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Le Symbole perdu de Dan Brown

La franc-maçonnerie selon Dan Brown

Le Symbole perdu de Dan Brown

Les nouvelles aventures de Robert Langdon se déroulent cette fois-ci à Washington pour démêler les mystères du pouvoir franc-maçon. Une aventure 100 % Dan Brown que les amateurs placent au niveau du Da Vinci code.

 

 

 

 

 

 



Non, ce n’est pas encore dans cet opus que le respectable et so british Robert Langdon tombera amoureux. Cet éternel célibataire, universitaire de son état, mais démangé par l’aventure tel un vrai Tintin sans Milou, se retrouve embringué dans le décryptage d’une mystérieuse pyramide maçonnique.

Les enjeux sont de taille : il s’agit de sauver l’un de ses meilleurs amis, un franc-maçon de haut niveau, et ensuite sa fille, des griffes d’un horrible individu couvert de tatouages qui incarne le mal absolu. L’intrigue se déroule sur deux plans : celui de la quête et de l’éclaircissement des symboles maçonniques dans une société qui perd ses secrets au fil des pages, mais aussi sur le plan du drame personnel et familial de l’ami de Langdon. C’est alors qu’on ne peut s’empêcher de rapprocher le personnage maléfique d’un Darth Vador, dans les secrets de sa jeunesse.

Comme d’habitude, Dan Brown a bien potassé son sujet et il commet moins d’erreurs d’interprétations que dans le Da Vinci Code. Toutefois, ses positions sur la noétique, une notion qui traite du rapport entre l’esprit et la matière et dérive du new age et de la parapsychologie, croise en réalité certaines thèses créationnistes, ce qui peut faire débat en Europe.

Karine Papillaud

Le symbole perdu, Dan Brown, 2009, ed. Jean-Claude lattès

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