Sept histoires fortes, drôles, émouvantes. Sept petits romans avec chacun son intrigue, ses personnages, son dénouement inattendu. Sept lieux du monde, Mozambique, Kirghizie, île Maurice... qui apportent leurs couleurs et leurs parfums. Sept occasions de donner aux grandes questions contemporaines un visage humain. Sept instants de vie. Un même bonheur de lecture.
Pas facile de rendre compte d'un recueil de nouvelles , il faut à la fois rendre compte de l'unité du recueil et de la spécificité de chacune de ces nouvelles.
L'unité dans le cas de SEPT HISTOIRES QUI VIENNENT DE LOIN , nous est offerte par son titre
De loin, c'est à dire d'en lointain géographique. En effet trois de ces nouvelles, où interviennent autochtones et expatriés se déroulent dans 3 îles différentes du Sud Est Asiatique. Une autre met en scène les problèmes linguistiques d'une Kirghise en France .
Mais aussi, pour trois autres , d'un lointain dans le temps, d'un passé dans la vie d'un narrateur, à l'issue d'une semaines de grimpe dans les Dolomites , quand il était interne de garde dans un hôpital ou passager bloqué par une longue panne de train . Un narrateur dont on ne connaît pas l'identité mais dont on pourrait penser qu'il a quelques points communs avec l'auteur ….
J'ai beaucoup apprécié l'ouvrage pour la diversité et la variété de ses anecdotes . Jean Christophe Rufin à l'art d'immerger le lecteur, grâce à quelques détails, à quelques instantanés, dans un univers différent.
Alternent des histoires pleines de mélancolie, de suspense, ou teintées d'humour .
Sept échappées belles....... De quoi passer une agréable soirée de lecture !
Recueil de nouvelles qui ont pour décor 7 pays du monde dans divers continents. Chaque fois, l'auteur profite pour nous donner une idée du paysage traversé.
Les nouvelles sont variées : romantiques, anecdotiques ou historiques.
Certaines sont sans intérêt, d'autres intrigantes.
https://dubonheurdelire.wordpress.com/?p=3770
Je n’aime pas les nouvelles mais j’aime la plume de Jean-Christophe Rufin, Alors quand j’ai vu dans le CDI de mon lycée ce recueil de 7 nouvelles, je n’ai pas hésité. Je l’ai emprunté et évidemment je l’ai lu en quelques heures voyageant au fil des histoires.
“Sept histoires fortes, drôles, émouvantes.
Sept petits romans avec chacun son intrigue, ses personnages, son dénouement inattendu.
Sept lieux du monde, Mozambique, Kirghizie, île Maurice ... qui apportent leurs couleurs et leurs parfums.
Sept occasions de donner aux grandes questions contemporaines un visage humain.
Sept instants de vie.”
Certes ces sept histoires reviennent de loin mais irrémédiablement elles nous ramènent à nous, Avec finesse, Jean-Christophe Rufin nous montre que dernière l’autre se cache une part de nous, que dans l’ailleurs on retrouve l’ici,
Il y a donc des auteurs qui sont capables de me faire apprécier les nouvelles et évidemment me donner envie de lire ou de relire leurs romans ! Jean-Christophe Rufin est de ceux-là !
En résumé : 7 histoires, une par jour, une par heure, peu importe du moment que l’on s’y plonge car elles sont un magnifique voyage de eux à nous, de là-bas à ici,
Sept tranches de vie, aux quatre coins du monde...
Quelques-unes d'entre elles sont surprenantes, d'autres prévisibles.
Pour chaque nouvelle, l'atmosphère est bien perceptible, j'ai trouvé l'une d'entre elles très lourde, "Garde-robe", par le thème évoqué, la déportation qu'a subie le père de Reiter, résistant...
Ces nouvelles nous emmènent loin, très loin, par la distance ou les thèmes évoqués, et nous plongent dans l'histoire des protagonistes, parfois drôles, d'autres fois dramatiques...
Fan de Rufin, ce recueuil de nouvelles est tout simplement passionnnat. parfois drôles, il m'est impossible de sélectionner ma nouvelle préférée.
Un livre qu’il faut prendre le temps de lire. Auquel il faut prendre le temps de réfléchir. Il m’a laissée perplexe. Toutes les nouvelles invitent à réfléchir sur des faits de société. Je regrette quand même qu’il soit que le point de vue des dominants soit le plus adopté.
7 histoires qui se lisent facilement ,de niveau inégal cependant ;la nouvelle "les fiancés de lourenço marques est particulièrement émouvante avec cette vision du colonialisme résumée en une phrase "à une lettre près,indigène devient indigne"
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