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Les Suprêmes

Couverture du livre « Les Suprêmes » de Edward Kelsey Moore aux éditions Actes Sud
  • Date de parution :
  • Editeur : Actes Sud
  • EAN : 9782330051235
  • Série : (-)
  • Support : Poche
Résumé:

Elles se sont rencontrées dans les années 1960 et ne se sont plus jamais quittées : tout le monde les appelle « Les Suprêmes », en hommage au célèbre groupe des années 1970. Complices dans le bonheur comme dans l'adversité, ces trois irrésistibles quinquas afro-américaines se retrouvent tous les... Voir plus

Elles se sont rencontrées dans les années 1960 et ne se sont plus jamais quittées : tout le monde les appelle « Les Suprêmes », en hommage au célèbre groupe des années 1970. Complices dans le bonheur comme dans l'adversité, ces trois irrésistibles quinquas afro-américaines se retrouvent tous les dimanches dans l'un des restaurants de leur petite ville de l'Indiana : entre commérages et confidences, rire et larmes, elles se gavent de poulet frit en élaborant leurs stratégies de survie.

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Avis (11)

  • Odette, Clarice et Barbara Jean sont trois amies de longue date. Elles se retrouvent tous les dimanches chez Big Earl, restaurant de la ville où il fait bon de se donner rendez-vous. D'ailleurs, Big Earl, le patron, est témoin des amours naissantes des Suprêmes, surnom donné à ces trois...
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    Odette, Clarice et Barbara Jean sont trois amies de longue date. Elles se retrouvent tous les dimanches chez Big Earl, restaurant de la ville où il fait bon de se donner rendez-vous. D'ailleurs, Big Earl, le patron, est témoin des amours naissantes des Suprêmes, surnom donné à ces trois amies.
    Odette se mariera à James, Clarice à Richmond et Barbara Jean à Lester.
    Dans des courts chapitres, nous suivons la vie de ces trois femmes à travers des flash back et de leurs vies actuelles.
    C'est merveilleusement bien écrit. Passer un moment avec ces trois amies et leurs proches a été un véritable plaisir et bonheur.
    Le thème sociétal de la ségrégation raciale, sans être non plus le point principal de ce roman, tient une place importante. Il est abordé avec beaucoup de pudeur.
    Merci à l'auteur pour cet excellent moment de lecture. Je n'avais aucune envie de quitter les suprêmes et de fermer ce roman.

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  • Jusqu’à avant-hier, j’étais très mitigée sur ma lecture, je n’arrivais pas vraiment à rentrer dans l’histoire, accusais même des longueurs, des « décrochages ». Bref, j’étais complètement à contre-courant des nombreux avis dithyrambiques concernant Les Suprêmes. Ainsi, pendant une bonne partie...
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    Jusqu’à avant-hier, j’étais très mitigée sur ma lecture, je n’arrivais pas vraiment à rentrer dans l’histoire, accusais même des longueurs, des « décrochages ». Bref, j’étais complètement à contre-courant des nombreux avis dithyrambiques concernant Les Suprêmes. Ainsi, pendant une bonne partie du roman, je me traînais, même si quelques passages retenaient mon attention. Comme vous pouvez le lire, cela commençait mal entre les quinquas et moi.

    Mais hier, ma lecture de ce roman a évolué, j’étais beaucoup plus intéressée par cette histoire drôle, touchante et décoiffante. Eh oui ! Certains romans peuvent renverser notre avis en moins de deux. Allez savoir pourquoi. Certainement parce qu’il y avait plus de rebondissements même si l’auteur se perdait encore quelques fois dans de longues explications sur le passé des protagonistes. Indéniablement, Odette, Clarice et Barbara Jean ont fini par me faire sourire et m’émouvoir, mais tout en retenue. L’auteur ne verse jamais dans le larmoyant malgré certains sujets difficiles tels que la maladie et le racisme. Il retourne toujours la situation en quelque chose de drôle voire d’exubérant. Il ne s’attarde pas sur la tristesse, il en écrit juste assez pour nous toucher de différentes façons.

    Le côté décalé et loufoque est aussi bien dosé. Parler à des fantômes, subir les prédictions aberrantes d’une voyante auto-proclamée, rencontrer un homme magnifique couvert de plumes, supporter une mère hurlant des versets de la Bible dans un mégaphone, fumer de la marijuana parce que maman le recommande, retourner comme une crêpe un mari infidèle, voilà ce que ces sacrées afro-américaines nous offrent. C’est ce que j’appelle un divertissement au sens positif du terme !

    La ségrégation raciale s’inscrit en toile de fond du roman sans être omniprésente. Ainsi, l’auteur a su encore une fois parfaitement doser ses propos, nous faire part de cette période terrible des États-Unis sans en sortir une quelconque morale. Vous le savez peut-être, c’est un thème qui m’est cher, et j’étais heureuse de ne pas sombrer dans une pâle copie de La couleur des sentiments de Kathryn Stockett que j’aime tant. Même si, je dois l’avouer, il en ressort des ressemblances, des points communs, autant dans son thème que dans la façon de mettre en avant des personnages féminins de caractère. Il en est de même pour Fannie Flagg qui met également en scène des femmes à ne pas piquer des hannetons. Vous prenez donc tout cela, vous secouez, vous ajoutez un peu de Desperate Housewives, et vous obtenez Les Suprêmes. Même si, soyons honnêtes, ce roman n’égale aucun d’entre eux, il sait tirer sa part du gâteau. On passe un bon moment. Et si comme moi vous avez du mal avec le premier quart, voire le premier tiers, poursuivez car la lecture va crescendo.

    « On appelle miracle ce qui est censé se produire, tout simplement. »

    Mon avis sur mon blog : https://ducalmelucette.wordpress.com/2017/10/24/lecture-les-supremes-dedward-kelsey-moore/

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  • Mais oui elles sont sympathiques ces trois quinquagénaires afro-américaines. Et l’histoire n’est pas mal bien que la ségrégation soit un sujet maintes fois traité.
    Mais non, je n’ai pas réussi à m’intéresser à leur histoire.
    Abandon avant la centième page, c’est rare.
    Je ne sais pas pourquoi,...
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    Mais oui elles sont sympathiques ces trois quinquagénaires afro-américaines. Et l’histoire n’est pas mal bien que la ségrégation soit un sujet maintes fois traité.
    Mais non, je n’ai pas réussi à m’intéresser à leur histoire.
    Abandon avant la centième page, c’est rare.
    Je ne sais pas pourquoi, peut-être trop de verbiage, un style d’écriture pas original, assez quelconque. Peut-être ai-je eu tort et devrai-je retenter une nouvelle fois, mais pas maintenant

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  • Cette histoire malgré la dureté parfois dépeinte est d'une grande douceur. La vie est telle que de nombreuses épreuves ont barré la route d'Odette, Clarice et Barbara-Jean, mais leur amitié les a toujours aidé à surmonter cela quitte a avoir eu des secrets pour sauver l'autre. On les retrouve...
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    Cette histoire malgré la dureté parfois dépeinte est d'une grande douceur. La vie est telle que de nombreuses épreuves ont barré la route d'Odette, Clarice et Barbara-Jean, mais leur amitié les a toujours aidé à surmonter cela quitte a avoir eu des secrets pour sauver l'autre. On les retrouve aujourd'hui nos amies quinquagénères mais de nombreux flash-back nous renvoient dans l'Indiana de la ségrégation avec tout ce que cela peut sous entendre. L'histoire est dure, douce, drôle et triste, elle nous fait vivre, nous fait ressentir différentes émotions. C'est généralement ce que l'on attend d'un (bon) livre. Je vous le recommande!!

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  • Je m'attendais a un pur moment de bonheur et ca l a fait !

    Je m'attendais a un pur moment de bonheur et ca l a fait !

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  • Livres 3.00/5


    Odette, Clarice et Barbara Jean se sont rencontrés à l'adolescence dans les années 60 : elles sont devenues inséparables et en référence à Diana Ross et son célèbre groupe, on les a baptisées Les Suprêmes.
    Elles sont afro-américaines et vivent dans le quartier noir de...
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    Livres 3.00/5


    Odette, Clarice et Barbara Jean se sont rencontrés à l'adolescence dans les années 60 : elles sont devenues inséparables et en référence à Diana Ross et son célèbre groupe, on les a baptisées Les Suprêmes.
    Elles sont afro-américaines et vivent dans le quartier noir de Plainview, dans l'Indiana, où on ne rencontre pas de blancs. On y rencontre cependant quelquefois des revenants et quelques personnages hauts en couleur.
    Au gré des mariages, des naissances, des maladies ou des morts, on découvre dans le désordre la vie d'Odette, Clarisse et Barbara Jean, une vie fortement marquée par l'influence de leurs églises respectives, dans une Amérique pas encore complètement remise de la mixité raciale…
    Malgré quelques longueurs, voici une chronique extrêmement vivante de la communauté afro-américaine des années 60 à nos jours, ponctuée par l'humour féroce et la plume alerte d'Edward Kelsey Moore qui s'incarne avec une aisance remarquable dans la peau d'une quinquagénaire survoltée !

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  • Baby love, my baby love… Qu’est-ce que j’ai pu l’écouter ! J’adorais les Suprêmes avec Diana Ross.
    Par l’entremise d’Odette, Barbara Jean et Clarice, j’ai fait un très bon voyage dans l’Indiana profond et ce sur tout une vie, la leur. La ségrégation, le premier bébé né dans une clinique pour...
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    Baby love, my baby love… Qu’est-ce que j’ai pu l’écouter ! J’adorais les Suprêmes avec Diana Ross.
    Par l’entremise d’Odette, Barbara Jean et Clarice, j’ai fait un très bon voyage dans l’Indiana profond et ce sur tout une vie, la leur. La ségrégation, le premier bébé né dans une clinique pour femmes blanches, l’évolution sociale des noirs…
    Ce livre que beaucoup on lu m’a enchantée. Une telle amitié qui perdure malgré les aléas de la vie c’est superbe, rare et précieux.
    Ces trois quinquas, non botoxées et si naturellement belles m’ont ravie. J’ai souri, pleuré, eu envie de mordre, bref j’ai vécu, à travers Odette, Barbara Jean et Clarice, une belle lecture.
    Odette, si vous rencontrez de nouveau Leonor Roosevelt, trinquez à ma santé. Clarice, enfin, j’ai cru que vous alliez endurer les frasques de votre cher époux jusqu’à la fin du livre. Vivez ! Barbara Jean, la vie peut commencer à 50 ans, allez-y.
    Merci Mesdames. Merci Edward Kelsey Moore pour ce superbe livre. Il me semble avoir relevé quelques phrases un peu lourdes (traduction ?), mais rien de grave, cela n’a pas terni mon plaisir de lectrice.
    Ce premier roman est vraiment abouti, pas de chichis. Les mots d’Edward Kelsey Moore les fait tourbillonner, vivre, rire, pleurer, se battre avec la vie ou la mort avec une énergie bouillonnante.

    Dire que je craignais de tomber sur un livre « pour filles » et que j’en retardais la lecture, alors que je suis tombée sur un livre vivant et une tranche de vie quotidienne américaine.

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  • Un roman décalé très attachant. Difficile de la classer. On s'attache aux personnages. On sourit. On réfléchit... Un très bon moment.

    Un roman décalé très attachant. Difficile de la classer. On s'attache aux personnages. On sourit. On réfléchit... Un très bon moment.

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