Posadas Carmen

sylvie adam sur Invitation à un assassinat de Posadas Carmen

Olivia et Agata sont soeurs. La première a toujours été la plus belle et s'est mariée plusieurs fois avec des hommes aisés. Beauté et richesse lui ont permis de dominer le monde et d'être la plus odieuse des femmes. Puis vient un jour où son mari ruiné l'abandonne. Elle apprend aussi qu'elle est...
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Olivia et Agata sont soeurs. La première a toujours été la plus belle et s'est mariée plusieurs fois avec des hommes aisés. Beauté et richesse lui ont permis de dominer le monde et d'être la plus odieuse des femmes. Puis vient un jour où son mari ruiné l'abandonne. Elle apprend aussi qu'elle est atteinte d'une maladie incurable. Elle sait que certaines personnes, pour des raisons différentes, souhaitent sa mort. Elle n'hésite pas à les convier sur le yacht de son ex-mari pour une virée un peu particulière. Pendant la soirée, chacun est mis à nu par Olivia qui n'hésite pas à dévoiler leurs secrets les plus profonds et dont ils ne sont pas les plus fiers. le lendemain, elles est retrouvée morte. Accident, suicide ou meurtre ? C'est là qu'Agata intervient. Elle n'a rien à voir avec sa soeur : professeur sans richesse et un peu boulotte. Elle se met à enquêter.
La psychologie de chacun des éventuels meurtriers prend une grande place dans ce roman. Assez original aussi la comparaison de la narratrice avec d'autres romans, notamment ceux d'Agata Christie mais aussi avec Rebecca ou le troisième homme.
Une intrigue originale mais j'ignore si c'est l'écriture ou la traduction qui m'ont gênée ; dans tous les cas, je butais parfois sur les phrases et étais obligée de relire...

Couverture du livre « Le témoin invisible » de Posadas Carmen aux éditions Points

Anne Marie PHILIPPE sur Le témoin invisible de Posadas Carmen

Un très bon livre de témoignages d’un ramoneur de la famille Romanov. Léonid est hospitalisé dans son pays d’adoption l’Uruguay, il veut avant de partir écrire ses mémoires, celles qui regroupent les années 1912 à 1918. Son arrivée chez la famille royale, puis il les suivra jusqu’à...
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Un très bon livre de témoignages d’un ramoneur de la famille Romanov. Léonid est hospitalisé dans son pays d’adoption l’Uruguay, il veut avant de partir écrire ses mémoires, celles qui regroupent les années 1912 à 1918. Son arrivée chez la famille royale, puis il les suivra jusqu’à Ekaterinbourg, lieu où ils seront massacrés. Nous croiserons Raspoutine, c’est aussi la révolution russe et la première guerre mondiale. Un très bon livre qui lie l’histoire et le romanesque. J’ai adoré

Couverture du livre « Petites infamies » de Posadas Carmen aux éditions Points

Maximilien Vergnaud sur Petites infamies de Posadas Carmen

Petites Infamies commence par la mort du cuisinier Nestor, enfermé dans une chambre froide. C'est le point de départ du roman qui adopte tour à tour les points de vue de ceux qui se trouvaient dans la maison au moment du drame. A peu près tout le monde avait une bonne raison de le vouloir mort....
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Petites Infamies commence par la mort du cuisinier Nestor, enfermé dans une chambre froide. C'est le point de départ du roman qui adopte tour à tour les points de vue de ceux qui se trouvaient dans la maison au moment du drame. A peu près tout le monde avait une bonne raison de le vouloir mort. On remonte le fil de la vie de chacun. Les personnages sont hauts en couleur et les rebondissements nombreux, le tout servi par une belle plume. Divertissant.

Sophie Le Guillou sur Petites infamies de Posadas Carmen

Tout commence par la mort pour ensuite revenir aux vies et pensées des différents protagonistes.... superbement bien écrit. ne serait ce que pour cette magnifique phrase: "un ennemi qui s'enfuit, ou mieux encore, qui à l'immense gentillesse de mourir juste avant qu'on ne le tue, mérite, c'est...
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Tout commence par la mort pour ensuite revenir aux vies et pensées des différents protagonistes.... superbement bien écrit. ne serait ce que pour cette magnifique phrase: "un ennemi qui s'enfuit, ou mieux encore, qui à l'immense gentillesse de mourir juste avant qu'on ne le tue, mérite, c'est bien le moins, qu'on le remercie"