Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Dans l'Alsace d'après-guerre meurtrie pour longtemps dans la chair de ses habitants, morts, disparus, prisonniers, dispersés dans ses villes et villages détruits, livrée à une lourde suspicion, alimentée par l'ignorance bien qu'abandonnée à son sort en 1940. Le Barabli de Germain Muller, Mario Hirlé et leurs complices a fait oeuvre salutaire, en mettant du baume sur les plaies, auparavant débridées pour favoriser la guérison, pour empêcher qu'une morosité générale ne s'installe, ils ont eu recours à la thérapeutique de la satire, du rire, de l'ironie, de l'humour, de la dérision et de l'autodérision, sans s'interdire pour autant le recours à d'autres émotions. Mais c'est surtout ce rire, largement désappris depuis 1939, qui était convoqué «parce que rire est le propre de l'homme» (Rabelais) Cette démarche fut plébiscitée par une large adhésion du public, jamais démentie de Wissembourg à Saint Louis et par-delà les limites de la province.
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