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Anne-Dauphine Julliand

Anne-Dauphine Julliand
Anne-Dauphine Julliand est journaliste et vit à Paris. Elle est l'auteur de Deux Petits pas sur le sable mouillé.

Avis sur cet auteur (30)

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    Couverture du livre « Deux petits pas sur le sable mouillé » de Anne-Dauphine Julliand aux éditions J'ai Lu

    envielivresque sur Deux petits pas sur le sable mouillé de Anne-Dauphine Julliand

    Encore un témoignage que j’ai écouté sur @audible_fr
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    Encore un témoignage que j’ai écouté sur @audible_fr

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    Couverture du livre « Deux petits pas sur le sable mouillé » de Anne-Dauphine Julliand et Bertrand De Miollis aux éditions J'ai Lu

    Tonia sur Deux petits pas sur le sable mouillé de Anne-Dauphine Julliand - Bertrand De Miollis

    Un vrai coup de coeur ...

    Un vrai coup de coeur ...

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    Couverture du livre « Consolation » de Anne-Dauphine Julliand aux éditions Arenes

    STOLL AUDEBEAU BENEDICTE sur Consolation de Anne-Dauphine Julliand

    Thaïs est une petite fille de deux ans sans histoire jusqu'au jour où sa démarche intrigue sa mère. Les médecins découvrent alors une maladie incurable qui l'emporte en quelques mois. Enceinte, Anne-Dauphine apprend peu après que son bébé est atteint de la même maladie. Greffée à sa naissance,...
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    Thaïs est une petite fille de deux ans sans histoire jusqu'au jour où sa démarche intrigue sa mère. Les médecins découvrent alors une maladie incurable qui l'emporte en quelques mois. Enceinte, Anne-Dauphine apprend peu après que son bébé est atteint de la même maladie. Greffée à sa naissance, Azylis grandit jusqu'à ce que la maladie la rattrape.
    Elle meurt à dix ans. " J'ai beaucoup souffert et je souffre encore. Mais j'ai appris la consolation. Ce délicat rapport à l'autre : s'approcher, toucher, parler. "
    Ce livre parle de ceux qui consolent et de ceux que l'on console. Grâce à des scènes vécues, Anne-Dauphine partage ses réflexions qui touchent juste. Elle évoque ses deux filles, Thaïs et Azylis, mais aussi Loïc, son mari, Gaspard son fils aîné et enfin Arthur, le petit dernier.
    Son récit est aussi un bel hommage à tous les consolants : une soeur qui vous prend dans les bras, une infirmière qui s'assoit sur le bord du lit et prend juste le temps " d'être-là " , un peu de vernis à ongle qui aide à aimer la vie malgré tout. Elle a le don de ces scènes courtes qu'elle rend inoubliables. Anne-Dauphine Julliand sait que la souffrance se passera pas mais qu'elle peut s'apprivoiser.
    Quand on lui demande comment fait-elle quand elle est triste, elle répond qu'elle a un truc imparable : elle pleure. Avec simplicité et profondeur, Anne-Dauphine nous guide sur le chemin de la consolation. Les lecteurs de ce livre n'hésiteront plus jamais à serrer dans leurs bras celui ou celle qui souffre. "J'ai perdu mes filles. Je le dis le coeur habité par deux sentiments que l'on croit souvent contraires : la douleur et la paix.
    La douleur de celle qui pleure. Et la paix de celle qui est consolée"
    Un récit d'une grande humanité sur la souffrance et la consolation.

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    Couverture du livre « Consolation » de Anne-Dauphine Julliand aux éditions Arenes

    Matatoune sur Consolation de Anne-Dauphine Julliand

    Pour son troisième essai, Anne-Dauphine Julliand choisit d’analyser le concept de la consolation. Certes, écrire sur la souffrance, ce ressenti de l’âme qui ne se partage pas, est chose difficile, mais décrypter la manière dont on se reconstruit est important.
    Au delà de son témoignage,...
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    Pour son troisième essai, Anne-Dauphine Julliand choisit d’analyser le concept de la consolation. Certes, écrire sur la souffrance, ce ressenti de l’âme qui ne se partage pas, est chose difficile, mais décrypter la manière dont on se reconstruit est important.
    Au delà de son témoignage, bouleversant et renversant, il y a l’universel de la souffrance, celle qui laisse sans souffle et qui étreint tout sur son passage. Ainsi, pour l’autrice , ce fut l’annonce du handicap lourd de ses deux filles, puis leurs décès. Avec d’autres, ce sera le décès d’un parent, ou d’un ami proche. Et, pour d’autres encore, la séparation avec un être aimé. Il n’y a pas d’échelle dans la souffrance. De cet abîme, la consolation permet le passage vers la vie.
    Avant tout le postulat d’Anne-Dauphine Julliand est de rendre nécessaire le fait d’entourer la personne qui souffre. Car, la double -peine est souvent la solitude qui l’entoure . Du coup, la consolation est un pont qui va de celui qui souffre à une personne non pas pour enlever mais pour accompagner et soutenir; juste par un geste, une présence, un mot.
    https://vagabondageautourdesoi.com/2020/12/21/anne-dauphine-julliand-consolation/