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Une éducation catholique

Couverture du livre « Une éducation catholique » de Catherine Cusset aux éditions Gallimard
  • Date de parution :
  • Editeur : Gallimard
  • EAN : 9782070146420
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

«"Remarque, je la comprends. C'est plus amusant de lire un roman que d'aller à la messe." Papa, furieux, se retourne contre maman et l'accuse de saper les fondements de ma foi. Elle rétorque qu'elle n'a rien dit de mal, que de toute façon chacun est libre de penser comme il veut, et que je suis... Voir plus

«"Remarque, je la comprends. C'est plus amusant de lire un roman que d'aller à la messe." Papa, furieux, se retourne contre maman et l'accuse de saper les fondements de ma foi. Elle rétorque qu'elle n'a rien dit de mal, que de toute façon chacun est libre de penser comme il veut, et que je suis bien capable de juger par moi-même ce qui, de la lecture d'un roman ou de la messe, est le plus amusant.
"Elle n'a qu'à rester à la maison! hurle papa. Puisque c'est comme ça, j'irai seul!" Vite je ferme mon livre, je me lève, je mets mon manteau, je suis papa.» Marie, la narratrice de La haine de la famille et d'Un brillant avenir, raconte ici les rapports qu'elle a entretenus avec la religion au cours de son enfance et de sa jeunesse, entre un père croyant et une mère athée. Elle évoque la naissance du désir à travers des passions successives, et la découverte de l'amour, vécu d'abord comme une crucifixion, puis comme une rédemption.

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Avis (9)

  • Pourtant ce roman avait fort bien commencé, l'ambiance de l'époque était bien rendue, l'écriture alerte ...Puis la seconde moitié s'est révélée n'être qu'une succession narrative d'amourettes sans interêt...à tomber des mains... dommage

    Pourtant ce roman avait fort bien commencé, l'ambiance de l'époque était bien rendue, l'écriture alerte ...Puis la seconde moitié s'est révélée n'être qu'une succession narrative d'amourettes sans interêt...à tomber des mains... dommage

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  • Catéchisme, confession, Marie, la narratrice, comme dans Un brillant avenir, raconte, s’attachant cette fois à l’enfance et à l’adolescence, à cette éducation catholique imposée par son père alors que sa mère est athée.

    Dès la première page, le ton est donné. Elle a beaucoup de mal à dire «...
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    Catéchisme, confession, Marie, la narratrice, comme dans Un brillant avenir, raconte, s’attachant cette fois à l’enfance et à l’adolescence, à cette éducation catholique imposée par son père alors que sa mère est athée.

    Dès la première page, le ton est donné. Elle a beaucoup de mal à dire « mon père » à l’aumônier qu’elle croise : « Ces mots, associés à la longue robe noire qu’il portait, avaient quelque chose d’intime et d’obscène comme un sexe aperçu à travers une braguette entrouverte par inadvertance. »
    Elle est très croyante mais, influencée par son amie, Nathalie, elle vole dans le supermarché. Arrive la confession et elle lâche un petit larcin : « Un crayon, quand il s’agit de trousses entières. Le ciel ne s’est pas effondré… De sa voix douce, il me demande de réciter dix fois le Notre Père, et m’absout. Je sors du confessionnal, infiniment soulagée et fière. »
    Marie s’oppose à sa sœur qui a trois ans et demi de plus : « Elle est courageuse, dégourdie, hardie. Je suis une trouillarde. » Quand sa mère la soutient alors qu’elle préfère lire un roman plutôt que d’aller à la messe, « le mal est fait… le Dieu de papa, le Dieu de mon enfance, ce jour-là a perdu sa grandeur… J’ai compris, ce jour-là, que le croyant avait besoin de la protection d’un dieu parce qu’il était fragile.»
    Ximena dont la mère est grecque et le père chilien, arrive dans sa vie et « n’a aucune religion, aucune éducation religieuse. » Avec cette nouvelle amie, elle découvre l’amour, le plaisir : « Je l’aime d’un amour passionné, brûlant, comme je n’ai jamais aimé personne. » De 13 à 17 ans, elles sont indissociables : « la brune et la blonde, le démon et l’ange… son amour est lucide, tendu et sévère. »
    Les études, les amours s’enchaînent. Ximena est toujours là malgré les jalousies. D’un sentiment à l’autre, d’une passion à une autre, l’âge adulte s’installe et Marie se demande toujours : « Qu’est-ce que l’amour ? »
    Avec Samuel, enfin, elle constate : « On ne pouvait vivre et aimer qu’en étant débarrassé de la peur – la peur d’être seul, la peur de vivre, la peur de faire du mal à l’autre, la culpabilité. Cette peur que j’appelle Dieu. » C’est sûrement cela qui reste d’une éducation catholique.

    Chronique à illustrée à retrouver sur : http://notre-jardin-des-livres.over-blog.com/

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  • lu par Elysabeth

    Petite, la narratrice, a suivi une éducation religieuse, encouragée par son père alors que sa mère, hâtée, pense qu’il est plus amusant de lire un roman plutôt que d’aller à la messe.
    Elle découvre l’amour avec une camarade de classe, puis tombe amoureuse d’une prof. Mais,...
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    lu par Elysabeth

    Petite, la narratrice, a suivi une éducation religieuse, encouragée par son père alors que sa mère, hâtée, pense qu’il est plus amusant de lire un roman plutôt que d’aller à la messe.
    Elle découvre l’amour avec une camarade de classe, puis tombe amoureuse d’une prof. Mais, sa personnalité l’éloigne des autres. Son narcissisme, son égoïsme, sont autant de remparts contre l’ouverture aux autres.
    Mais un jour, un « tu aurais besoin d’être seule » dit par un amant, la fera s’ouvrir à la vie. Ne plus avoir peur de vivre, ne plus avoir peur de faire du mal et ne plus avoir peur d’être seule.

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  • On retrouve avec cette "Education Catholique" la Catherine Cusset de "Radine" et de la "Haine de la famille", c'est à dire l'aile de sa bibliographie dans laquelle elle s'investit totalement, se met à nue et plus encore. On aime ou pas mais force est de constater que Catherine Cusset ne se cache...
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    On retrouve avec cette "Education Catholique" la Catherine Cusset de "Radine" et de la "Haine de la famille", c'est à dire l'aile de sa bibliographie dans laquelle elle s'investit totalement, se met à nue et plus encore. On aime ou pas mais force est de constater que Catherine Cusset ne se cache jamais derrière des métaphores ou des sous-entendus. C'est une littérature "pleins phares», roman d'initiation de l'adolescence à l'âge adulte, également roman d'abandon puisqu'il s'agit bien aussi d'un roman sur la foi.
    Mais là où Emmanuel Carrère en cette même rentrée littéraire nous compte une révélation, une rencontre avec la grâce à l'âge adulte, Catherine Cusset nous parle elle d'Education, de catéchisme, du fait de naître et grandir dans l'amour du Christ, expérience révélatrice d'une personnalité à venir avec toutes les difficultés que cette éducation va engendrer.
    Telle une fulgurance sur le thème, le roman se lit pratiquement d'une seule traite car il est difficile d'abandonner Marie (Catherine) sur ce parcours moral chaotique, douloureux et tout autant passionnant. Le style brillantissime de l'auteur nous emporte, comme d'habitude, ébahis que nous sommes devant tant de lucidité, d'honnêteté et aussi peu de vanité qui selon le personnage lui-même, est "le vide de l'âme".

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  • A la lecture de la quatrième de couverture, je pensais que le sujet du catholicisme était abordé sur un air léger. Arrivée dans le livre on en parle bien, juste dans la première partie. Dans la seconde, les thèmes différes. Effectivement, il y est plus questions des histoires de fesses de Marie...
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    A la lecture de la quatrième de couverture, je pensais que le sujet du catholicisme était abordé sur un air léger. Arrivée dans le livre on en parle bien, juste dans la première partie. Dans la seconde, les thèmes différes. Effectivement, il y est plus questions des histoires de fesses de Marie et plus du tout de sa relation avec la religion. Ce n'est pas un roman que je retiendrais, tant la deuxième partie m'a déplu.

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  • Avis à la page 50 pour ce court roman
    Marie la narratrice retrace son parcours et ses souvenirs de catéchisme et de messe. Pratique religieuse hebdomadaire pour se rapprocher de son père et foi sincère en Dieu sont décrites avec l'écriture fluide de Cartherine Cusset.
    La vie de famille et les...
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    Avis à la page 50 pour ce court roman
    Marie la narratrice retrace son parcours et ses souvenirs de catéchisme et de messe. Pratique religieuse hebdomadaire pour se rapprocher de son père et foi sincère en Dieu sont décrites avec l'écriture fluide de Cartherine Cusset.
    La vie de famille et les émotions de Marie sont présentées jusqu'à l'arrivée d'une nouvelle camarde de classe Ximena. Ces premières pages donnent envie de suivre le chemin de Marie

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    • Anne-Laure Vaucelle le 19/08/2014 à 12h10

      Dans ce court roman, Marie la narratrice nous retrace sa découverte de Dieu et ses émotions dans cette recherche spirituelle et sa foi individuelle. Son aversion pour l’hypocrisie de ces coreligionnaires et le reniement de sa foi émergent au fur et à mesure de son évolution.

      Adolescente, sa passion pour son amie Xiména évolue au détriment de sa foi en Dieu. Cette découverte du désir et la découverte de l’attirance physique est idéalisée, par Marie la romantique qui relate ses émois sur ses désirs charnels. Le récit se poursuit avec Marie devenue adolescente tiraillée entre sa fidélité exclusive à son amie Xiména et son attirance pour d’autres personnes. Cette dualité sera totalement assumée après une rupture majeure dans le récit qui lui font renié définitivement toute croyance en Dieu : la mort de son neveu nourrisson. Le traumatisme de Marie marque un tournant dans le récit et dans ses choix, Marie tombe dans la dépression et se relève grâce à son nouvel amour Guillaume. Cette rencontre physique et spirituelle lui permet de se découvrir et d’assumer complètement sa passion de la chaire avec la compréhension bienveillante bien malgrè lui de Guillaume. Cette libération du corps et du cœur permet à la narratrice de nous servir des théories sur le désir versus le sentiment amoureux. Cette dernière partie atteint son apothéose avec l’entrée en scène d’un nouveau protagoniste Allan. Là, la passion de Marie est tiraillée entre les deux hommes et cette dernière partie devient fastidieuse au rythme des « je t’ aime mais je te quitte ». Les atermoiements de Marie et ses hésitations sont relatées dans toujours un style léché et une écriture fluide qui sauve le roman et permet de poursuivre la lecture mais n’apporte plus beaucoup de consistance au récit.

      Ce court roman retrace une vision moderne des vicissitudes du cœur et des drames de vie qui bouleversent les croyances et qui permettent de comprendre l’évolution du personnage. Le côté égotique de la narratrice ne permet pas de remettre ces débats privés dans un contexte plus général. Cette vision intimiste d’un parcours d’une femme des années quatre-vingt entre Paris et New-York, et malgré une écriture et un style lisible et clair, ne permet pas d’atteindre la consistance d’un roman tel qu’un Brillant Avenir. Catherine Cusset nous avait permis de découvrir dans ses précédents romans des personnages attachants justement dans un Brillant Avenir, d’autres cultures avec Inidgo, de décrire des sentiments familiaux dans la Haine de la famille, là la lectrice fidèle que je suis, attendait une mise en perspective au-delà du regard intimiste.

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  • Le rendez-vous de la page 100 d'une exploratrice de la rentrée

    (page 59 pour un livre très court)

    Catherine Cusset, sur un mode autobiographique, se souvient ici de son enfance parisienne, coincée entre une mère athée, d'origine juive, un père catholique, et une grande soeur revancharde....
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    Le rendez-vous de la page 100 d'une exploratrice de la rentrée

    (page 59 pour un livre très court)

    Catherine Cusset, sur un mode autobiographique, se souvient ici de son enfance parisienne, coincée entre une mère athée, d'origine juive, un père catholique, et une grande soeur revancharde. Alors qu'elle baigne depuis qu'elle est toute petite dans la liturgie, la messe dominicale et le catéchisme (sa mère trouve pratique de l'occuper gratuitement une heure par semaine de cette façon), ses amitiés, sa maturité croissante l'amènent à prendre de la distance avec cet univers qu'elle juge trop compassé et surtout trop hypocrite.
    Bien que ces éléments correspondent à l'enfance vécue de Catherine Cusset, le lecteur navigue entre différents poncifs sur les chamailleries entre soeurs, l'âge ingrat, les états d'âme adolescents et leurs penchants pour les caresses défendues entre jeunes filles. Il est difficile à ce stade de trouver du goût à ce récit et de comprendre, surtout, où Catherine Cusset veut nous conduire.

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    • Claire Baratte le 19/08/2014 à 11h29

      Chronique

      Curieux titre choisi pour ce roman autobiographique dans lequel Catherine Cusset raconte plus son enfance et ses premières amours d'adolescente et de jeune femme que le rapport qu'elle a entretenue jeune avec la religion catholique.
      L'auteur brosse le tableau de son enfance parisienne plutôt bourgeoise, tiraillée entre un père de tradition catholique et une mère athée d'origine juive, et malmenée par une soeur aînée qu'elle déteste. La petite fille, assez mal dans sa peau, habitée d'un profond sentiment d'infériorité, s'éloigne peu à peu de la foi dans laquelle elle ne voit qu'un leurre et se réfugie dans des amitiés exclusives qui lui permettent de s'évader de son cadre familial.
      Comme le roman laisse assez vite s'y attendre, Catherine, romanesque, exaltée, croit vivre son premier grand amour avec Ximena, une amie de classe dominatrice qui lui fait découvrir des caresses amoureuses dans le secret de leurs chambres de jeunes filles. Déçue, elle entreprend de mettre fin à ses jours dans une pathétique tentative de suicide qui ne parvient qu'à la rendre malade toute une nuit.
      De petits drames en grandes déceptions, l'auteur poursuit son parcours initiatique qui la mène finalement au grand amour et au mariage, dans lequel elle trouve enfin la sécurité et le sentiment de plénitude auquel elle aspire si fort.
      Catherine Cusset nous livre là une description sans concession de la jeune fille qu'elle a été et pour laquelle on peine à éprouver la moindre sympathie. Irritante, capricieuse, fantasque, ses tribulations finissent par fatiguer le lecteur qui tente de la suivre au travers des hauts et des bas de ses élans amoureux et de ses coups de foudre sans lendemain. Elle ne lui épargne aucun de ses états d'âme, aucune de ses crises de larme ni de ses expériences sexuelles, détails à l'appui.
      On comprend mal le lien entre l'éducation catholique de l'héroïne (qui n'a de catholique que le nom) et le récit de cette jeunesse compliquée, faite de hauts et de bas, vaguement teintés d'une pointe de mysticisme. La quête de l'homme qui la comblera et lui apportera la sécurité affective qui lui manque passe par de tels chemins qu'elle en devient lassante.
      Ce roman n'a pas manqué de me décevoir ; pourtant écrit d'une plume alerte et agréable, il manque de fond, il manque de corps. S'il n'était fondé sur des faits vécus par Catherine Cusset dans sa jeunesse, on pourrait lui reprocher d'avoir accumulé trop de poncifs sur l'enfance ingrate et les émois adolescents. Sans donc lui faire ce grief, je garderai pour ce livre qui heureusement se lit vite un intérêt très mitigé.

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  • Chronique de la page 100 ( page 59, le livre est court)

    Une éducation somme toute classique…. Catholique, avec une sœur , et des frères…
    Classique.. quoique, pas trop… en grattant un peu l’eau bénite, on se rend compte que la famille, et la jeune fille modèles ne le sont pas tant que...
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    Chronique de la page 100 ( page 59, le livre est court)

    Une éducation somme toute classique…. Catholique, avec une sœur , et des frères…
    Classique.. quoique, pas trop… en grattant un peu l’eau bénite, on se rend compte que la famille, et la jeune fille modèles ne le sont pas tant que ça…

    Catholique.. oui mais, pas trop… avec une maman athée tout de même..
    Catholique.. oui, mais.. voleuse… enfin, pas trop, juste un peu..
    Catholique.. oui, mais.. pas avec ma sœur, elle c’est pas de l’amour.. c’est de la haine..
    Catholique.. oui, mais.. lesbienne.. un tant soit peu en tout cas….

    Je m’attendais à de la rigidité, ou du moins au classique catholicisme.. j’aime ces diableries distillées par l’auteur sous les mots de la petite fille.. pour l’instant jusqu’à la page 59, ( oui, le livre est très court) je suis assez positivement déroutée et .. désarçonnée par le tour que prend cette ‘’éducation catholique’’..

    Je m’en retourne à mes lectures, et.. Je saluerai Marie pour vous..

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    • Mallory P le 20/08/2014 à 00h55

      CHRONIQUE DU LIVRE INTEGRAL...

      Une éducation somme toute classique…. Catholique, avec une sœur, et des frères…

      Classique, quoique, pas trop… en grattant un peu l’eau bénite, on se rend compte que la famille, et la jeune fille modèles ne le sont pas tant que ça.

      Catholique oui mais pas trop… avec une maman athée tout de même.

      Catholique oui, mais voleuse… enfin, pas trop, juste un peu.

      Catholique oui, mais pas avec ma sœur, elle c’est pas de l’amour, c’est de la haine.

      Catholique oui, mais.. lesbienne un tant soit peu en tout cas.

      Un roman, somme toute agréable à lire, qui me paraissait bien plus axé sur la religion qu’il ne l’est au final.. On découvre Marie, dès l’âge de 12 ans… Sa vie simple d’enfant, d’adolescente, puis de jeune femme.

      Contrairement à ce qui semblerait être une profession de foi religieuse, il s’agirait plutôt de l’ébauche de la vie d’une femme, au travers de sa foi à elle. Sa profession de foi tient plutôt en l’amitié, en l’amour, en des sentiments vrais et une vie réelle. Marie apprend à vivre pleinement, pour elle, par elle, et en elle. N’en déplaise à ses vieux démons catholiques qu’elle trimballe au nom du père ; le sien, très ancré dans la religion. Une profession de foi, certes, mais qui fait la part belle aux émotions, au ressenti et au vécu…

      Une belle surprise pour cette rentrée sur un sujet plutôt délicat à priori, mais qui m’a cueillie là où je ne l’attendais pas…

      NOTE 15/20

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