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Les chemins qui ne mènent pas à Rome ; réflexions et maximes d'un libertaire

Couverture du livre « Les chemins qui ne mènent pas à Rome ; réflexions et maximes d'un libertaire » de Georges Brassens aux éditions Cherche Midi
Résumé:

'aime la pensée solitaire, je déteste les moutons.

Je n'ai pas besoin d'un grand frère là-haut qui me protège et me dicte ses lois.

L'effort d'aimer, c'est peut-être l'amour...

Il ne me déplaît pas de déplaire à certains.

Ma vie privée ne regarde personne, même pas moi.

La vraie... Voir plus

'aime la pensée solitaire, je déteste les moutons.

Je n'ai pas besoin d'un grand frère là-haut qui me protège et me dicte ses lois.

L'effort d'aimer, c'est peut-être l'amour...

Il ne me déplaît pas de déplaire à certains.

Ma vie privée ne regarde personne, même pas moi.

La vraie nature de l'homme, c'est la férocité, le fanatisme, la folie.

Les foules modernes ont une puissance d'avilissement telle que rien ne leur résiste.

Il n'est jamais trop tard pour mal faire.

Les militaires de carrière sont affligés d'un crétinisme hyperbolique.

Les nouilles ne nourrissent pas aussi bien qu'on le prétend chez les mangeurs de canard farci.

Qu'est-ce que nous sommes ? Un peu d'argile et d'eau. Et nous voulons être éternels... C'est l'éternelle sottise.

Georges Brassens

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