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Cecile David-Weill

Cecile David-Weill
Cécile David-Weill a déjà publié quelques romans chez Grasset, dont Beguin, qui en son temps (1995) ont fait grand bruit. Elle vit entre New-York et Paris. Les Prétendants est, de loin, son roman le plus accompli, le plus ambitieux.

Avis sur cet auteur (2)

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    Couverture du livre « La cure » de Cecile David-Weill aux éditions Odile Jacob

    L'atelier de Litote sur La cure de Cecile David-Weill

    La cure de Cécile David -Weill

    Le surpoids vous guette, qu'importe laissez vous tenter par une cure. Celle que nous propose Cécile David-Weill est tout en légèreté et aborde de nombreuses thématiques féminines. Christine est une petite boulotte, chroniqueuse gastronomique et mère célibataire....
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    La cure de Cécile David -Weill

    Le surpoids vous guette, qu'importe laissez vous tenter par une cure. Celle que nous propose Cécile David-Weill est tout en légèreté et aborde de nombreuses thématiques féminines. Christine est une petite boulotte, chroniqueuse gastronomique et mère célibataire. Elle n'a pas les mêmes moyens financiers que son « amie «  plus chic, Brigitte de quinze ans son aînée avec qui elle s'est inscrite pour suivre une cure d'amaigrissement dans le sud de l'Espagne. Un huis clos va alors s'engager entre elles, deux autres participantes et un homme. Nous aurons droit au programme mise en œuvre pour faire fondre ces dames allant du massage ayurvédique aux tisanes, des lavements au jeûne de quoi nous réjouir. Il est vrai que vu d'un œil externe , il y a de quoi sourire. Cécile David-Weill a une écriture fluide et élégante qui rend l'histoire facile à suivre et à apprécier. Elle aborde de nombreux thèmes touchant les femmes et leur rapport à leur corps, le poids, l'amitié, le célibat, le couple, la sexualité mais aussi les différences sociales. Un regard sur ce lieu qui regroupe des personnes plutôt fortunées et qui nous offrent un spectacle vivant de tout ce que la vie peut regrouper. Les failles et blessures des uns et des autres se révèlent comme autant de secrets à découvrir. Il sera aussi question de spiritualité, de paranormale avec un personnage qui se dit médium et qui vient donner une autre dimension à l'histoire. N'oublions la doyenne Marthe 85 ans, veuve au passé bien rempli et qui a survécu à ses maris. Il fallait bien un représentant masculin parmi toutes ces femmes, nous l'avons trouvé en Guy, un sexa sexy qui sous des allures avenantes pourrait bien cacher son jeu. Du suspense, des rebondissements nous font passer un bon moment de lecture sur 12 jours pour qui aime voir au delà des apparences. Bonne lecture.


    http://latelierdelitote.canalblog.com/archives/2023/03/14/39820297.html

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    Couverture du livre « La cure » de Cecile David-Weill aux éditions Odile Jacob

    Yv Pol sur La cure de Cecile David-Weill

    avoue, en recevant ce livre, m'être posé la question : "Mais pourquoi à moi ?" Erreur de destinataire ou volonté de faire découvrir ? Je penche évidemment pour la seconde hypothèse, mais ça ne fonctionne pas, et la question se fait de plus en plus insistante. Dès le début, dès les premières...
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    avoue, en recevant ce livre, m'être posé la question : "Mais pourquoi à moi ?" Erreur de destinataire ou volonté de faire découvrir ? Je penche évidemment pour la seconde hypothèse, mais ça ne fonctionne pas, et la question se fait de plus en plus insistante. Dès le début, dès les premières pages, je sens, je sais que ça ne sera pas un livre pour moi. Et la suite confirme cette impression. Plus j'avance plus je me désintéresse des personnages et de leurs petites histoires qui, contrairement au résumé, ne me font pas rire. De même, je ne trouve aucun intérêt à l'écriture de Cécile David-Weill que je trouve fade, plate avec pas mal d'expressions toutes faites et pas de surprise. Tant pis..., mais un roman qui débute par ces phrases me fait craindre l'endormissement : "A l'évidence, Dieu n'était pas sectaire. Sinon, se serait-il manifesté en de telles circonstances ? Pourtant, quelques jours avant d'aboutir à cette conclusion, Christine fulminait : pourquoi avait-il fallu qu'elle attende l'instant du départ pour se rendre compte que son idée était absurde, qu'elle n'avait aucune envie de jeûner, et surtout pas en compagnie de Brigitte qu'elle connaissait somme toute assez mal et dont les grands airs l'horripilaient déjà !" (p.15)

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