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Les passagers de la foudre

Couverture du livre « Les passagers de la foudre » de Erik Larson aux éditions Cherche Midi
Résumé:

1910, Londres. Un respectable médecin, Harvey Crippen, met fin à un mariage insupportable en assassinant sa femme, une flamboyante chanteuse d'opéra. Lorsque naissent les premiers soupçons, Crippen, accompagné de sa maîtresse, prend un bateau, le SS Montrose, à destination du Québec.

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1910, Londres. Un respectable médecin, Harvey Crippen, met fin à un mariage insupportable en assassinant sa femme, une flamboyante chanteuse d'opéra. Lorsque naissent les premiers soupçons, Crippen, accompagné de sa maîtresse, prend un bateau, le SS Montrose, à destination du Québec.

Sur ses traces, un inspecteur de Scotland Yard qui, grâce à une invention toute récente de Marconi, la communication sans fil, va permettre au grand public de suivre, par médias interposés, cette incroyable poursuite en haute mer.

Dans cet exceptionnel document historique, Erik Larson nous conte en parallèle les aventures de Marconi et du Dr Crippen - dont le destin fascina tant Alfred Hitchcock qu'il s'en inspira pour de nombreux films, en particulier Fenêtre sur cour - et nous donne un tableau saisissant des débuts du monde moderne. Captivant de la première à la dernière page, Les Passagers de la foudre passionnera autant les amateurs d'histoire que les adeptes d'enquêtes policières.

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Avis (2)

  • Deuxième incursion dans le travail du journaliste-historien-romancier Erik Larson, après le très convaincant « Dans le jardin de la bête ». Cette fois-ci, pas d’Allemagne nazie, c’est dans le Londres du début du XXème siècle que se situe son roman de « no-fiction ». Le livre suit, un chapitre...
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    Deuxième incursion dans le travail du journaliste-historien-romancier Erik Larson, après le très convaincant « Dans le jardin de la bête ». Cette fois-ci, pas d’Allemagne nazie, c’est dans le Londres du début du XXème siècle que se situe son roman de « no-fiction ». Le livre suit, un chapitre sur deux, deux intrigues qui n’ont aucun rapport entre elles, hormis le fait qu’elles se déroulent dans le même temps. A ma droite, M Marconi invente la télégraphie sans fil dans le grenier de sa maman. Peu à peu, expériences après expériences, cet autodidacte perfectionne son invention avant d’aller la présenter à Londres. Au fil des années qui passent, il devra composer avec les septiques qui n’y croient pas, avec les scientifiques qui prétendent avoir tout inventé avant lui, avec les pays étrangers (et notamment l’Allemagne de Frederic II) qui veulent voler sa technologie. Le grand défi de Marconi, pour asseoir définitivement son invention, c’est de réussir l’impensable : la télégraphie sans fil transatlantique. A ma gauche, le Docteur Crippen, un médecin américain établi à Londres et bien mal marié à une harpie qui lui fait vivre un supplice et qui le ruine. Crippen finira par commettre l’irréparable et par s’enfuir sur un paquebot à destination du Quebec avec sa maîtresse. C’est là que les deux histoires se rencontrent, l’invention de Marconi provoquera la perte de Crippen, la fuite de Crippen assurant définitivement la réussite de l’invention de Marconi. Ces deux intrigues traitées parallèlement et qui finissent (bien tardivement) par se rencontrer sont d’un intérêt historique certain mais franchement, les chapitres sur la télégraphie sans fil ne sont pas les plus passionnants. J’ai eu un peu de mal à aller au bout des « Passagers de la foudre », j’ai fait de mon mieux pour m’intéresser aux aventures de Marconi, à ses tentatives de fabrication d’antennes géantes, à ses réflexions sur les ondes magnétiques, à sa fâcheuse tendance à trahir tous ceux (et toutes celles) qui auront eu le malheur de le cotoyer de près. Cette épopée de la télégraphie sans fil n’en finit pas, heureusement qu’elles sont coupées les chapitres sur Crippen et ses déboires, qui ne sont pas passionnants mais quand même un peu plus que les ondes de Marconi. Quant au final, il est tout sauf spectaculaire, très attendu, il déçoit par sa banalité. Le style fluide (avec des pointes d’humour) de Larson n’est pas en cause, et sa peinture du Londres de 1900 ne manque pas d’intérêt historique mais ses innombrables digressions finissent par lasser, il se perd dans des détails et des anecdotes sans intérêt, déjà que son sujet principal n’est pas follement passionnant. Je suis allée au bout des « Passagers de la foudre », avec un peu de mal, et pas certaine que ce livre là me laisse autant de souvenir précis que « Dans le jardin de la bête ».

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  • Un livre qui vaut la peine d'être lu. Erik Larson a la capacité de nous transporter dans l'Histoire en passant par la petite.

    Un livre qui vaut la peine d'être lu. Erik Larson a la capacité de nous transporter dans l'Histoire en passant par la petite.

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