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Antonio Tabucchi

Antonio Tabucchi
Né à Pise en 1943, Antonio Tabucchi, est l'auteur d'une vingtaine de livre (romans et récits) traduits dans le monde entier et qui ont reçu plusieurs récompenses internationales (prix Médicis Étranger en 1987, prix Pen Club en 1992, prix Campiello et Viareggio en 1994, prix européen Jean Monnet e... Voir plus
Né à Pise en 1943, Antonio Tabucchi, est l'auteur d'une vingtaine de livre (romans et récits) traduits dans le monde entier et qui ont reçu plusieurs récompenses internationales (prix Médicis Étranger en 1987, prix Pen Club en 1992, prix Campiello et Viareggio en 1994, prix européen Jean Monnet en 1995, prix Méditerranée en 2004). Philologue et traducteur italien de Pessoa, auquel il a consacré plusieurs essais, il a été professeur à l'Université de Sienne et professeur invité au Bard College de New York et au Collège de France. Il a collaboré au Monde, au Corriere della Sera et à El País et a publié de nombreux textes dans la Nouvelle Revue Française. Certains de ses livres ont été adaptés au théâtre et au cinéma (Nocturne indien par Alain Corneau, Le fil de l'horizon par Fernando Lopez, Pereira prétend par Didier Bezace et Roberto Faenza, Requiem par Alain Tanner). Écrivain italien, Antonio Tabucchi est né à Pise en 1943. En 1962, il vient étudier la littérature à Paris et découvre l'?uvre de Fernando Pessoa. Son enthousiasme l'amènera à faire du Portugal sa deuxième patrie. De 1987 à 1990, il dirige l'Institut culturel italien à Lisbonne. Il partage aujourd'hui sa vie entre Lisbonne, Pise et Florence, et enseigne la littérature portugaise à l'université de Sienne. De lui, les Éditions Gallimard ont publié Tristano meurt (Du monde entier, 2004, Folio n°4386), Le fil de l'horizon (Folio n°4384), Le Jeu de l'envers (Folio n°4385), Petites équivoques sans importance (Du monde entier, 2006, Folio n°4609), Requiem (Folio n°4383), Rêves de rêves (Folio n°4479), L'ange noir (Folio n° 4613).

Avis sur cet auteur (7)

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    Couverture du livre « Femme de Porto Pim et autres histoires » de Antonio Tabucchi aux éditions Gallimard

    Le Chameau Bleu sur Femme de Porto Pim et autres histoires de Antonio Tabucchi

    léger, agréable à lire, c'est un recueil de nouvelles d'écrivain voyageur sur l'île de Faial et les baleines. Déjà un titre au nom primesautier qui interpelle. l'auteur qui avait entrepris un voyage sur les traces des derniers harponneurs et pêcheurs de baleine, nous en apprend beaucoup sur...
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    léger, agréable à lire, c'est un recueil de nouvelles d'écrivain voyageur sur l'île de Faial et les baleines. Déjà un titre au nom primesautier qui interpelle. l'auteur qui avait entrepris un voyage sur les traces des derniers harponneurs et pêcheurs de baleine, nous en apprend beaucoup sur celles-ci.
    Mais il est un peu trop court à mon goût!

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    Couverture du livre « Pereira prétend » de Antonio Tabucchi aux éditions Folio

    k. c. sur Pereira prétend de Antonio Tabucchi

    Avec une écriture originale et très agréable, Antonio Tabucchi nous conte une "petite histoire" qui va s'inscrire dans la "grande histoire". Direction Lisbonne et le petit bureau d'un journaliste amoureux de littérature sous Salazar.
    Ce roman aborde des questions fondamentales à travers la vie...
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    Avec une écriture originale et très agréable, Antonio Tabucchi nous conte une "petite histoire" qui va s'inscrire dans la "grande histoire". Direction Lisbonne et le petit bureau d'un journaliste amoureux de littérature sous Salazar.
    Ce roman aborde des questions fondamentales à travers la vie de cet homme simple, éprouvé par la vie, un peu perdu. Comment se rend-on compte que nous nous laissons aller à la simplicité dans notre vie quotidienne ? Que pouvons-nous faire pour nous "réveiller"? Pouvons - voulons-nous faire quelque chose?
    Quelle surprise en lisant la postface d'apprendre que, sans être une biographie, ce roman a été inspiré par l'existence d'un journaliste portugais réel.
    Un très beau roman.
    N.B. je l'ai lu en italien, et j'ai beaucoup aimé la style de l'auteur. Je ne sais pas ce que vaut la traduction française.

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    Couverture du livre « Tristano meurt » de Antonio Tabucchi aux éditions Folio

    Elizabeth Pianon sur Tristano meurt de Antonio Tabucchi

    Pauvre Tristano.
    Je ne l'aurais même pas accompagné jusqu'à la mort, le laissant seul dans son agonie entre ses injections de morphine, les poèmes de Frau et le récit de sa vie qu'il fait à un jeune écrivain convié dans sa maison de Toscane.
    Il mourra donc sans moi, je ne connaîtrai pas toute...
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    Pauvre Tristano.
    Je ne l'aurais même pas accompagné jusqu'à la mort, le laissant seul dans son agonie entre ses injections de morphine, les poèmes de Frau et le récit de sa vie qu'il fait à un jeune écrivain convié dans sa maison de Toscane.
    Il mourra donc sans moi, je ne connaîtrai pas toute sa vie.
    A la page 100, je l'assure de toute mon estime et de ma considération, et l'abandonne à sa fin de vie.
    Je lui tourne le dos, comme tourne le dos son père sur la photo de couverture.
    Ce n'est pas que son histoire soit inintéressante, mais je n'arrive pas à entrer dans ce livre.
    Le style, le ton peut-être, je ne sais pas vraiment.
    Ou alors trop décousu.
    Ou bien ce n'est simplement pas le bon moment pour moi.
    Parce que je reste persuadée qu'il y a une grande richesse dans ce livre.

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    Couverture du livre « Nocturne indien » de Antonio Tabucchi aux éditions Gallimard

    Nathalie Sibué sur Nocturne indien de Antonio Tabucchi

    " " Le sujet, c' est que dans ce livre, moi, je suis quelqu' un qui s' est perdu en Inde ", répétai-je, " disons les choses comme ça. Il y a quelqu' un qui est en train de me chercher, mais moi, je n' ai pas du tout l' intention de me laisser trouver. L' autre, moi je l' ai vu arriver, je l'...
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    " " Le sujet, c' est que dans ce livre, moi, je suis quelqu' un qui s' est perdu en Inde ", répétai-je, " disons les choses comme ça. Il y a quelqu' un qui est en train de me chercher, mais moi, je n' ai pas du tout l' intention de me laisser trouver. L' autre, moi je l' ai vu arriver, je l' ai suivi jour par jour, pour ainsi dire. Je connais ses préférences et ses dégoûts, ses désirs et ses méfiances, ses ardeurs et ses peurs. Je l' ai pratiquement sous mon contrôle. Lui, au contraire, il ne sait pratiquement rien de moi. Il a quelque vague indice : une lettre, des témoignages confus ou réticents, un petit mot très vague : des signaux, des petits morceaux qu' il tente péniblement de recoller. " "
    Antonio Tabucchi

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