Votre nom figure sur la liste du tueur. La date de votre mort aussi...
Un « cadavre » recomposé à partir de six victimes démembrées et assemblées par des points de suture a été découvert par la police. La presse l'a aussitôt baptisé Ragdoll, la poupée de chiffon.
Tout juste réintégré à la Metropolitan Police de Londres, l'inspecteur « Wolf » Fawkes dirige l'enquête sur cette effroyable affaire, assisté par son ancienne coéquipière, l'inspecteur Baxter.
Chaque minute compte, d'autant que le tueur s'amuse à narguer les forces de l'ordre : il a diffusé une liste de six personnes, assortie des dates auxquelles il a prévu de les assassiner.
Le dernier nom est celui de Wolf.
Coup d'essai, coup de maître pour ce thriller déjà vendu dans plus de 35 pays avant parution et en cours d'adaptation pour une série TV.
« À vous couper le souffle ! Si vous avez aimé Seven, vous adorerez Ragdoll. » M. J. Arlidge, auteur d'Am Stram Gram.
Un corps six victimes, le décor est planté, le rythme est donné et pourtant au fil des pages il retombe peu à peu. Quel dommage pour ce thriller prometteur. A voir si la série adaptée du livre est réussie.
Ça commence très fort. J’étais vraiment emballé. La découverte d’un cadavre composé de 6 personnes. Le tueur qui établi une liste des prochaines victimes avec la date d’exécution. La table était mise pour un bon roman. Par contre, à mon avis, l’histoire s’essouffle un peu et manque de rebondissement. Cependant la fin rachète un peu les longueurs.
J’ai bien aimé. Pas un chef d’oeuvre mais au lit très bien. Un 4/5
Un roman qui commençait bien, avec la découverte d'un cadavre composé de morceaux de 6 corps différents grossièrement cousus entre eux à la manière d'une poupée de chiffon, d'où le titre.
En parallèle, une lettre est envoyée à la rédaction d'une télévision, donnant une liste de six noms de futures victimes avec le jour et l'heure de leur mort.
Le sergent Fawkes, en charge de l'enquête, vient tout juste réintégré après un séjour en hôpital psychiatrique après avoir perdu son sang-froid en plein tribunal. Il trouve le lien entre les morceaux de cadavre et la police part à la recherche des noms de la liste après l'assassinat spectaculaire du premier de la liste : la maire de Londres !
...
Et puis le roman s'enlise. La jalousie entre l'ex-femme de Fawkes et Baxter, sa co-équipière, est évoquée mais aurait méritée d'être suivie tout au long du récit.
La traque des victimes potentielles est noyée dans les atermoiements des équipes policières entre le jeune stagiaire qui mène une enquête parallèle en solo, les anciens qui mâchonnent leurs ressentiments et les chefs qui valsent au fur et à mesure de la progression du nombre de morts et de la stagnation de leur enquête officielle.
Bref un roman à haut potentiel ... qui m'a prodigieusement ennuyée au point où j'ai failli le laisser tomber !
Dommage ! Il commençait bien.
J'ai été un peu déçue par ce roman, qui met beaucoup de temps à démarrer.
L'écriture est pourtant fluide, les personnages attachants. La mise en page avec ses chapitres courts met une pointe de suspens et de stress, mais ça ne l'a pourtant pas fait avec moi. J'ai trouvé que ça manquait tout de même de dynamisme et de peps.
Voici un thriller diablement efficace! J'ai adoré l'ambiance de ce thriller et l'équipe d'enquêteurs avec un coup de cœur pour le jeune et futé Edmunds. La course contre la montre donne un rythme soutenu, l'enquête est haletante, les personnages sont attachants et drôles, l'auteur a su faire ressortir l'esprit d'équipe des enquêteurs et leur complicité pour notre plus grand plaisir. La presse en prend pour son grade dans ce roman, les journalistes ont les pires travers de leur profession, ne jurant que par la chasse aux scoops et le sensationnalisme, ils transforment l'enquête Ragdoll en télé-réalité morbide où un compte à rebours dans un coin de l'image égrènent les heures avant le prochain meurtre.
Un bon page-turner comme je les aime, qui allie action, réflexion et humour.
Quand Wolf, inspecteur de police, aperçoit les lumières des gyrophares qui se reflètent au plafond de son appartement , il se lève et voit avec stupeur un corps accroché à la fenêtre de l'appartement d'en face de chez lui. Il enfile vite fait les vêtements qu'il a sous la main et va se renseigner auprès de ses collègues.
En fait c'est un corps composé de morceaux appartenant à six victimes différentes.
Commencent alors les recherches des personnes disparues, l'enquête est très difficile mais quand l'ex femme de Wolf, journaliste, reçoit la liste de six prochaines victimes elle en informe la police.
Commence alors une course contre la montre et malgré toutes les protections prises pour écarter et mettre à l'abri les futures victimes, rien n'y fait elles sont malgré tout tuées.
Que se passe t-il ? Toutes ces personnes ont un lien avec une affaire vieille de quelques années pour laquelle Wolf a d'abord été écarté de la police puis réintégré car il avait bien arrêté l'assassin qui à cette époque avait été acquitté mais a récidivé quelques jours plus tard.
Un jeune policier récemment arrivé dans le service va prendre l'affaire très à coeur, va faire des recherches dans les archives et trouver des choses plus que troublantes.
Ce livre est bien le reflet de l'édition " La Bête Noire "
https://hidesbouquine.blogspot.com/2018/09/ragdoll-daniel-cole.html
Un corps.
6 victimes.
Aucun suspect.
C’est un fait indéniable. Avec un tel résumé, Ragdoll est un roman intriguant. Pourquoi ? Parce que, naturellement, notre côté psychopathe/pervers se réveille. On veut découvrir l’identité des six victimes démembrées. On veut aussi assister au jeu macabre, malsain instauré par Daniel Cole…
Alors si sur le papier, Ragdoll a tout pour plaire, pourquoi dans la réalité, j’en ressors un peu déçu ? Faut dire que la référence à Seven, peut-être à double tranchant. Tu t’attends forcément à quelque chose d’inoubliable, de spectaculaire, de surprenant…
Il y a aussi le fait que la force d’un roman ne peut pas résider que dans l’intrigue, dans le rythme. Le suspense, l’originalité d’une histoire ne fait pas tout. La tension peut être aussi psychologique. Elle doit l’être dans un thriller d’une telle envergure… Je ne vais pas dire que Ragdoll en est dépourvu…mais elle est à peine présente.
Un corps.
6 victimes.
Votre nom figure sur la liste du tueur
La date de votre mort aussi.
Voilà des éléments qui peuvent faire d’une simple histoire, un « page turner » plutôt efficace sur la forme et sur le fond. Une macabre découverte et vous êtes incapable de lâcher se roman tant vous êtes pris au piège. Je ne peux pas nier le côté attractif de Ragdoll, j’ai tourné les pages avec avidité, on ressent clairement l’urgence de la situation.
Il faut avouer que le postulat de départ est original, ingénieux. On se retrouve séduite par l’idée, par le jeu suite à la découverte de ce cadavre composé de six victimes démembrées et assemblées par des points de suture. Ajouter cela, un compte à rebours, une deadline implacable avec cette liste des futurs victimes, assortie à des dates auquel le tueur a prévu de les assassiner. C’est ingénieux, c’est machiavélique à souhait… et pourtant…
Finalement, l’effet « sous tension » s’essouffle. Tu te demandes par moment, si c’est ingénieux ou carrément rocambolesque… Malheureusement, par moment, c’est inimaginable, invraisemblable. Puis il y a ses personnages qui sont certes attachants mais qui sont stéréotypés.
Donc voilà, si la tension, le rythme nous offre un « page-turner ». Au fil des pages, l’originalité de Ragdoll s’essouffle, faisant place à un scénario plus classique. Mais comme je suis une sadique, que j’ai bien aimé le rythme et à peu près toute l’histoire… j’ai envie de découvrir le prochain jeu macabre de Daniel Cole, je me plongerai dans L’appât.
Londres, nouvelle boutique des horreurs.
Un pantin désarticulé, composé de plusieurs membres émanant de différentes personnes, est au coeur d’une course contre la montre pour éviter l’élimination systématique de 6 individus liés par une même affaire criminelle. Et cela jusqu’à l’inspecteur Wolf en charge de l’enquête. On le suit pour résoudre ce puzzle macabre en ayant envie de le secouer allègrement. Jusqu’à ce que l’on réalise que l’on a été baladé depuis le début dans un sombre scenario. On a donc un inspecteur à la dérive, un tueur ingénieux qui arrive à éliminer méthodiquement les victimes désignées de sa liste faustienne, une joyeuse troupe de police dépassée par les évènements, une ex-épouse journaliste aux canines acérées et un rookie qui résout l’énigme pendant que les autres personnages s’agitent.
On se plonge avec délectation dans un Londres sale, maussade et inquiétant pour comprendre ce « cadavre exquis » confectionné par un tueur qui ne fait pas dans la dentelle.
Cependant il faut reconnaitre un manque de transition. Même si on le lit avec attention, on est parfois obligé de relire à plusieurs fois certains paragraphes pour comprendre comment l’inspecteur se retrouve à fricoter avec une possible victime ou à être sur les routes sur une autre piste... Il y a parfois trop de raccourcis et d’arrangements avec les vraisemblances.
En outre il y a de nombreux clichés à commencer par le personnage principal, l’inspecteur. Les autres personnages sont inégaux, certains sont intéressants voire attachants et d’autres disparaissent aussi vite qu’ils sont arrivés. Dans le sens où l’auteur semble avoir perdu de l’intérêt pour développer un peu plus de matière les concernant. Du coup ils semblent s’effacer subrepticement comme s’ils avaient été oubliés dans un coin.
Enfin l’intrigue finit par s’essouffler après une début tambour battant avec un cadavre qui déboule dans votre salon sans crier gare.
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