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Les grandes libertines ; le roman de Sophie Arnould et Françoise Raucourt

Couverture du livre « Les grandes libertines ; le roman de Sophie Arnould et Françoise Raucourt » de Michel Peyramaure aux éditions Robert Laffont
Résumé:

Sophie Arnould, Françoise Raucourt : à l'aube de la Révolution, le nom de ces deux interprètes de génie brillait au firmament du monde des arts.
Sous le règne des derniers Bourbons, l'Opéra est le temple de la cantatrice Sophie Arnould, la Comédie-Française le royaume de la tragédienne... Voir plus

Sophie Arnould, Françoise Raucourt : à l'aube de la Révolution, le nom de ces deux interprètes de génie brillait au firmament du monde des arts.
Sous le règne des derniers Bourbons, l'Opéra est le temple de la cantatrice Sophie Arnould, la Comédie-Française le royaume de la tragédienne Françoise Raucourt. Le Tout-Paris se presse chaque soir pour célébrer la grâce des deux jeunes femmes et applaudir à leur talent. Âgées d'à peine vingt ans, Sophie et Françoise connaissent la célébrité, la fortune et la gloire ; leur beauté et leur intelligence remarquables leur valent de figurer parmi les personnalités les plus en vue - et les plus courtisées - de la capitale. Bientôt, les orages de la Révolution viendront assombrir leur éclatante destinée.

Un parfum de scandale et une odeur de soufre entouraient la vie de ces deux grandes libertines, à l'homosexualité fièrement revendiquée.
On les qualifiait tantôt de " lesbiennes " ou de " tribades ", tantôt de " gomorrhéennes " ou de " disciples de Sapho ". Leurs moeurs particulières suscitaient tout à tour la curiosité, la réprobation ou le dégoût ; leurs frasques et leurs excès faisaient régulièrement le bonheur des gazettes. Les amours illicites de Sophie Arnould et Françoise Raucourt ne laissaient, en tout cas, jamais indifférent. " Vivantes, ces médailles de la grâce ont été le scandale d'un siècle, et, mortes, son sourire. ", ont écrit d'elles les frères Goncourt.

Avec Les Grandes libertines, Michel Peyramaure achève en apothéose sa trilogie consacrée aux femmes de la Révolution.
Après La Reine de Paris, admirable portrait de Mme Tallien, et L'Ange de la Paix, vibrant hommage à Olympe de Gouges, Michel Peyramaure nous livre le dernier volet de sa chronique romancée des moeurs de la fin de l'Ancien Régime et de la Révolution. À travers sa lumineuse évocation de Sophie Arnould et Françoise Raucourt, il ressuscite pour nous les figures de deux femmes d'exception, aujourd'hui quelque peu tombées dans l'oubli, et les éclaire d'un jour nouveau.

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