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"L'homme que je ne devais pas aimer" est un récit intimiste et bouleversant signé Agathe Ruga

A travers Sandro, Ariane cristallise tous les hommes qu’elle a connus dans sa vie : père, beaux-pères, puis amants et s’interroge sur sa relation à sa propre mère.

"L'homme que je ne devais pas aimer" est un récit intimiste et bouleversant signé Agathe Ruga

Il y a quelques semaines, nous vous avions parlé du livre L'homme que je ne devais pas aimer d'Agathe Ruga, paru aux éditions Flammarion, dans la rubrique "On aime on vous fait gagner", en vous proposant d’en remporter des exemplaires.

Les avis ont été publiés et aujourd'hui, nous avons le plaisir de partager avec vous la chronique de Dany La... qui donne très envie de découvrir cet ouvrage !

 

L'avis de Dany La sur le livre L'homme que je ne devais pas aimer

 
"Merci infiniment à la Fondation Orange et aux éditions Flammarion de m'avoir offert ce roman d'Agathe Ruga qui m'a permis de la découvrir.
 
Blogueuse influente, elle a créé le Grand Prix des blogueurs littéraires, écrit un premier roman « Sous le soleil de mes cheveux blonds ». Celui-ci est donc son deuxième roman. J’espère que ce ne sera pas le dernier et j’ai grande envie de lire le premier.
 
Ariane, 35 ans, écrivaine, mariée, vient d’accoucher de son troisième enfant, et tombe amoureuse du barman du café du coin, Sandro, sans raison. Cette petite vie bien tranquille va voler en éclats. Jamais l’expression tomber amoureuse ne m’a parue plus juste.
 
Elle tombe malade, de cet amour. Lui, a beau lui dire qu’il n’est pas fait pour elle. Elle est obsédée, s’humiliant à le poursuivre, négligeant sa famille : enfants et mari.A travers Sandro, elle cristallise tous les hommes qu’elle a connus dans sa vie : père, beaux-pères, puis amants et s’interroge sur sa relation à sa propre mère, sur la difficulté d’être épouse, mère, femme tout simplement.
 
On se sent enivré, à la limite du vertige tant le style d’ Agathe Ruga est beau, riche, sincère, authentique. Elle parle si bien de cette passion avec tant d’impudeur que je me suis demandée quelle était la part autobiographique. Les points communs sont si nombreux : toutes les deux ont un prénom qui commence par A. Toutes les deux ont trois enfants. Toutes les deux sont écrivaines.A cette occasion, Il m’est revenu à l’esprit une phrase de mon professeur de philo alors que j’étais en terminale. La passion était au programme et Mme Dayan nous avait déclaré qu’ à 18 ans, nous étions trop jeunes pour connaître la passion et en parler. Le roman d’Agathe Ruga semble le confirmer.
 
La question que je me pose : est-ce enviable de vivre une telle passion ? A t-on envie de connaître la passion telle qu’elle la raconte ?Pour moi, ce roman me rappelle Mme Bovary. Il est magnifique. Je vous invite à le découvrir."
 
Merci à Dany La !
 
Pour retrouver d'autres avis sur le livre, c'est ici : L'homme que je ne devais pas aimer

 

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Commentaires (3)

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