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Beatrice Hammer

Beatrice Hammer

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Avis sur cet auteur (28)

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    Couverture du livre « La petite chèvre qui rêvait de prix littéraires » de Beatrice Hammer aux éditions Les éditions D'avallon

    Marie CHRIST sur La petite chèvre qui rêvait de prix littéraires de Beatrice Hammer

    Ce livre est tombé dans ma PAL sur les conseils d’une amie lectrice. Et je me suis empressée de le télécharger.
    Dès les premières pages, je me suis trouvée un peu désorientée, un écrivain qui écrit l’histoire d’un écrivain. Que cache ce scénario ? Une histoire dans l’histoire ?
    Et puis...
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    Ce livre est tombé dans ma PAL sur les conseils d’une amie lectrice. Et je me suis empressée de le télécharger.
    Dès les premières pages, je me suis trouvée un peu désorientée, un écrivain qui écrit l’histoire d’un écrivain. Que cache ce scénario ? Une histoire dans l’histoire ?
    Et puis l’écrivaine en question est apparentée à une chèvre ???? pourquoi une chèvre ???? serait elle prise pour telle ? Et qui plus est l’auteure lui donne le nom de la chèvre de Monsieur Seguin (Alphonse Daudet – Les lettres de mon Moulin) ! Blanchette mais erreur : la chèvre de Monsieur Seguin s’appelait Blanquette (et non Blanchette) !
    Ça commence mal !
    Le narrateur est l’écrivain qui nous dévoile l’histoire de Blanchette elle rêve de devenir célèbre en écrivant tout d’abord des nouvelles, puis des romans et surtout elle rêve d’obtenir un prix. Bien sûr il s’inspire de sa propre expérience ! De l’espoir, de l’espoir, des rêves et encore des rêves. On écrit, on attend on ne voit rien arriver. Heureusement ses amours (quelques peu bizarres) avec Gustave mettent un peu de piment dans la sauce et sont source d’inspiration.
    De déception en succès, de succès en déception, nous vivons au rythme des bons vouloirs des éditeurs et des rapaces qui volent autour de l’auteure pour lui piquer idées et autres secrets.
    Quant à la chute, en quelques lignes seulement, inattendue, il fallait une fin alors je pense qu’elle est un peu improvisée.
    Bref, j’ai eu du mal à entrer dans le roman. Et si dans d’autres récits j’ai apprécié l’auteure, cette fois j’ai été très déçue, certes, elle écrit bien mais Blanquette….. Je l’ai préférée chez Alphonse Daudet.

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    Couverture du livre « Les violons de Léna » de Beatrice Hammer aux éditions Les éditions D'avallon

    Marie Nel sur Les violons de Léna de Beatrice Hammer

    C'est le titre qui m'a tout de suite attirée. Je porte un grand amour à l'instrument de musique qu'est le violon. Le résumé a ensuite fini de m'attirer, car il m'a fait penser à ma propre histoire personnelle. J'ai moi-même une fille, adulte maintenant, qui est tombée amoureuse du violon à l'âge...
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    C'est le titre qui m'a tout de suite attirée. Je porte un grand amour à l'instrument de musique qu'est le violon. Le résumé a ensuite fini de m'attirer, car il m'a fait penser à ma propre histoire personnelle. J'ai moi-même une fille, adulte maintenant, qui est tombée amoureuse du violon à l'âge de 2 ans et demi, et qui en a joué jusqu'à la fin de son adolescence. Je me suis donc tout de suite sentie attirée par ce livre. En plus, je connais déjà Béatrice Hammer pour avoir lu d'autres de ses romans, je connais sa plume délicate et sensible, et j'avais très envie de voir comment elle racontait cette histoire.

    Je peux vous dire déjà que j'ai été enchantée par cette lecture. J'ai rencontré cette petite fille, Lena, et je me suis très vite attachée à elle. Elle a 3 ans au début de l'histoire. Un jour, en se promenant avec sa maman, elle entend de la musique dans la rue, elle voit alors une jeune femme, Mélodie, jouer du violon. Léna est tellement subjuguée par ce qu'elle voit et entend, qu'elle veut absolument avoir cet instrument et apprendre à en jouer. Elle est loin de s'imaginer que cette rencontre va bouleverser sa vie. Je ne peux pas vous en dire beaucoup plus, car le livre est assez court, et je ne voudrais pas vous gâcher le plaisir de la découverte. Il faut juste savoir que l'on va suivre cette petite fille et son violon, elle va, comme Mélodie, donner un nom à son instrument. On va les voir grandir avec elle, dans son apprentissage de la musique, dans sa pratique de l'instrument, dans sa vie de petite fille, puis de collégienne et de jeune fille. On la suit dans des moments très douloureux et difficiles pour une petite fille, dans sa vie familiale, dans sa relation avec sa professeure. Et toujours elle cherchera à retrouver Mélodie et Gustave, son violon. Oscar, Michaela, Olga et Aurélien seront ses compagnons durant tout son apprentissage. Et il va lui falloir bien du courage à certain moments.

    Je me suis très vite attachée à Léna, car j'ai énormément retrouvé ma fille Lilas dedans. Le même coup de foudre pour l'instrument et sa musique, la même obstination à vouloir apprendre à en jouer, les mêmes balbutiements pour nous les parents à trouver un professeur qui veut enseigner à une si petite fille, le même attachement pour la professeure qui lui a appris les bases et qui deviendra une amie. Je ne sais pas si l'autrice a vécu la même chose, mais j'ai eu bien souvent l'impression qu'elle racontait ma propre histoire et celle de ma fille. Le changement viendra à l'adolescence où ma fille a fait une autre rencontre, celle d'un cheval, qui détrônera le violon, bien qu'elle en joue encore pour le plaisir.

    J'ai tout aimé dans ce livre, l'histoire, le style de l'autrice, son écriture. Elle sait passer à travers les mots toutes les émotions que vivent les personnages, elle décrit très bien les scènes sans les alourdir, j'ai réussi à tout imaginer, à tout "voir", et j'ai même entendu le violon jouer. Je me suis attachée à chacun des personnages, j'ai ri avec eux, j'ai souri, j'ai été émue, j'ai pleuré. Les mots de l'autrice sont à la fois très justes et poétiques. Il faut une grande sensibilité d'âme pour écrire une si belle histoire.

    La lecture se fait avec beaucoup d'intérêt et d'addiction. Le roman est court, donc il se lit vite, et pourtant je ralentissais ma lecture pour rester le plus longtemps possible avec Léna. Les chapitres sont courts, parfois très courts pour augmenter l'intensité de l'émotion. Et j'avais tellement envie de savoir ce qui allait arriver à Léna, comment elle allait gérer un évènement ou un autre, que je tournais les pages sans trop me rendre compte. La narration à la troisième personne a pour effet, d'habitude, de garder une certaine distance avec les émotions, mais pas là, impossible pour moi de ne pas être touchée.

    C'est pour moi un gros coup de coeur. Je suis remontée dans mes souvenirs personnels il y a presque 30 ans, j'ai revécu l'enfance de ma fille au travers de Léna, il ne lui est pas arrivé les mêmes choses, mais l'apprentissage du violon a été le même. Même si elle n'a pas fait du violon son métier, je suis très fière d'elle, et très fière d'avoir vécu cela à ses côtés.

    Bon, je m'égare, mais tout ça pour vous dire comme c'est une très belle histoire que je vous recommande vivement. N'hésitez pas à partir à la rencontre de Léna et de ses violons. C'est une très belle leçon de vie. J'ai lu ce roman en numérique, mais je vais me l'acheter en papier pour l'avoir dans ma bibliothèque, pour le feuilleter à nouveau, il aura une place de choix. Une chose est sûre, c'est que je vais continuer à lire des livres de Béatrice Hammer, je me régale à chaque fois.

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    Couverture du livre « Une baignoire de sang » de Beatrice Hammer aux éditions Alter Real

    Marie CHRIST sur Une baignoire de sang de Beatrice Hammer

    mariechrist67
    mariechrist67
    30 mars 2023
    Un Polar comme je les aime !
    Malgré son titre ce polar est très correct, pas de descriptions horribles, pas de scènes gores et pourtant il y a du suspens et une addiction à sa lecture.
    Julie, jeune et jolie journaliste, est trouvée morte dans sa...
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    mariechrist67
    mariechrist67
    30 mars 2023
    Un Polar comme je les aime !
    Malgré son titre ce polar est très correct, pas de descriptions horribles, pas de scènes gores et pourtant il y a du suspens et une addiction à sa lecture.
    Julie, jeune et jolie journaliste, est trouvée morte dans sa baignoire, les veines ouvertes. Un suicide ? C'est apparemment plus que probable ! Mais non Gloria et son adjoint Rachid en doutent et soupçonnent qu'elle aurait plutôt été victime d'un assassinat. CQFD
    Les deux flics vont donc mener leur enquête, une enquête pas facile, il faut tout d'abord trouver les raisons de ce crime, sur quels dossiers travaillait Julie ? Que vient faire cette SDF, nommée Mina dont on découvre la vie tourmentée au travers des chapitres.
    J'aimerais en dire plus mais je préfère vous laisser, futurs lecteurs, le plaisir de découvrir les différents épisodes de l'enquête et les difficultés que vont rencontrer les deux complices.
    J'avais déjà lu à plusieurs reprises Béatrice Hammer et c'est avec plaisir que j'ai retrouvé sa belle écriture. Ce polar « psychologique » m'a énormément plu, c'est une pépite.
    Si vous voulez passer un bon moment de lecture, je ne peux que vous recommander ce très bon bouquin.

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    Couverture du livre « Une baignoire de sang » de Beatrice Hammer aux éditions Alter Real

    Dany La sur Une baignoire de sang de Beatrice Hammer

    Julie, jeune journaliste est retrouvée dans sa baignoire les veines tranchées. Le suicide paraît évident. Ni ses amis ni sa mère n’y croient. Gloria, jeune inspectrice se lance dans la recherche des raisons d’un meurtre éventuel.
    En parallèle , le récit nous fait découvrir Mina, jeune...
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    Julie, jeune journaliste est retrouvée dans sa baignoire les veines tranchées. Le suicide paraît évident. Ni ses amis ni sa mère n’y croient. Gloria, jeune inspectrice se lance dans la recherche des raisons d’un meurtre éventuel.
    En parallèle , le récit nous fait découvrir Mina, jeune orpheline qui erre de foyers jusqu’en Maison pour Enfants à Caractère Social pour terminer sous les ponts à sa majorité.
    Quels liens existent entre Julie et Mina si dissemblables. Mina est elle l’objet d’une enquête de Julie?
    Béatrice Hammer se lance dans le polar et j’ai particulièrement apprécié ses personnages.
    Gloria n’est pas la super flic . Elle ressemble à beaucoup de femmes de notre époque. Divorcée, elle a deux enfants et n’est pas très aidée par leur père atteint de bipolarité. Elle est donc confrontée quotidiennement aux difficultés d’une femme seule qui doit gérer métier et enfants.
    Quant à Mina, la jeune SDF, on est troublé par toutes les galères qu’elle affronte. Béatrice Hammer, à travers ce personnage décrit bien tout l’aspect misérable d’une partie de notre société laissée sur le bord du chemin.
    N’oublions pas Julie, jeune journaliste idéaliste, à la recherche de la vérité et dont les investigations se portent sur les prévarications de laboratoires pharmaceutiques.

    Le livre se lit vite avec intensité. Les chapitres s’enchaînent avec dynamisme. On retrouve ça et là quelques pointes d’humour propres à Béatrice Hammer. Je me suis agréablement laisser emportée par l’autrice dans cette enquête dont les noeuds se défont petit à petit