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Qui peut affirmer avec certitude qu'il n'y a pas de vie après la vie ? A quelle adresse du paradis me faut-il t'écrire ? rue des nuages ? " demande Claude Couderc à son fils disparu.
Ni croyant, ni vraiment athée, l'auteur qui se réclame d'un esprit cartésien a le sentiment pourtant d'avoir établi une vraie relation spirituelle avec son garçon, happé par une leucémie foudroyante à quinze ans. Avec Adrien hors du silence Claude Couderc évoquait avec force et émotion la douleur que représente la mort d'un enfant. Ici, sans avoir définitivement cautérisé cette souffrance, ce père ne peut se résoudre à rompre le fil avec l'être aimé et parvient à travers ces lettres à rétablir le lien, l'échange.
Il ne peut admettre en évoquant son fils que tant de gentillesse, de beauté, d'humour, d'impertinence, d'impétuosité aient disparu. Ces lettres, au jour le jour, rétablissent l'enfant dans le quotidien. L'auteur considère que chaque chose de la vie est un peu de lui " et s'il parlait à travers le vent, un craquement dans la maison, le chant d'un oiseau, le sourire d'un autre enfant, l'incandescence du soir, la silhouette d'un adolescent croisé sur une plage? " Ces écrits entre larmes et soleil nous interrogent sur l'autre monde, sur l'étrange " absence-présence " de ceux qui nous ont quittés et nous disent que la force des sentiments l'emporte sur la tristesse, le désespoir...
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