Le jury de la 16e édition, présidé par Jean-Christophe Rufin, a délibéré
Adamsberg part pour trois jours de colloque à Londres. Estalère, le jeune brigadier, et Danglard - terrorisé à l'idée de passer sous la Manche - sont du voyage. Tout devait se passer de manière aérienne et décontractée, mais un événement macabre alerte leur collègue de New Scotland Yard, Radstock.
Clyde-Fox, un original local, lui parle du vieux cimetière de Highgate. Des chaussures - avec des pieds dedans - font face au cimetière, « un des cimetières romantiques les plus baroques de l'Occident », un lieu macabre, gothique, unique.
Tandis que l'enquête anglaise commence, les français rentrent au pays, et se retrouvent confronté à un horrible massacre dans un pavillon de banlieue.
De fil en aiguille, Adamsberg, avec l'aide de Danglard, remonte une piste de vampires, et de tueurs de vampires, jusqu'en Serbie.
Le commissaire est au centre du roman, dans tous les sens du terme. La Boule se trouve presque un rival, Danglard est à deux doigts de tomber amoureux, Retancourt est toujours aussi efficace, mais la brigade est toujours mouvante.
Les livres de Fred Vargas sont traduits dans plus de quarante pays ; ils ont reçu nombre de récompenses françaises et étrangères, dont le prix des Libraires, le prix des Lectrices ELLE, le Deutscher Krimipreis, et par deux fois l'International golden dagger.
Début du roman à Londres, où se retrouvent le commissaire Adamsberg et son collègue Danglard pour un colloque. Et les voilà amenés à visiter le cimetière de Highgate, où des pieds viennent d'être entreposés dans leurs chaussures. Danglard reconnaît là une paire ayant appartenu à quelqu'un de sa famille, dans un petit village serbe. En rentrant chez eux, ils apprennent qu'un vieil homme asocial vient d'être asassiné d'une étrange façon à Garches. Certaines parties de son corps ont été littéralement écrasées, comme on le faisait pour les vampires. Adamsberg finit par faire le lien entre cette mort de Garches et les pieds de Highgate. Il semblerait de plus, que quelqu'un dans les hautes sphères de la juridication cherche à l'empêcher de découvrir la vérité. Adamsberg n'est pas du style à abandonner et se retrouve dans le village serbe d'où est originaire son collège Danglard, au risque d'y perdre la vie. Il n'est pas au bout de ses surprises et le lecteur non plus...
Un roman passionnant, même s'il va dans de multiples directions qu'il faut relier les unes aux autres.
Début du roman à Londres, où se retrouvent le commissaire Adamsberg et son collègue Danglard pour un colloque. Et les voilà amenés à visiter le cimetière de Highgate, où des pieds viennent d'être entreposés dans leurs chaussures. Danglard reconnaît là une paire ayant appartenu à quelqu'un de sa famille, dans un petit village serbe. En rentrant chez eux, ils apprennent qu'un vieil homme asocial vient d'être asassiné d'une étrange façon à Garches. Certaines parties de son corps ont été littéralement écrasées, comme on le faisait pour les vampires. Adamsberg finit par faire le lien entre cette mort de Garches et les pieds de Highgate. Il semblerait de plus, que quelqu'un dans les hautes sphères de la juridication cherche à l'empêcher de découvrir la vérité. Adamsberg n'est pas du style à abandonner et se retrouve dans le village serbe d'où est originaire son collège Danglard, au risque d'y perdre la vie. Il n'est pas au bout de ses surprises et le lecteur non plus...
Un roman passionnant, même s'il va dans de multiples directions qu'il faut relier les unes aux autres.
Je suis une inconditionnelle de Fred Vargas, du commissaire Adamsberg et de son équipe. Le commisaire Adamsberg est un personnage captivant, humain, fort et fragile à la fois. Et ses collègues, Danglard et les autres le complètent parfaitement. Tout cela avec un brin d'humour. C'est parfait!
On ne sait jamais ou les errances de Vargas vont mener le lecteur. Son héros, aux antipodes du policier classique est pensif et contemplatif, sans cesse muré dans une vision du monde qui semble déconnectée du réel....et pourtant !!!!
Des personnages attachants, une intrigue solide et originale.
Une enquête d'Adamsberg avec toujours plein d'humour
Fred Vargas a le don de jouer avec la langue française. Ses polars ont toujours cette fantaisie et cette qualité d'écriture qui rend la lecture passionnante. Les personnages sont toujours aussi fantasques, le suspens est bien présent et cette incursion de l'auteur dans le gothique est une belle surprise. Lecture à recommander.
Pour le moment c'est un des romans de Fred Vargas que j'ai préféré. Excellente histoire ou j'ai retrouvé deux univers de lecture que j'adore en un seul livre, le thriller et le mythe du vampire.
J'aime de plus en plus le personnage d'Adamsberg, sa manière de voir les choses et de communiquer. Il me fait beaucoup rire. Le dialogue avec Émile le jardinier a été carrément jubilatoire. A mourir de rire. Et dans ce livre il va y avoir de gros bouleversements pour Lui. A lire absolument donc !!!
https://cahiersvarisetplumenacre.wordpress.com/cahier-des-lectures/
Je commencerai comme pour l’autre livre de Fred Vargas : encore un roman policier très agréable à lire : une pointe d’humour et beaucoup de suspens !
Le commissaire Jean-Baptiste Adamsberg part quelques jours à Londres où il découvre à Highgate devant le cimetière les pieds coupés post mortem de cinq hommes et quatre femmes. Cela laisse les policiers perplexes comme nous lecteurs. En effet, « si les Anglais avaient un problème avec neuf personnes sans pieds, ils seraient déjà au courant » […] « S’il s’agit de personnes, mais s’il s’agit de corps pas forcément. » (p 30). Les membres de la Brigade rentrent en France et cette affaire est « oubliée » puisqu’un crime a lieu à Garches. Pierre Vaudel est assassiné chez lui et son corps est « réduit en bouillie et dispersé dans la pièce » (p 77). Pourquoi un tel acharnement ?
Nous nous laissons porter d’un rebondissement à l’autre, d’une fausse piste à une autre. Nous voyageons même jusqu’en Serbie. Finalement, les deux affaires ne sont pas complètement indépendantes et c’est tout l’art de Fred Vargas de nous surprendre jusqu’à la fin.
Un exemple de l’humour que l’on trouve chez cet auteur : « Il n’avait même pas peur de la mort. Il disait que le seul défaut de la mort, c’est que c’était trop long. » (p 73)
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Dernière réaction par Corinne il y a 2 jours
Dernière réaction par Sandra Masara il y a 4 jours
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