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Un immeuble, un microcosme. Chacun de ses habitants a son histoire, gaie, triste, pathétique, dramatique, secrète, c'est selon. Certains se contentent de la vivre, d'autres de la subir, d'autres encore de l'écrire. A commencer par la concierge au grand coeur, la mémoire de l'immeuble, qui tient un Journal. Elle s'est particulièrement attachée à plusieurs d'entre eux. D'abord Anne et Erwan, deux grands blessés de la vie, puis Hélène, la dernière venue, si jolie, devenue paraplégique après un accident de voiture.
A vingt ans. C'est-y pas malheureux, comme elle dit. Babou, sa grand-mère très chérie, et sa fidèle Nounou Maria prennent soin d'elle, l'entourent, l'écoutent, lui insufflent le courage d'accepter ce qui est. Ecrivain elle-même, Babou essaiera de lui transmettre le goût de l'écriture. Elle sait que sa petite-fille a besoin d'autre chose que de compassion. "Qui a dit qu'un handicap détruisait la potentialité d'une personne ? Tu dois trouver en toi d'autres chemins.
L'inertie est la véritable ennemie. L'immobilité contrainte il faut bien l'accepter, mais l'immobilisme non ! Je ne te laisserai pas faire ! Si tu ne peux plus marcher, deviens Libellule, ouvre tes ailes et vole !" lui dit-elle un jour de grand découragement. Electrochoc. Peu à peu, Hélène retrouvera le goût de vivre. Et plus encore. Même si elle se montre parfois cruelle, la vie est toujours la plus forte.
"Finalement, il n'y a que de l'amour et du bonheur dans ces pages !" écrit en conclusion de son Journal la concierge de l'immeuble. C'est un livre qui fait du bien. Parole de concierge.
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