abord, et évidemment Franju. Car l’on est rapidement imprégné dans une ambiance fantastique et nocturne, avec un monstre invisible qui rôde, et qui m’a rappelé « Les Yeux sans visage » du grand Franju. Tout en convoquant un je-ne-sais-quoi du « Nightmare Alley » de Guillermo del Toro (un des films les plus beau de 2021, où l’on croise tout un tas de freaks chers à ce réalisateur).

    Ces qualités sont trop rares dans la littérature française contemporaine pour ne pas être soulignées, et ce ne sont pas les quelques défauts du roman qui les effacent. Les points faibles sont à mes yeux des défauts certainement inhérents au fait qu’on a affaire à un premier roman. La tentative de mettre en place un vouvoiement et un tutoiement pour deux des personnages m’a paru tenir plus de la posture que d’une réelle recherche stylistique dans la lignée du nouveau roman. Et la seconde faiblesse est la longueur de l’ouvrage, un peu exagérée, car l’ambiance noire et poisseuse ultra réussie perd au fil du temps de sa force, et la tension dramatique se dilue quelque peu avec la longueur. Mais difficile de reprocher à l’artiste d’avoir voulu faire durer le plaisir et, comme dans les potions que prépare Dominique, tout est question de dosage.

    Au final, je comparerai « Les monstres » à l’un des premiers romans du maître Roberto Bolaño. Non que les styles soient comparables, ni même les thématiques abordées, mais l’on trouvera chez M. Roux du noir et du fantasque, et une plume originale et inspirée, comme chez l’immense Chilien. Retenez simplement que « si le monstre n’est personne, autant dire qu’il est tout le monde », et plongez dans l’ambiance pessimiste et inquiétante de cet étrange et très beau premier roman.

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    Couverture du livre « Les monstres » de Charles Roux aux éditions Rivages

    Regine Zephirine sur Les monstres de Charles Roux

    Des critiques élogieuses pour un premier roman, il n’en fallait pas plus pour que je me plonge dans « ce cabinet de curiosités littéraires »
    Las ! Même si la mise en bouche de ce roman qui tourne autour d’un diner-spectacle très particulier titille papilles et curiosité, la suite est plutôt...
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    Des critiques élogieuses pour un premier roman, il n’en fallait pas plus pour que je me plonge dans « ce cabinet de curiosités littéraires »
    Las ! Même si la mise en bouche de ce roman qui tourne autour d’un diner-spectacle très particulier titille papilles et curiosité, la suite est plutôt décevante. De ces trois personnages dont tour à tour, l’auteur nous confie les pensées, les peurs et les fantasmes, on ne retient pas grand-chose en fin de compte. Racontés séparément dans de courts chapitres, ils finissent par être réunis lors de ce diner-spectacle. Ce devrait être l’apothéose de l’intrigue mais l’auteur nous embrouille avec ses histoires de sorcellerie, son golem, son monstre velu, ses démons, son phénix, ses zombis et autres chimères et monstres qui s’invitent entre les chapitres. Entre un personnage au prénom épicène qui aime se travestir, un cadre commercial addict aux drogues et à l’alcool et une prof timorée au célibat subit, le fantasme du monstre se répand peu à peu sans bien savoir si ce monstre est en chacun de nous ou bien à l’extérieur, dans cette ville bétonnée et menaçante.
    Je n’ai pas été sensible à ces personnages, trouvant même caricaturales certaines descriptions de personnages féminins. J’ai trouvé le style banal et redondant et l’intrigue, tout au long de ces 600 pages, m’a profondément ennuyée. Un pensum plutôt qu’un plaisir de lecture, ce livre n’était décidément pas pour moi !

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    Couverture du livre « Les monstres » de Charles Roux aux éditions Rivages

    Passemoilelivre sur Les monstres de Charles Roux

    Trois vies, celles d’Alice, David et Dominique sont décrites successivement et alternativement par le regard extérieur du narrateur dans un rythme quasi immuable qui nous les présente et nous fait découvrir par petites touches successives leur environnement et leurs aspirations au changement....
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    Trois vies, celles d’Alice, David et Dominique sont décrites successivement et alternativement par le regard extérieur du narrateur dans un rythme quasi immuable qui nous les présente et nous fait découvrir par petites touches successives leur environnement et leurs aspirations au changement. Alice, la quarantaine enseigne l’histoire à des collégiens par défaut, car elle se sent mieux dans des activités artistiques et en particulier la sculpture. David, marié à Stéphanie et père de deux enfants est un cadre commercial performant et dynamique qui doute sur le sens de sa vie. Dominique, un peu plus âgé habite un corps d’homme mais se sent plus femme et possède un colossal cabinet des curiosités abritant un grand nombre de collections diverses et variées. Ces trois personnages, par la magie d’une mise en scène brillamment orchestrée vont se rencontrer lors d’un dîner très spécial organisé par Dominique. Point d’orgue de la narration, cet épisode mystérieux au cours duquel les monstres intérieurs se révèlent entretient incertitudes et questionnements. La suite et la fin du roman ne sont malheureusement pas à la hauteur de la richesse narrative observée jusque là, dommage !

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