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Adam Sternbergh

Adam Sternbergh

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Avis sur cet auteur (9)

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    Couverture du livre « Population : 48 » de Adam Sternbergh aux éditions Super 8

    Michel Gardin sur Population : 48 de Adam Sternbergh

    Population : 48 d' Adam Sternbergh

    En vitrine à la bibliothèque de mon village, j'ai été attiré par le titre de la quatrième page de couverture écrit en rouge : « Tout le monde est coupable. Personne ne sait de quoi. »
    Caesura, Texas, une minuscule bourgade clôturée au fin fond du désert....
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    Population : 48 d' Adam Sternbergh

    En vitrine à la bibliothèque de mon village, j'ai été attiré par le titre de la quatrième page de couverture écrit en rouge : « Tout le monde est coupable. Personne ne sait de quoi. »
    Caesura, Texas, une minuscule bourgade clôturée au fin fond du désert. Population 48 habitants. Qu'est-ce donc ce village et comment a-t-il était peuplé. La réponse suit : Ceux sont tous des criminels, qui en échange d'une amnistie de leurs crimes et ils sont nombreux et variés, acceptent trois règles simples en apparence : Aucun contact avec l'extérieur, aucun visiteur, aucune possibilité de revenir si l'envie leur prenait de partir. Pour cela l'administration a bien fait les choses. Changement de nom pour une mémoire effacée. Là aussi il y a manipulation par un laboratoire expérimental  ? Dans ce petit coin tranquille, ou il y a quand même un shérif ou aucune arme à feu ne doit et ne peut circuler hormis celle en possession de l'homme de loi ? Errol Colfax s'est suicidé. Cet événement ne passe pas inaperçu étant suivi par un meurtre d'un autre habitant du village Hubert Humphrey Gable. Oui vous verrez au fur et à mesure des pages nos illustres habitants ont tous choisi un nom sur une liste faisant référence non pas à leur passé criminel, ni à celui de leur origine, dont ils ne se souviennent mais des références a des comédiens ou hommes et femmes illustres. Cette deuxième affaire contraint notre shérif local a alerté les autorités ? Lesquelles je vous laissent les découvrir. La surprise est au bout d'une piste criminelle savamment effacée, quoique par pour tout le monde. En effet cette mémoire a été consignée dans des dossiers qui devaient être soigneusement enterrés. Dossiers des habitants, mais pas que.
    Tout au long de ce thriller, les rebondissements ne manquent pas quitte à vous donner un peu le tournis. Mais alors un conseil persévérez et vous serez surpris comme je l'ai été à m'attacher à certains personnages et qui vont se révéler tout à fait différent quelques pages plus loin. Venez découvrir ce charmant petit village de Caesura
    sa population son shérif et mais là ce serait spolier ce Thriller qui se lit facilement et qui vous fera passer comme cela a été le cas pour moi un bon moment. Comme dit le guide du routard un bel endroit méritant toutefois un large détour ou vraiment aucun personnage n'est vraiment ce qu'il paraît-être comme il mentionné antépénultième paragraphe de la quatrième de couverture.

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    Couverture du livre « Le fossoyeur » de Adam Sternbergh aux éditions Denoel

    Bernard Viallet sur Le fossoyeur de Adam Sternbergh

    Dans un New York post-apocalyptique, Spademan, ancien éboueur devenu tueur à gages, se voit proposer un contrat nouveau : liquider Perséphone, fille du richissime pasteur Harrow. Même s’il est grassement payé pour faire ce genre de boulot, Spademan a quelques principes. Il ne fait pas n’importe...
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    Dans un New York post-apocalyptique, Spademan, ancien éboueur devenu tueur à gages, se voit proposer un contrat nouveau : liquider Perséphone, fille du richissime pasteur Harrow. Même s’il est grassement payé pour faire ce genre de boulot, Spademan a quelques principes. Il ne fait pas n’importe quoi. Il tue de préférence les salopards et jamais d’enfant ! L’ennui c’est que sa future proie a tout juste dix-huit ans et surtout qu’elle est enceinte de plusieurs mois… De tueur, Spademan se mue alors en protecteur. S’il bénéficie de l’aide de quelques amis fidèles, il se retrouve en butte aux sbires d'Harrow et en particulier au terrible Simon le magicien…
    « Le fossoyeur » relève du roman cyberpunk très noir. Le monde décrit est assez proche du nôtre. Au-delà d’une violence omniprésente et quasi gratuite, le virtuel est devenu l’alpha et l’omega de cette société. Les gens ne peuvent plus supporter le réel. Ils vivent couchés en permanence sous perfusion de substances hypnotiques, tous accros à la limnosphère. L’intrigue est simple mais efficace. Les personnages peu fouillés et presque des ombres ou des zombies. Le style de Sternbergh est très « close-to-the-bone », punchy, rentre dedans, avec un maximum de dialogues sans le moindre signe de ponctuation (tirets ou guillemets), ce qui ne facilite vraiment pas la lecture. Un texte comme un direct au foie, un peu moins travaillé ou abouti que « Population 48 ». Normal c’était le premier roman de l’auteur.

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    Couverture du livre « Population : 48 » de Adam Sternbergh aux éditions Super 8

    Bernard Viallet sur Population : 48 de Adam Sternbergh

    Quelque part dans le désert texan, se trouve Caesura, alias « Blind Town », une toute petite ville close et entourée de barbelés. Y séjournent une quarantaine d’anciens détenus pour toutes sortes de crimes. Une fondation leur a proposé un étrange programme de réhabilitation en circuit fermé. On...
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    Quelque part dans le désert texan, se trouve Caesura, alias « Blind Town », une toute petite ville close et entourée de barbelés. Y séjournent une quarantaine d’anciens détenus pour toutes sortes de crimes. Une fondation leur a proposé un étrange programme de réhabilitation en circuit fermé. On a effacé de leur mémoire tout souvenir de leurs forfaits passés. À leur arrivée, ils ont dû changer de nom et se voir attribuer un bungalow. Parmi eux, se trouvent peut-être quelques témoins innocents qu’il serait nécessaire de protéger de vengeances du monde extérieur. L’expérience a déjà huit années d’une existence relativement satisfaisante. La petite communauté vit sous la houlette bienveillante du shérif Cooper, ancien maton, seul homme armé et avec la caution médicale de la doctoresse Holliday. L’ennui, c’est qu’un des résidents vient de se suicider, puis qu’un autre a été froidement abattu d’une balle dans la tête dans le petit débit de boissons de l’endroit.
    « Population : 48 » est un roman difficilement classable vu qu’il se situe aux limites du roman policier, du thriller, du roman noir et du roman d’anticipation. Le lire ou plutôt le dévorer (c’est un véritable « page-turner » presque impossible à lâcher tant le rythme narratif est haletant !) représente une sacrée expérience. Le volet policier maintient l’intérêt jusqu’aux trois quarts du livre. Il est relayé par l’aspect thriller quand les cadavres s’accumulent de façon apparemment incohérente. La fin totalement dantesque relève vraiment du roman noir quand le passé des uns et des autres ressurgit dans toute son horreur. Mais le plus frappant et le plus troublant est sans doute toute la manipulation psychologique et sociale induite par cette expérience étrange et inquiétante qui s’achève d’une façon à la fois surprenante et réconfortante. Une sorte de verset biblique revient comme un refrain sibyllin (« Il se peut que Dieu pardonne, mais Il exonère rarement »). En fait le pire n’est jamais certain, dira-t-on pour ne rien déflorer. Ouvrage majeur, distrayant et invitant à la réflexion sur la condition humaine. À ne surtout pas rater !!!

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    Couverture du livre « Population : 48 » de Adam Sternbergh aux éditions Super 8

    annesophiebooks sur Population : 48 de Adam Sternbergh

    Étant une (grande) fan des séries à la sauce américaine, je ne pouvais qu’adhérer à cette lecture.
    Elle en ferait d’ailleurs une excellente, de série !
    Résumons : vous prenez un petit groupe de personnes à la mémoire effacée, une petite « ville » cachée au fin fond du désert du Texas, coupée...
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    Étant une (grande) fan des séries à la sauce américaine, je ne pouvais qu’adhérer à cette lecture.
    Elle en ferait d’ailleurs une excellente, de série !
    Résumons : vous prenez un petit groupe de personnes à la mémoire effacée, une petite « ville » cachée au fin fond du désert du Texas, coupée de tout contact extérieur et menée par un shérif énigmatique, un mystérieux Institut qui dirige tout ça de loin, un jeune enfant, et des agents de liaison froids et tatillons.
    Vous mélangez bien tous les ingrédients, vous saupoudrez d’une série de meurtres logiquement inexplicables, vous ajouter une grosse pincée de personnages hauts en couleurs et aux réparties bien senties, une cuillère à soupe de gros secrets, et une franche rasade de mensonges encore plus gros. Portez à ébullition et...
    Bienvenue à Caesura (surnommée Blind Town) !
    Parmi les habitants, pas moyens de savoir qui est qui, même eux ne le savent pas. Mais la nature humaine est bien plus tenace que de simples souvenirs oubliés.
    C’est pour cela que Blind Town se plie à 3 règles :
    - Aucune visite. - Aucun contact. - Aucun retour.
    Sauf que, tout le monde le sait, les règles sont faites pour être contournées.
    Et la charmante petite bourgade va rapidement se transformer en village du Far-West nouvelle génération.
    Là où les méchants sont très méchants, et les gentils pas réellement gentils.
    Alors ici, quand l’ennui menace, ça complote, ça carbure au whisky et à la clope, et, accessoirement, ça dézingue à l’occasion.
    Bref, vous l’aurez compris, pour nous pas moyen de s’ennuyer une seule minute avec ce roman !
    L’écriture d’Adam Sternbetgh est dynamique, terriblement drôle, et diablement addictive.
    Il adore de toute évidence faire tourner son lecteur en bourrique, et il le fait tellement bien que l’on en redemande !
    Vous ferez des dizaines de suppositions qui s’avéreront fausses dès le chapitre suivant, et quand vous penserez ENFIN avoir tout compris, vous serez encore loin du compte !
    En conclusion, en commençant ce livre, preparez-vous à être surpris, à être amusé et à ne plus savoir à qui vous fier.
    Un roman prenant, original, drôle et plein de suspens.
    Un livre à ne pas manquer, donc foncez !