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Entretien avec Elsa Fottorino pour "Parle tout bas" : « J’aurais rêvé d’entendre à 19 ans que j’avais le droit de m’en sortir »

Gagnez des exemplaires de ce récit lumineux sur la reconstruction d'une jeune femme brisée

Entretien avec Elsa Fottorino pour "Parle tout bas" : « J’aurais rêvé d’entendre à 19 ans que j’avais le droit de m’en sortir »

Le 11 février 2005, la narratrice de Parle tout bas (Mercure de France) subit une agression terrible à quelques centaines de mètres de chez ses parents. Elle a 19 ans, un homme la viole dans des conditions atroces.

Mais ce n’est pas le sujet du livre. Parle tout bas raconte à la fois comment on peut faire littérature à partir d’une honte, d’une expérience impossible à partager, mais aussi comment procède la reconstruction d’une jeune femme brisée qui préfère la vie à la mort intime. On pense alors à Charlotte Delbo, rescapée des camps de concentration, qui affirmait -et s’obstinait à le prouver- qu’on peut en sortir, retrouver la lumière et le goût d’être vivant. « Le désespoir n’a jamais empêché personne d’être heureux », écrit magnifiquement Elsa Fottorino. Charlotte Delbo n’aurait sans doute pas dit autre chose.

Dans Parle tout bas, la narratrice qui est aussi l’auteur du livre est, 14 ans après avoir vécu la violence la plus extrême, convoquée au procès de son agresseur. Elle est alors enceinte, heureuse, mais la procédure judiciaire déshumanisée la ramène à cet état d’objet, de corps sans être, qu’elle a enduré dans cette forêt de février, noire de pluie et de peur.

Il n’y a pas de pathos dans le livre d’Elsa Fottorino, il y a la raison, la force et la nuance. Il n’y a pas de pathos non plus dans l’interview qu’elle a donné à lecteurs.com, mais une capacité à traduire l’indicible, et un courage admirable.

KP.

 

Interview d'Elsa Fottorino : « Je voulais retrouver une forme de dignité à mes yeux, aux yeux des autres. »

 

- Vous avez vécu un viol il y a une quinzaine d’années maintenant, mais ce n’est pas ce que vous avez décidé d’évoquer dans Parle tout bas.

J’avais envie de creuser la façon dont on transforme par l’écriture une chose aussi horrible et brutale, une violence aveugle, absurde, abjecte, en en quelque-chose d’élégant et subtil. Sans doute une forme de réparation à ce qui m’a été fait. Ce viol représente une déflagration dans mon existence. J’avais besoin de me sortir de toute cette horreur. C’est pour moi un livre d’émancipation.

 

- Le livre raconte comment la justice vous convoque, 14 ans après les faits.

J’étais enceinte, plongée dans ma vie et dans mes projets, et puis ce coup de téléphone survient, une surprise totale : on avait finalement retrouvé le coupable. J’ai découvert aussi que je n’avais pas été sa seule victime. Il y avait eu quelque chose d’irréel dans ce moment de cauchemar, j’ai ressenti cette même irréalité le jour où j’ai appris qu’on l’avait retrouvé.

 

- Comment se passe pour vous la nécessaire plongée dans la remémoration au moment du procès ?

Dans cette enquête dans mes souvenirs, pour retrouver les documents, les faits, les moments, je me suis aperçu que la mémoire trichait et pouvait aussi réinventer les souvenirs, les remodeler pour les reconstruire : un souvenir, c’est une histoire qu’on se raconte à soi-même.

Le jour du procès, je ne voulais pas être présente sous les yeux de cet homme, alors j’ai écrit une lettre. L’avocat de la défense a signalé des divergences concernant un détail avec ma version d’origine. On oublie énormément de choses. J’ai eu la chance que le coupable ait tout reconnu, et ce, avant même le procès. Je n’ose pas imaginer la violence terrible que vivent les femmes qu’on soupçonne d’incohérence et donc de mensonge dans ce genre de situation. Et puis on m’a dit qu’après la lecture de ma lettre, l’accusé l’avait trouvée belle. Ce qui a été effroyable pour moi.  

 

- Effroyable, pourquoi ?
Cela l’humanisait d’un coup. Je n’avais pas envie de le faire appartenir à la communauté des hommes. Je ne supportais pas d’être identifiée par mon nom aux yeux de cet individu. Le nom dessine les contours de l’humanité d’un être. Je ne supportais pas de le voir, ni d’entendre son nom, ni même d’être nommée en sa présence. Pour moi, cela sonnait comme une double peine avec cette impression de salir mon nom en l’entendant prononcé au procès.

 

- Il y a dans votre livre le besoin de protéger votre nom, celui de votre père, de votre famille, pourquoi ?

Parle tout bas n’est pas mon premier roman et c’est assez curieux comme on m’a fait sentir que j’usurpais mon nom quand j’ai commencé à publier des livres. On m’a suggéré de prendre un pseudonyme, on m’a assuré que je ne pourrais jamais me faire un prénom. A quel moment et sous quelle identité doit-on se cacher pour être soi-même ? Dans ma famille, ce nom est important, il raconte l’histoire d’adoption de mon père, c’est un nom transmis, reçu, respecté, et je ressens une gratitude vis-à-vis de ce nom auquel je ne veux accoler que de belles choses.

 

- Que signifie pour vous le statut de victime ?
Il est indispensable pour mesurer la gravité du préjudice subi vis à vis de soi-même, mais aussi pour que l’entourage proche et la société en prenne toute la mesure. La reconnaissance de ce statut est fondamentale et devrait être inaliénable. Mais avoir le statut de victime et s’éprouver soi même comme une victime sont pour moi deux choses distinctes. J’ai ressenti personnellement la nécessité de m’affranchir de cet état après en avoir exploré les contours. C’est très important de s’éprouver soi-même comme victime. C’est tout aussi essentiel de pouvoir en sortir.

 

- Comment cela s’est-il passé pour vous ?

J’ai eu le sentiment qu’on m’en empêchait, qu’on me maintenait involontairement dans cet état. N’étant pas dans la dramatisation permanente de ce qui m’était arrivé, mon entourage pensait que ce n’était finalement pas si grave. Plusieurs fois j’ai entendu cette expression : « plus de peur que de mal ». Il aurait fallu je crois que j’exprime quelque-chose de l’ordre de la dépression, de l’abattement pour qu’on saisisse vraiment ce qui m’arrive. Mais c’est de cela dont je cherchais précisément à sortir ! Je ne peux pas en vouloir à mes proches, c’est aussi une façon pour eux de se préserver. Du côté de la justice, j’ai vécu les mêmes maladresses : on nous parle comme à des petites choses fragiles. Je me suis souvent sentie infantilisée, comme si le fait d’avoir été victime m’avait fait perdre mes capacités cérébrales.

 

- Dans Parle tout bas, vous dites « Je lui ai refilé ma honte », comme si vous étiez parvenue à vous éviter le poids de la honte. Est-ce le cas ?

En tout cas je l’ai écrit. Je n’ai jamais la même réponse à cette question car je ne suis pas sûre de pouvoir y répondre de façon tranchée et définitive. J’aimerais dire que oui, que j’en suis débarrassée pour de bon. Mais le viol est un crime et un crime « honteux », peut-être le plus honteux de tous les crimes. Cette honte-là reste, elle est poisseuse. La culpabilité aussi.

Dans cette rentrée, je suis combattive, je défends mon livre, j’en parle avec conviction, mais parfois un vertige me saisit : comment ai-je pu révéler cette partie de mon passé ? Maintenant, tout le monde sait. La honte c’est le regard de l’autre qui déshabille. Je me suis beaucoup interrogée sur la façon de parler de cette histoire que je voulais sans pathos, mais sans mettre le sujet et les émotions trop à distance non plus.

 

- En quoi Parle tout bas est-il un roman d’émancipation, d’affranchissement ?

Je voulais m’affranchir de l’identité de « victime » à laquelle je me suis sentie assignée. C’est pourquoi j’ai voulu explorer la complexité des sentiments et les états contradictoires qui nous traversent dans pareille situation. Peut-être aussi car je voulais inspirer avec ce livre l’admiration plutôt que la pitié qui m’a souvent encombrée. Je voulais retrouver une forme de dignité à mes yeux, aux yeux des autres.

Je voulais aussi montrer qu’on pouvait se « réparer » psychologiquement autrement que par la justice. Je n’ai pas toujours très bien vécu non plus cette injonction de « réparation » judiciaire. On me disait qu’un procès aurait pour vertu de me « réparer ». Et dans le même temps, j’entendais qu’il y avait très peu de probabilités que mon affaire soit jugée aux assises, que le coupable soit retrouvé et condamné. On sait que la justice ne traite que des cas résiduels tandis qu’il y a un nombre incalculable de viols jamais élucidés. Faut-il ne compter que sur la justice ? Que dire à tous ceux qui n’ont jamais de procès : qu’ils ne pourront jamais être réparés ? Il faut faire attention aux mots qu’on emploie.

 

- Quelle a été votre réaction dans cette situation ?
Je me suis mise à distance de la procédure, car les chances d’une issue favorable étaient très minces. Je crois qu’il ne faut pas dire aux victimes d’attendre le procès et la condamnation pour se libérer. Cela fige les gens dans une attente dangereuse car très longue et souvent déçue. Il aurait fallu que j’attende 17 ans – la durée totale de toute la procédure pour moi - pour aller mieux ? Que signifie cette phrase que j’ai entendue des dizaines de fois ?

Je me suis souvent sentie en décalage dans tout ce processus, et souvent incomprise car je ne correspondais pas à certaines représentations qu’on se fait d’une victime. Un viol, on pense que c’est la même chose pour tous avec des canons, une sorte de feuille de route. Comme si toutes les victimes étaient les mêmes, qu’elles perdaient leur singularité. Cela part souvent de bonnes intentions, parce qu’on ne sait pas comment réagir face à celles et ceux qui ont traversé ça, et les gens prennent mille précautions, ce que je comprends. Mais chaque histoire est différente. Personnellement, je préfère à l’apitoiement, la reconnaissance du courage et l’admiration. Mais c’est un chemin personnel et unique pour chacun d’entre nous. D’autres vous diront exactement le contraire et il n’y a pas de jugement à avoir ! C’est justement cela qu’il ne faut pas perdre de vue pour éviter les amalgames.

 

- Comment avez-vous réussi à « en sortir » ?

Il faut d’abord faire face à ce paradoxe qu’au moment du viol, j’ai intensément, viscéralement lutté pour ma survie. Mais quand il m’a laissée, c’était comme si ma vie n’avait plus d’importance. Il y a d’abord un premier constat : on ne peut plus vivre comme avant. Faire les mêmes choses. Le premier défi a été de trouver une forme d’indulgence envers moi et d’accepter mes nouvelles limites. Puis, petit à petit, quand on se sent prêt, chercher à les dépasser…et ne surtout pas trop attendre de soi. J’ai eu bien sûr la tentation de rester dans mon chagrin. On doit affronter et dépasser un conflit de loyauté vis-à-vis de soi-même, car on peut avoir l’impression de se trahir en allant mieux. On a envie de rester dans l’expression de sa douleur et dans l’expression du deuil. Car il s’agit de cela : la mort de quelque-chose de soi dans un viol. Je ne voulais pas trahir cette jeune fille que j’étais, mais au nom d’elle, je me devais de vivre, d’aller de l’avant, d’aller bien. J’aurais rêvé d’entendre à 19 ans que j’avais le droit de m’en sortir et que ce n’était pas parce que je m’en sortais que ce qui m’est arrivé n’était pas grave.

Chacun trouve ses propres remèdes. Pour moi, cela a été en premier lieu, de faire de la musique, jouer du piano. A l’époque ma mémoire flanchait, mon esprit ne pouvait rien fixer, comme si mon cerveau était un hall de gare plein de courants d’air, que les trains partaient mais moi je restais à rester à quai. La musique seule me permettait de me concentrer et je m’y suis plongée à corps perdu, pour tenir debout. C’est au fond très mécanique, d’essayer de rester en vie : passer de l’horizontale à la verticale, se lever le matin, se remettre en route, aller en cours même si je n’écoutais rien, imiter celle que j’étais en retrouvant ma trace dans la géographie de la ville.

 

- Il y aura-t-il un avant et un après à ce livre ?

Un après, c’est sûr. C’est mon 4e roman, je n’ai écrit que des livres intimes en tournant autour de celui-là. Maintenant qu’il est écrit, je me sens délivrée de quelque-chose. Ce secret qui m’a pesé pendant 15 ans, je n’en avais presque jamais reparlé en dehors de la sphère judiciaire. J’étais révoltée contre l’idée que tout le monde pensait que c’était facile, que si j’allais bien, c’était sûrement parce que je n’avais pas souffert. Maintenant je sens que je peux passer à autre chose, dans ma vie et dans l’écriture. Le livre m’a délivrée, plus que le procès qui est aussi un soulagement, bien sûr. La condamnation à 20 ans de prison est importante, mais la reconnaissance de ma douleur, de l’atrocité de ce qu’il m’a fait l’est peut-être davantage. Mais avant tout, j’ai écrit Parle tout bas comme un livre, non pas sur le viol mais sur la vie.

Propos recueillis par Karine Papillaud

 

On aime, on vous fait gagner Parle tout bas, d'Elsa Fottorino

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Bravo aux gagnants ! Vous recevrez le livre dans les prochains jours :

Regine Zephirine ; Laetitia Gand ; Galirad ; Ephrem Jules-Maryl ; Hayatte ; Dominique Sudre ; Pierre ; Carole SERRES ; armelle leroy ; Alexandra Olivier

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Commentaires (76)

  • danielle Cubertafon le 03/02/2022 à 18h19

    Quel courage pour cette femme et ses atrocités qu'elle a vécu en plus en face de son agresseur un livre poignant à decouvir un sujet à decouvir avec plaisir

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  • christine levillain le 07/01/2022 à 21h23

    terrible expérience et c'est beau de pouvoir en faire un livre, sans doute une bonne thérapie....

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  • Djelae le 07/01/2022 à 08h15

    Je tente ma chance rien que pour découvrir cette plume délicate et ce sujet difficile.

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  • Zabouille le 03/01/2022 à 19h11

    Bonsoir, tout d'abord mes meilleurs voeux pour cette nouvelle année à toute l'équipe. Je serai plus que ravie de découvrir ce livre, je suis une passionnée de cette thématique. Merci pour ce concours et bonne continuation ;-)

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  • Hayatte le 02/01/2022 à 22h01

    L'expérience personnelle et la leçon de vie d'Elsa Fottorino m'interpellent tout particulièrement !

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  • Pierre le 02/01/2022 à 20h41

    En tant qu'homme on se sent petit face ce type de témoignage, on prends en pleine face cette nouvelle force qu'ont dorénavant les femmes face aux violences subies, Que des générations d'entre elles soient restées dans un silence de convenance face à la domination masculine. Ce témoignage est d'autant plus fort de son plein d'humanisme, une belle résistance silencieuse donnant une puissance au récit. Nous portons en tant qu'homme la honte de tous ces autres mais nous devons accepter d'en être les héritiers pour que les générations suivantes aient la force de renier de tels comportements abjects.

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  • Lully le 02/01/2022 à 13h41

    Je souhaiterai participer car ce parcours de vie permet de nourrir les échanges avec des personnes ayant vécu des choses similaires

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  • Regine Zephirine le 01/01/2022 à 17h10

    Je suis touchée par la dignité, la sincérité qui émanent de cet interview. Bravo! Et, bien sûr, j'ai très envie de lire ce témoignage bouleversant d'une femme courageuse qui dit ne pas vouloir tomber dans l’apitoiement. Courageuse et digne, voilà comment elle m'apparait ( et je pense à Camille Kouchner qui a eu aussi ce courage de parler)
    "le viol est un crime et un crime honteux" nous dit Elsa Fottorino et pour avoir écrit son histoire et libéré la parole, qu'elle en soit remerciée.

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  • Carole SERRES le 01/01/2022 à 07h15

    Bonjour,
    Ce qui me donne envie de lire ce livre c'est la résilience et la force que cette femme a eu pour se trouver confrontée à son agresseur des années après alors qu'elle avait reconstruit sa vie. Pas simple du tout de replonger dans l'horreur
    Merci !

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  • armelle leroy le 31/12/2021 à 18h29

    Quelle richesse doit être la lecture de ce témoignage de part les thèmes abordés :
    résilience , rage de vivre mais aussi les rouages de la Justice qui semblent être parfois si lourds , si complexes , si durs à supporter pour la victime .

    Bonne fin d'année à tous !

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  • Laetitia Gand le 31/12/2021 à 14h08

    nul besoin de dire que ce roman me plairait, déjà je suis une femme, cela me touche mais dans ma famille, on sait la violence faite aux femmes, ma soeur a subi et subi encore de son ex compagnon, j'ai une cousine qui a été tuée par son mari et une qui a vécu l'enfer dès la naissance de son premier enfant. "Parle tout bas" est un roman qui me parle déjà et qui semble murmurer les non dits que l'on voudrait crier, je tente pour le concours et le met déjà dans ma PAL. Merci pour le concours et joyeuses fêtes à tous !!

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  • Samuel DA SILVA le 31/12/2021 à 13h44

    Merci beaucoup pour ce concours, je participe avec plaisir

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  • Marie Kirzy le 31/12/2021 à 12h58

    Bonjour,
    Merci beaucoup, notamment à Karine Papillaud qui a su mener avec délicatesse cette interview. J’ai particulièrement été touchée par le passage où Elsa Fottorino explique comment elle a pu s’en sortir. On sent toute sa force et sa sensibilité à travers les mots dignes et pudiques qu’elle nous offre.
    Très bonne fin d’année

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  • diamanta0801 le 31/12/2021 à 09h00

    Bonjour, ce qui me donne envie de le lire, c'est tout simplement que je la trouve forte et que j'ai moi-même vécu la même chose malheureusement et c'est vrai que dans notre société, beaucoup le vivent et peu s'ouvrent et se confient... J'ai déjà mal d'avance de lire un tel témoignage... Mais je pense que parfois, les mots apaisent les maux et que les témoignages peuvent aider donc, pourquoi pas ! Merci & bon réveillon !

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  • Alexandra Olivier le 30/12/2021 à 19h36

    Bonjour, ce livre montre que malgré la douleur, et les horreurs vécues, nous pouvons rebondir grâce a notre force de caractère et notre courage. Merci a l'auteure pour cette leçon de vie

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  • Galirad le 30/12/2021 à 18h23

    Pourquoi ce livre ?
    Pour plusieurs raisons.
    L'angle de vue choisi par Elsa Fottorino pour évoquer cet acte qui la meurtrie profondément est inhabituel. Il intrigue et invite à l'exploration.
    La sincérité qui se dégage de l'échange qu'elle a eu avec Karine P. est particulièrement touchant notamment quand elle dit " j’ai écrit une lettre. L’avocat de la défense a signalé des divergences concernant un détail avec ma version d’origine. On oublie énormément de choses."
    Elsa ne cherche pas d'excuse sur ses oublis. Elle explique simplement ce qui, au cours de ces quinze années, a été détruit, reconstruit, modifié, tout en s’autorisant à témoigner.
    L'interview donne une autre dimension au roman et accroit l'envie de s'y plonger pour saisir finement tous les cheminements amenant à cette rédemption.

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  • Jean-Yves Roussel le 30/12/2021 à 16h24

    C'est un témoignage poignant . Si l'auteure est aussi talentueuse en écriture que sonhomonymeset peut-être parent Eric Fottorino c'est un bon livre

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  • JOCELYNE DONZEL le 30/12/2021 à 16h11

    Bonsoir,

    Je participe avec grand plaisir car ce livre est une leçon de courage, une résilience que seules les victimes peuvent comprendre... Merci pour ce concours & bon bout d'an !

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  • yaouancq le 30/12/2021 à 13h43

    Bonjour,
    J'aime le thème de ce livre et la possibilité de découvrir cet auteur.
    Merci

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  • sylvie MOYERE le 30/12/2021 à 11h24

    En fait cela traite d'un sujet actuel qui est particulièrement douloureux pour les victimes. Ce n'est pas du voyeurisme, j'ai envie de savoir comment la justice s'y prend pour juger ce genre d'affaire. Merci pour le jeu et bonne journée.

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  • Domi Mots le 30/12/2021 à 10h31

    Waouh ! S'il y a un livre que je veux bien recevoir, c'est celui-là !
    A priori, les sujets de réflexion sont riches et nombreux dans ce roman autobiographique : la résilience, la force de la vie, le rôle de la mémoire, le statut de victime, l'importance des proches qui dramatisent ou minorent l'agression selon les mots utilisés et entendus, le courage et la sincérité.
    Une vraie leçon de vie.

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  • Dominique Sudre le 30/12/2021 à 10h02

    un sujet fort, une fois de plus, intriguée et tentée par cette lecture bien évidement !

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  • Amelielit le 30/12/2021 à 09h03

    Je participe pour tenter de gagner ce témoignage car il constitue une force pour toutes les femmes victimes d'agression. Il est temps que les mœurs évoluent.
    Ce qui m interpelle dans l'interview c'est ce que raconte l'auteur sur le fait que paradoxalement connaître l'identité de son agresseur l'"humanisait".
    J'ai le sentiment que ce récit est poignant.

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  • GigiFP le 30/12/2021 à 08h25

    Merci lecteurs.com de me faire découvrir Elsa Fottorino.
    Non, ce n'est pas le récit d'un viol mais de l'Après, d'une possible reconstruction malgré le saccage du corps et de l'âme et d'être heureuse.
    Ce sera très instructif de lire l'auteure dans le récit de l'après : la réaction de l'entourage "plus de peur que de mal", la justice, le procès, le chemin parcouru par l'auteure, son ressenti et comment elle s'en est sortie face à cette épreuve. Aller de l'avant, pas à pas, et en sortir vainqueur. Voilà un bel exemple de courage pour nous autres les Femmes.

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  • Alonzo le 29/12/2021 à 22h22

    Bonjour.
    S'il vous plait, je souhaite participer.
    Merci.

    Intéressant de lire ,avec pudeur, les horreurs vécues

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  • BERGAMOTELOVEBOOK le 29/12/2021 à 22h17

    Je suis enseignante et je suis référente égalité filles garçons dans mon établissement. Pour cela je mets en place diverses actions et informe le plus possible élèves familles collègues sur les nouveautés littéraires, cinématographiques, musicales qui peuvent traiter du sujet.
    A ce titre, mais aussi personnellement je suis très intéressé par ce livre. Je m'interroge sur la façon dont une femme peut se reconstruire après avoir subi un tel traumatisme et peut être que cette lecture pourra m'aider dans mon cadre professionnel

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  • Michel Gardin le 29/12/2021 à 19h25

    Ancien officier de police judiciaire en gendarmerie, j'ai été amené à enquêter sur de tels affaires au cours de ma carrière et je suis effaré en lisant cet interview que 14 ans après les faits, l'avocat de la défense en cours d'assises, ergote sur des détails,des divergences concernant avec sa version d’origine alors que le coupable a tout reconnu. Comment ne pas s'interroger sur la notion de justice lorsque l'on lit de tels propos. Pourquoi je souhaite lire ce livre ? Tout d'abord pour rencontrer Elsa Fottorino, cette femme combattive, qui révélant cette partie de son passé, comme dans le livre Familia Grande de Camille Kouchner que je viens de lire, montre que malgré ce terrible traumatisme, sa vie de femme a repris le dessus et j'en suis heureux. Pour celébrer cette force, cette résilience qu'elle a et qui transparait lorsque je lis son interview . Cette force et cette résilience que j'ai découvert également chez Camille Kouchner. BIen à vous.

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  • P'tite Baf le 29/12/2021 à 19h25

    Très intéressée par cet écrit, l’idée de se réparer autrement qu’en faisant appel à la justice retient mon attention car, dans ces cas là la justice abîme parfois plus qu’elle ne répare...un récit sans doute abrupt à lire...mais combien instructif et porteur d’empathie...

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  • Corinne Verry le 29/12/2021 à 18h43

    Dire l'intime, c'est la grande qualité d'Elsa Fottorino. Sortir de son statut de victime. Résilience, émancipation... Autant de mots qui expriment ce que ce livre, j'en suis sûre, doit avoir de juste et de fort. Et puis cette phrase a fait tilt : "Chacun trouve ses propres remèdes. Pour moi, cela a été en premier lieu, de faire de la musique, jouer du piano". Moi qui suis musicienne, je sais combien la musique peu nous faire nous réconcilier avec nous-mêmes. Je suis impatiente de lire ce livre !

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  • Matatoune le 28/12/2021 à 07h14

    J'avoue avoir lu en diagonale cette ITW. ( Pour ne pas être trop imprégnée des réflexions de l'écrivaine avant la découverte de son texte, si j'ai cette chance) Mais, ce que j'en ai retenu sont les réflexions sur le passage du statut de victime à celui de celle qui réinvente sa vie, certes qui ne sera jamais la même que celle d'avant , mais qui prendra en charge le traumatisme pour reconquérir sa liberté . Alors, oui, je postule pour ce concours et ai hâte d'en avoir le résultat !
    En attendant très belle fête de fin d'année a l'équipe de Lecteurs.com et à la communauté !

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  • unebalancoirepourlesetoiles le 26/12/2021 à 21h16

    L'auteure a réussi à transformer cet atroce traumatisme en une force incroyable. J'ai très envie de découvrir ce livre.

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  • MLC le 26/12/2021 à 09h10

    Tout simplement parce que j'aime beaucoup les livres précédents de cette auteure! Je participe donc volontiers!

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  • knapbis le 25/12/2021 à 19h29

    J'ai envie de découvrir ce témoignage tristement réel.

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  • ziggy le 25/12/2021 à 11h16

    Bonjour à toutes et à tous,
    Je postule pour gagner ce livre dont le sujet m'interpelle. J'avoue ne pas connaître Elsa Fottorino , je ne l'ai jamais lu .Le drame qu'elle a vécu a radicalement transformé sa vie, son regard sur la vie. Comment pourrait-il en être autrement ?
    En lisant son interview, je me dis que ce qui lui est arrivé ,son expérience de la justice , ses réflexions sur le statut de victime , sur les réactions et le rôle de l'entourage familial, mais aussi sa capacité à relever la tête et à revendiquer son droit au bonheur peuvent aider d'autres femmes ,victimes de la sauvagerie et de la barbarie de certains "hommes" indignes de porter ce nom, à relever la tête et à ne plus culpabiliser. Ce livre peut également, je pense, aider les familles des victimes à les comprendre et les soutenir plutôt qu'à se voiler la face ou à minimiser ce qui a eu lieu.
    Un livre qui, d'après cette interview, et malgré le sujet douloureux ,peut apporter de l'espoir et de la lumière, éveille ma curiosté.

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  • Morgane Maelou le 23/12/2021 à 23h37

    Bonjour je souhaite avoir le bonheur de lire cette effroyable histoire pour ressentir à chaque page la lumière qui émane de son auteure. Merci pour ce concours
    Cordialement
    Morgane

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  • DELPHINEPALISSOT le 22/12/2021 à 23h37

    Parce que je pense faire partie fine génération qui a été capable de lever le voile sur des secrets qu'on n'osait pas révéler avant. Que vivre avec ce trauma la laisse des traces même dans une nouvelle vie et que l'approche d Elsa Fottorino semble donner un nouvel angle pour la société puisse réfléchir à ce tempo décalage qui nous rattrape dans nos vies d'après. J'aimerais entendre cette voix tout bas. Pour pouvoir être là si besoin...

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  • Cachou et ses curiosités le 22/12/2021 à 21h41

    C'est un sujet extrêmement intime. Comment ne pas être dans l'étalage, la colère ou encore le pathos face à une épreuve aussi injuste et insensée. En lisant cette interview, j'ai l'impression que l'on dépasse les choses, une forme de catharsis qui passe par l'écriture. Ça doit être un livre poignant.

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  • Manika le 22/12/2021 à 18h25

    Bonjour et merci pour ce concours .... ce qui m'interpelle dans cette interview et le jeu de la mémoire qui se déforme au fil du temps et recrée sa propre histoire. passionnant

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  • Mathilde81 le 21/12/2021 à 18h03

    Rien qu'à lire le résumé de ce roman je ne peux qu'admirer la force de caractère d'Elsa Fottorino
    qui met des mots sur ce drame qu'elle a vécu et je suis déjà prête à ouvrir ce livre.

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  • Groely le 21/12/2021 à 08h42

    Bonjour,

    Le résumé et l'interview de cette femme sont un véritable hymne. Le récit de son histoire , de son combat de sa reconstruction est l'histoire d'une femme nature, battante humaine. J'aimerais pouvoir lire son livre car je suis féministe dans l'âme. Je suis en admiration pour le courage de cette personne qui est capable de mettre des mots sur ses maux et de nous le faire partager.
    J'espère avoir la chance d'être sélectionné et de pouvoir lire ce livre durant les fêtes de Noël .
    Bonne fêtes de fin d'année à tous.

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  • Ephrem Jules-Maryl le 20/12/2021 à 22h14

    Les victimes de ces atrocités
    sont des étoiles qui gravitent
    loin du soleil

    Elles sont souvent oubliées,
    mais par la grâce
    des mots
    E.F réussit à redonner espoir...

    Gagner ce beau livre
    serait magnifique.

    Merci.

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  • Ephrem Jules-Maryl le 20/12/2021 à 22h09

    Les victimes de ces atrocités
    sont des étoiles
    qui gravitent loin du soleil.

    Elles sont souvent oubliées
    mais
    à la lumière des mots
    E.F arrive à redonner espoir

    Gagner ce livre
    serait une belle récompense
    à partager.

    Merci

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  • LAUDICINA Lydie le 20/12/2021 à 14h26

    Ce que je lis au travers de cet échange, c'est qu'il est possible même lorsque l'on a vécu le pire, le drame et la noirceure, de choisir la façon dont on souhaite y faire face. Il y a donc ce qui est, le viol et cette réalité contre laquelle on ne peut rien et ce que l'on veut faire de cette réalité, comment on vit malgré les conséquences. Qu'est ce que je fais de cette épreuve terrible ? L'auteure fait preuve d'une grande liberté et d'une grande force en choisissant de s'exprimer sans apitoiement, avec humilité, juste dans le témoignage et la transmission d'une blessure transcendée...Je souhaiterais vivement lire son livre.

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  • Cotentine le 19/12/2021 à 13h08

    Ce livre, témoignage poignant de son auteur, nous livre une telle force et un tel courage que j'aimerai le découvrir..

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  • Etincelle le 19/12/2021 à 08h40

    Ma 1ère réaction après lecture de cette interview : waouh quel courage !! Quelle force de caractère !! Cette jeune fille à l'époque du crime (car c'est bien de cela dont il s'agit) et cette femme aujourd'hui fait preuve d'une telle envie de vivre... et de se battre contre les idées et les émotions que la société française lie aux victimes de viols, mais aussi aux femmes battues ou à toutes et tous ayant vécu un drame... pour cela et pour l'écriture de ce livre elle ne peut qu'être admirée...
    Évidemment j'aimerais beaucoup découvrir celui-ci, merci Lecteurs.com de me donner cette opportunité.

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  • Noraline le 18/12/2021 à 11h21

    Bonjour,
    Je ne connais pas cette jeune femme, cette jeune auteur (je n'aime guère le mot autrice, sans avoir de raison pour l'expliquer). Mais la lecture de cette interview me donne envie de lire son livre et - égoïstement sans doute - de profiter de son expérience dans ces moments si difficiles de reconstruction d'un être abîmé.
    "On doit affronter et dépasser un conflit de loyauté vis-à-vis de soi-même" dit-elle. Que faire après la violence d'une agression ? Nier l'advenu, se replier sur soi ou au contraire se battre et continuer à vivre ?
    Merci à lecteurs .com de nous faire découvrir de telles lectures

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  • danielle Cubertafon le 17/12/2021 à 18h35

    Un livre fort , cruel , une histoire atroce ,vraiment à découvrir comment on peu en arriver jusque là, un calvaire pour cette jeune femme à découvrir la suite c est sûre

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  • parcequecmoi le 17/12/2021 à 17h29

    Elsa Fottorino, un nom qui nous parle, un prénom qui s’affirme. Merci pour cette interview magnifique de l’autrice qui relève presque de l’intime, c’est très émouvant. Après la lecture du très beau « le consentement » de Vanessa Springola début 2020, puis de celle du non moins intéressant « la familia grande » de Camille Krouchner début 2021, et du formidable « Celle que je suis » de Claire Norton, je suis impatiente de lire celui d’Elsa Fottorino qui leur fait écho. Surtout que c’est écrit sans pathos, mais tout de même avec des émotions qui ressortent. Ce livre, comme ceux de Springola ou Krouchner, est rédempteur et salvateur, c’est un livre non pas sur le viol, mais sur la vie. Sa façon de s’exprimer lors de cette interview nous montre qu’effectivement, elle s’en est sortie, elle peut mieux en parler. Le procès de son violeur 14 ans après les faits a été bénéfique, mais c’est surtout sa force, sa volonté, son devoir de rester en vie qui l’ont sauvé, et l’écriture de ce 4e livre. A lire dès que possible. Je participe pour le gagner, mais dans tous les cas, merci de me l’avoir fait découvrir via cette interview, il va très vite se placer sur le dessus de ma PAL.

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  • Gérard DESSAINT le 17/12/2021 à 15h35

    Bonjour,

    Je suis intéressé par ce livre car le témoignage sur la reconstruction de soi après avoir subi une telle infamie me concerne.
    Merci pour ce concours.
    Joyeux Noël à tous !

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  • ROUMANOFFBE le 17/12/2021 à 14h41

    C'est évident, pour moi, c'est un livre à lire!

    Les témoignages et les récits sont toujours intéressants à lire et l'esprit de résiliance peut être d'une force à vous faire gravir des montagnes, c'est ce qui fait que soit vous vous en sortez soit vous sombrez. Et j'ai beau en lire, c'est à chaque différent parce que la personne qui a vécu le drame est une autre et va donc le vivre selon ses propres perceptions mais en même temps, la similarité du drame reste. Ce sont des vies marquées, souillées qui doivent surmonter une étape que d'autres leur imposent.

    D'ailleurs, je vous conseille vivement le dernier film d'Attal avec Charlotte Gainsbourg : les choses humaines.

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  • CATHERINE MAHIEU SAUNIER le 17/12/2021 à 12h29

    Bonjour,
    Ce qui me donne envie de lire ce livre, c'est d'abord le sujet. En tant que femme, je ne peux qu'être d'autant plus touchée par un témoignage qui me livrerait toute la souffrance, tous les impacts que peut avoir un viol. J'aimerais pouvoir découvrir comment l'auteure a pu trouver la force, les ressources nécessaires à la résilience au travers des mots notamment. Un témoignage sans doute extrêmement poignant, que l'on se doit d'écouter. Merci.

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  • nane38 le 17/12/2021 à 11h55

    Bonjour, ce livre doit être poignant; mais nécessaire pour la reconstruction de la narratrice.D'ordinaire je n'aime pas trop lire de tels récits car cela me replonge dans de mauvais souvenirs, mais au delà du sordide , je suis dans l'admiration , pour le courage de cette femme qui a su mettre des mots (et de très belles phrases apparemment) sur ce drame et en sortir grandie .Bravo Madame.

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  • ed7811 le 17/12/2021 à 11h29

    L'interview de l'auteur nous donne envie de lire son livre, 14 ans après son viol, on l'appelle pour le procès de son agresseur, tous ses souvenirs remontent cela doit etre une nouvelle épreuve à surmonter de se passé enfoui au fond d'elle. Bonne chance à tous

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  • michel steinmann le 17/12/2021 à 11h20

    l'auteure raconte sa jeunesse , quel plaisir de voyager dans le temps au travers de son histoire
    Je suis curieux de lire beaucoup plus que le résumé de ce livre

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  • Camille MONDOLONI le 17/12/2021 à 10h55

    L'autrice fait preuve de beaucoup de courage pour évoquer ce douloureux, traumatisant évènement de sa jeunesse. La parole se libère, mais elle est aussi désormais écoutée, entendue, prise en considération. Ce thème me touche énormément, et j'aimerai découvrir ce roman.

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  • Eny-Dane le 17/12/2021 à 10h32

    Très intéressée par ce sujet, j'ai lu tous les livres sortis ces dernières années traitant de ce thème. Je serais heureuse de le lire et d'en parler. Très sensibilisée par ce parcours de femme, j'ai hâte de pouvoir tenir ce livre entre les mains ! Merci pour cet article instructif et fin !

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  • catherine a le 17/12/2021 à 10h08

    Bonjour, "C’est pour moi un livre d’émancipation." pour cette phrase dans cet entretien et tenter de lire un texte si personnel sans que cela soit du voyeurisme.

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  • Anne Vacquant le 17/12/2021 à 09h56

    Comment "passer à autre chose" ,"plus que le procès qui est aussi un soulagement" ,c'est "la reconnaissance de la douleur" qui fait passer à l'écriture de la vie, comme une délivrance, qui est essentiel et qui m'intéresse.

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  • Fanchounette le 17/12/2021 à 00h29

    Le sujet m'est familier et lire ce type de témoignage ne peut qu'aider à avancer. J'aimerais découvrir son raisonnement et toucher du bout des doigts au travers ses pages d'écriture la force dont elle a fait preuve pour poursuivre sa route.
    Parce qu'écrire ou parler est une thérapie et que lire en est une autre, je souhaiterais gagner ce livre pour continuer de me convaincre que nous n'y sommes pour rien. Merci

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  • Marie Helene le 16/12/2021 à 21h32

    pudeur,courage, humilité, c est une parole loin des textes de type Christine Angot , j aimerais bien decouvrir son ecriture

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  • toubi le 16/12/2021 à 21h17

    Comprendre la victime, la femme à travers l'auteure

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  • Souris78 le 16/12/2021 à 21h15

    Bonsoir, je participe également, le personnage est attirant et le sujet fort et poignant pour différents motifs ! Cela me tente de le découvrir !! .

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  • Mimi9 le 16/12/2021 à 20h53

    L'interview de cette auteure m'a touchée, j'aimerai vraiment la découvrir à travers son écriture.

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  • Ghislaine Degache le 16/12/2021 à 20h51

    Cette phrase d'Elsa Fottorino : "Je voulais aussi montrer qu’on pouvait se « réparer » psychologiquement autrement que par la justice" m'incite beaucoup à découvrir ce livre !
    Je tente donc ma chance...

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  • LOLOFRITE le 16/12/2021 à 20h15

    Ce livre semble poignant et touchant je participe et veut connaître par la même occasion cette auteure je croise les doigts pour lire ce livre

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  • dominique petrone le 16/12/2021 à 19h42

    Un livre qui a l'air poignant je tente ma chance afin de découvrir tout le courage de l'auteure
    merci pour ce concours

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  • corinne laurens le 16/12/2021 à 19h10

    Bonjour, je tente ma chance pour ce concours. L'histoire semble envoutante et pleine de courage. Merci

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  • Flo Chavy le 16/12/2021 à 18h56

    Le courage et la force dont a dû faire preuve l’auteure pour raconter son histoire me donnent vraiment envie de lire ce livre. Merci lecteurs.com pour ce concours.

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  • Catherine delaplanche le 16/12/2021 à 18h31

    Faire de la douleur une force, de l horreur vécue une "source" et une ressource de vie donne très envie d aller au delà de cette interview...

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  • Anita Millot le 16/12/2021 à 18h13

    Bonsoir : ce livre semble terriblement touchant : suis très intéressée à le découvrir !
    Merci pour cette proposition de concours
    Belle soirée !

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  • Kryan le 13/12/2021 à 19h50

    Cette terrible histoire personnelle a donné naissance à un magnifique livre que j'aimerais lire. Je pense que je serai sensible aux mots forts, émouvants et courageux de cette auteure.
    Un livre intime et révolté et qui va vers la vie.

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  • Adrielle le 11/12/2021 à 22h24

    Que de courage pour rebondir après cette double peine le viol et la « pseudo justice » qui déshumanise la victime et ne fait preuve d’aucune empathie pour elle.
    Quel instinct de survie pour surmonter tous ces obstacles et pour se réparer et se reconstruire.
    Merci à cette autrice de partager son expérience, ses solutions à elle qui peuvent aider d’autres personnes et sa volonté de vivre et de trouver la vie suffisamment belle pour se battre et continuer.
    La présentation de cet ouvrage me donne envie de lire cet ouvrage

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  • Passeuredelivres le 11/12/2021 à 18h20

    Je suis curieuse de pouvoir lire un récit réel qui semble transformer la violence, la noirceur des hommes en un hymne à la vie, la capacité de l'auteure à décider de la vie . Je croise les doigts pour découvrir cet ouvrage.

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  • Pilly le 11/12/2021 à 18h16

    A lecture de cette interview, j'ai déjà pris une belle leçon de vie. J'imagine que le livre sera tout aussi fort, voire encore plus.

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  • Mimosa le 10/12/2021 à 13h09

    "passer de l'horizontal à la verticale";chaque matin est une victoire...Intéressant de lire ,avec pudeur,les horreurs vécues !s'intéresser à l'aveuglement pinailleur de la justice...La mémoire qui réécrit:tant de thèmes abordés.Un livre et une autrice qui,avant même la 1ère page vous accroche!Merci pour ce concours...

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  • Sophie Wag le 09/12/2021 à 20h45

    Quelle force de caractère il faut pour sublimer la douleur! Une auteure courageuse que j'aimerais découvrir car sa catharcis m'intéresse. Merci pour ce concours!

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