Le jury de la 16e édition, présidé par Jean-Christophe Rufin, a délibéré
2010 – Bruno psychiatre se rappelle son enfance
1948 – Salerne
Bruno 13 ans, orphelin timide et réservé et maltraité par ses camarades de l’orphelinat et par les religieux. Nino un de ses camarades, farceur, joyeux qui n’a peur de rien se lie d’amitié avec lui.
Il respire enfin quand, avec Nino, il part l’été travailler pour Monsieur Aloia, Professeur exercent au États-Unis présent seulement l’été.
Mais la maison des Aloia est étrange, Bruno sent qu’un drame s’y est déroulé. Avec l’aide de Nino, il part à la recherche de la vérité.
L’auteur jongle entre le présent et le passé. On a du mal à distinguer ce qui est vrai de ce qui sort de l’imaginaire de Bruno.
Mais quel roman ! Difficile d’en parler tellement les genres se mélangent, on passe du fantastique au thriller en un clin d’oeil. Beaucoup de suspense, de questionnement. Comment un drame de la vie détruit tout sur son passage.
Petit bémol, la fin est étrange, j’attendais tellement plus au vu du nombre de rebondissements de l’histoire, on passe à côté d’un coup de coeur !
Après l'avoir fini je suis restée dans une sorte de "brouillard".
Une impression de rester un peu sur ma faim tant j'aurais voulu plus de détails, plus d'informations. Qui? Quoi? Comment?
Répétant "mais non, mais non, ça ne peut pas se finir ainsi" et puis si après tout ça peut, c'est même probablement la meilleure des fins, accepter de ne pas pouvoir tout savoir, de ne pas tout comprendre.
Car je dois avouer que je n'ai pas toujours tout compris, j'ai eu l'esprit embrouillé.
C'est un thriller psychologique entre réalité et rêve, réalité et paranormal. L'auteur joue avec nous, jongle avec la folie et la soif de vengeance, brouille les pistes.
Pour certains points d'intrigue j'avais vu venir l'info de loin, ça m'a même rendu dingue que nombre de choses me laissent penser que j'avais tort.
Comme dans un autre commentaire je n'ai pas vraiment ressenti le style de S.King comme annoncé en couverture, mais effectivement la noirceur d'un Donato Carrisi (pour rester avec les auteurs italiens) le côté "vaporeux" "mystérieux" que j'avais ressenti à la lecture du roman "L'ombre du Vent" de Zafron.
L'auteur a embrouillé mon esprit comme il a embrouillé celui de Bruno. J'ai pensé à mille hypothèses, comme lui je me suis demandée si j'étais folle.
C'est un roman que je relirai probablement, un peu comme un film qu'il est nécessaire de revoir une fois que l'on connait l'histoire pour mieux sans délecter.Après l'avoir fini je suis restée dans une sorte de "brouillard".
Une impression de rester un peu sur ma faim tant j'aurais voulu plus de détails, plus d'informations. Qui? Quoi? Comment?
Répétant "mais non, mais non, ça ne peut pas se finir ainsi" et puis si après tout ça peut, c'est même probablement la meilleure des fins, accepter de ne pas pouvoir tout savoir, de ne pas tout comprendre.
Car je dois avouer que je n'ai pas toujours tout compris, j'ai eu l'esprit embrouillé.
C'est un thriller psychologique entre réalité et rêve, réalité et paranormal. L'auteur joue avec nous, jongle avec la folie et la soif de vengeance, brouille les pistes.
Pour certains points d'intrigue j'avais vu venir l'info de loin, ça m'a même rendu dingue que nombre de choses me laissent penser que j'avais tort.
Comme dans un autre commentaire je n'ai pas vraiment ressenti le style de S.King comme annoncé en couverture, mais effectivement la noirceur d'un Donato Carrisi (pour rester avec les auteurs italiens) le côté "vaporeux" "mystérieux" que j'avais ressenti à la lecture du roman "L'ombre du Vent" de Zafron.
L'auteur a embrouillé mon esprit comme il a embrouillé celui de Bruno. J'ai pensé à mille hypothèses, comme lui je me suis demandée si j'étais folle.
C'est un roman que je relirai probablement, un peu comme un film qu'il est nécessaire de revoir une fois que l'on connait l'histoire pour mieux sans délecter.
Peu après la seconde guerre mondiale, Bruno, 13 ans, vit dans un orphelinat tenu par un prêtre rude et subit les brimades de ses camarades. Tout change lorsqu'un été il et choisi avec son ami Nino pour travailler dans la demeure d'un riche propriétaire. Ils passent l'été à donner des coups de main dedans et dehors. Un été chaud et imprévisible. Très vite, des cauchemars viennent troubler les nuits de Bruno et l'apparition d'une petite-fille qui vit au dernier étage de la maison n'y est sans doute pas étrangère. Tout s'emballe lorsque des corps sont découverts sur la propriété.
L'auteur est qualifié de Stephen King italien. J'adore King et sa créativité de génie. Mais ici, je ne vais pas faire durer le suspense, je suis passée complètement à côté de ce texte. De King, je n'ai pas vu beaucoup de points communs. J'ai trouvé ce roman plus sombre, au sens gothique du terme, plus merveilleux aussi.
La confusion voulue entre réalité et fiction a eu raison de ma patience et à trop brouiller les pistes, a fini par me perdre.Le rythme, entre passé et présent, ne suffit pas à rendre le récit dynamique. J'ai trouvé la première partie longue et fastidieuse, voire répétitive. La seconde moitié du roman prend enfin son essor, mais trop tardivement. La chute (floue et opaque) de l'histoire me laisse dubitative.
Cependant, ce roman s'inscrit parfaitement dans les romans noirs horrifiques. Ambiance lourde, obscurité, ombres, cadavres, apparitions soudaines et inexpliquées, perte de repères … Les personnages frôlent la folie et bien que ce fut une lecture en demie-teinte, je ne peux que saluer le travail psychologique sur les protagonistes.
Les aficionados du genre devraient sans difficulté éprouver le doux plaisir de la peur à cette lecture.
Bilan :
Un roman ensorcelant dont le sortilège ne m'a pas atteint. Mais un texte-monde au titre accrocheur dont la langue émerveillera très certainement d'autres que moi.
Antonio Lanzetta, un auteur découvert en fin d'année dernière.
Un homme extrêmement sympathique, souriant, et très bon conteur !
En témoigne son excellent premier roman.
Hâte que les suivants soient traduits en français !
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Automne 2016.
Castellacio, petit village du sud de l'Italie.
Le cadavre d'une jeune fille est retrouvé ; pendue, décapitée. Sa tête gît au pied d'un vieux saule.
Damiano Valente participe à l'enquête, qui le replonge dans son passé...
Été 1985.
Castellacio, ce même petit village.
Flavio, Damiano, Stefano et Claudia coulent des jours heureux (ou presque) entre mer et montagne... jusqu'à l'assassinat de Claudia.
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Ce MAL, qui sommeille en soi.
Ce MAL, qui imprègne ce petit village depuis plus de trente ans.
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Une lecture fluide.
De courts chapitres qui confèrent du rythme au récit et facilitent l'immersion dans ce page-turner fascinant.
Moi aussi, je me suis promenée à vélo avec les quatre amis.
Moi aussi, je me prélassais sous le soleil de l'Italie.
Moi aussi, j'ai été envahie par les paysages du village.
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