Embarquez pour une sélection intergalactique 100% SF !
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C'est le déluge à Barro city ! Les cercueils du cimetière, libérés de leur sépulture par la pluie diluvienne, errent dans les rues transformées en torrents. Funèbre prédiction qui n'augure rien de bon pour le Bouncer...
L'or qu'il a ramené de son aventure précédente est bien au chaud dans les coffres de la banque. Mais il suscite des convoitises. Et l'arrivée d'une bande de malfrats laisse peu de doute sur leurs intentions véritables.
Ce 12ème tome voit le retour de Jodorowsky (94 ans quand même !) au scénario. Il développe sur près de 140 pages un scénario riche pour un récit sombre et violent qui met en place une machination habile.
François Boucq excelle dans cette série (mais pas seulement) depuis 2001. Et il le prouve encore, il maîtrise ces ambiances de westerns, sous la pluie ou le soleil, et parvient à donner une force impressionnante aux personnages, dont certains atypiques, et aux scènes d'action.
Encore une série marquante pour les fans de western en BD. Ce tome 12 très réussi en sonne-t-il le glas ? Certains le pensent...
Ici encore l’association de deux grands créateurs donne un ouvrage d’une solidité rare avec un western qui combine les codes et les références : de l’or qui attire des bandits de tous poils pour s’en emparer, une ville de l’Ouest avec ses saloons, son bordel, son quartier chinois et sa fumerie d’opium, des héros marqués par la vie, les amitiés et amours fortes, etc. … et puis les envolées et atmosphères de (à la) Jodorowsky avec un peu de fantastique et / ou de culture indienne, des dérapages à la Tarantino, … Au point que ce douzième tome marque un tournant dans la série et le destin de Bouncer, ce manchot ayant du sang indien.
Les dessins de François Boucq et les couleurs (du tandem François et Alexandre Boucq) sont en totale harmonie avec cette histoire (développée sur 140 pages et qu’on ne lâche pas avant d’être arrivé à la dernière) qui nous plonge dans ce far-ouest américain.
Malgré la couverture qui annoncé la couleur, je m'attendais à des intrigues et des manigances hautement ficelé... bon c'est un peu râpé. Pour la finesse du récit en général : on repassera.
Les intrigues semblent surtout tourné autour du sexe, ça se lit vite, c'est divertissant, mais jesperais quelque chose de plus costaud d'un point de vu historique...
Les graphismes sont beaux. Malgré tout, en tournant la dernière page on a quand même envie de lire la suite, comme je l'ai dit c'est divertissant, ça se lit sans prise de tête.
L'univers de l'Incal est simplement stupéfiant d'originalité. Le graphisme, l'inventivité de Jodorowski sans égale en fait une saga qu'il faut avoir lue si on aime la SF.
L'Incal... c'est rêver les yeux ouverts.
Un must.
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