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Les vallées du bonheur profond

Couverture du livre « Les vallées du bonheur profond » de Henry Bauchau aux éditions Actes Sud
  • Date de parution :
  • Editeur : Actes Sud
  • EAN : 9782742723003
  • Série : (-)
  • Support : Poche
Résumé:

Les cinq récits limpides et lumineux qui composent ce recueil appartiennent au cycle d'oedipe et Antigone.
Dans L'Arbre fou, Henry Bauchau interroge l'acte de création et sa part inévitable de violence. Si Antigone, en partant avec Constantin dans Les Vallées du bonheur profond, échappe un... Voir plus

Les cinq récits limpides et lumineux qui composent ce recueil appartiennent au cycle d'oedipe et Antigone.
Dans L'Arbre fou, Henry Bauchau interroge l'acte de création et sa part inévitable de violence. Si Antigone, en partant avec Constantin dans Les Vallées du bonheur profond, échappe un instant à son destin, c'est pour le retrouver aussitôt avec une joie paradoxale. La Femme sans mots incarne la violence de la folie. Le Cri est comme la matrice de la scène fondamentale du roman Antigone. Et le dernier récit donne la parole à Sophocle, L'Enfant de Salamine.
Sous la plume fervente d'Henry Bauchau, le destin tragique d'oedipe et Antigone est une interrogation perpétuellement renouvelée sur la condition humaine, entre liberté et contrainte, ainsi que sur le difficile chemin qui mène à la connaissance et à la réalisation de soi.

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Avis (1)

  • « J’ai su en m’éveillant, en buvant à la coupe qu’ils avaient déposée près de moi, qu’Oedipe et Antigone habitaient pour toujours en moi »
    fait dire Henry Bauchau à Sophocle.
    Cette phrase pourrait s’appliquer à l’auteur lui-même.
    Après « Œdipe sur la route », après « Antigone », après «...
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    « J’ai su en m’éveillant, en buvant à la coupe qu’ils avaient déposée près de moi, qu’Oedipe et Antigone habitaient pour toujours en moi »
    fait dire Henry Bauchau à Sophocle.
    Cette phrase pourrait s’appliquer à l’auteur lui-même.
    Après « Œdipe sur la route », après « Antigone », après « Diotime et les lions », après « Le journal d’Antigone », il continue ici, en cinq récits, à les raconter, à les faire vivre, à avoir encore et encore envie de parler d’eux.
    Comme Vincent Engel a du mal à se séparer de Raphaël et de Laetitia après « Retour à Montecchiaro », Henry Bauchau semble n’en avoir jamais vraiment fini avec Œdipe et Antigone et c’est pour le lecteur un bonheur de prolonger cette histoire.

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