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La garçonnière

Couverture du livre « La garçonnière » de Helene Gremillon aux éditions Flammarion
  • Date de parution :
  • Editeur : Flammarion
  • EAN : 9782081308879
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Ce roman est inspiré d'une histoire vraie. Les événements se déroulent en Argentine, à Buenos Aires. Nous sommes en août 1987, c'est l'hiver.
Les saisons ne sont pas les mêmes partout. Les êtres humains, si.

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Articles (2)

Avis (17)

  • 1987 Argentine.
    Lissandra, jeune épouse de Vittorio, psychologue est retrouvée morte par celui-ci. Elle aurait sauté par la fenêtre. Suicide ?
    La police ne le pense pas et Vittorio est accusé de meutre et incarcéré.
    Eva Maria, patiente du psy est persuadée de son innocence et va mener...
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    1987 Argentine.
    Lissandra, jeune épouse de Vittorio, psychologue est retrouvée morte par celui-ci. Elle aurait sauté par la fenêtre. Suicide ?
    La police ne le pense pas et Vittorio est accusé de meutre et incarcéré.
    Eva Maria, patiente du psy est persuadée de son innocence et va mener l'enquête pour le disculper. Vittorio a pour habitude d'enregistrer la dernière séance de ses patients afin de la réécouter plus tard. Il demande à Eva Maria de récupérer ces cassettes qui détiennent peut-être des indices sur un éventuel suspect.
    Le récit mêle souffrance psychologique, dictature et tortionnaires, tortures et disparitions .
    Ce roman ne m'a pas convaincu.

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  • Dialogue entre Eva Maria et son psychanalyste Vittorio, sur fond d'histoire de dictature argentine. Vittorio rentre chez lui, alors qu'il ouvre la porte, la fenêtre était grande ouverte, il a tout de suite compris qu'il s'était passé quelque chose avec Lissandra... Un roman plein de...
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    Dialogue entre Eva Maria et son psychanalyste Vittorio, sur fond d'histoire de dictature argentine. Vittorio rentre chez lui, alors qu'il ouvre la porte, la fenêtre était grande ouverte, il a tout de suite compris qu'il s'était passé quelque chose avec Lissandra... Un roman plein de rebondissements, très documenté sur les méfaits, violences...d'une terrible période noire. Roman troublant, histoire totalement inattendue.

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  • Lisandra, la femme de Vittorio, un psy de Buenos Aires, est retrouvée morte, défenestrée. Vittorio est accusé de meurtre mais Eva Maria, une de ses patientes, est persuadée de son innocence et tente de trouver des preuves pour le disculper.
    J'ai pris ce livre sans à priori si ce n'est les...
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    Lisandra, la femme de Vittorio, un psy de Buenos Aires, est retrouvée morte, défenestrée. Vittorio est accusé de meurtre mais Eva Maria, une de ses patientes, est persuadée de son innocence et tente de trouver des preuves pour le disculper.
    J'ai pris ce livre sans à priori si ce n'est les quelques éloges, lues à l'époque de sa sortie, dans la presse. Je ne savais pas de quoi parlait cette histoire.
    Je suis donc tombé sur un polar axé sur la psychologie, parfois perturbée, des personnages. Pas inintéressant même si, sur certains passages, j'y ai trouvé certaines longueurs.
    L'architecture et le style sont intéressants avec des passages assez descriptifs, d'autres retranscrivant tout simplement un dialogue entre deux personnages.
    Pas mal mais cela reste un polar, pas un meilleur du genre, et c'est donc comme cela que je l'ai pris. J'ai tout de même pris un certain plaisir à le lire, et c'est bien là l'essentiel.

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  • Le régime de la junte fasciste en Argentine marque encore la société des crimes qu’elle a commis en 1987. On est dans un climat de questionnement, de soupçons, de non-dits et les peurs sont toujours acerbées.

    C’est en rentrant de son travail que Vittorio, psychiatre, trouve l’appartement sens...
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    Le régime de la junte fasciste en Argentine marque encore la société des crimes qu’elle a commis en 1987. On est dans un climat de questionnement, de soupçons, de non-dits et les peurs sont toujours acerbées.

    C’est en rentrant de son travail que Vittorio, psychiatre, trouve l’appartement sens dessus dessous, fenêtres ouvertes, et découvre avec effroi le corps de Lisandra gisant trois étages plus bas. Sans chercher d’autres pistes, la police privilégie vite l’acte criminel et ne doute guère de la culpabilité de Vittorio. Les relations distendues du couple soutiennent cet a priori.
    Mais c’est sans compter l’implication d’Eva Maria, femme meurtrie par la disparition de sa fille sans doute enlevée par le régime, séparée de son mari, mère d’un garçon avec qui les relations sont difficiles, et patiente de Vittorio. Eva Maria cherche tous les éléments susceptibles d’expliquer la mort de Lisandra et de disculper Vittorio. Elle découvre la personnalité fragile de Lisandra, elle va questionner ses connaissances et relations. Elle mène son enquête à l’aide de documents enregistrés par Vittorio dans le cadre de sa fonction …
    Ce contexte suscite la curiosité, d’autant plus que ce roman est tiré d’une histoire vraie. J’attendais que le côté historique soit plus développé et ancre davantage l’histoire dans le contexte. En réalité, au fil des événements et des portraits dressés, le contexte historique est tout de même bien présent et permet de maintenir le long suspens.
    En effet, l’intrigue est bien menée et rien ne laisse entrevoir le dénouement. L’écriture soignée rend la lecture facile tout en laissant filtrer les émotions. Un bon moment de lecture !

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  • Dommage !
    J'avais commencé ce roman en ayant gardé une pensée pour Le confident que j'avais beaucoup aimé en mai dernier, ça débute comme un polar psy et...je laisse tomber !
    Je me suis ennuyée, je n'ai pas eu envie de découvrir les névroses des patients du Dr Puig et pourtant le contexte me...
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    Dommage !
    J'avais commencé ce roman en ayant gardé une pensée pour Le confident que j'avais beaucoup aimé en mai dernier, ça débute comme un polar psy et...je laisse tomber !
    Je me suis ennuyée, je n'ai pas eu envie de découvrir les névroses des patients du Dr Puig et pourtant le contexte me plaisait, j'avais envie d'en apprendre un peu plus sur l'Argentine, de comprendre ce qui s'était passé sous la dictature, mais au bout de quelques chapitres, je me suis rendue compte que je passais à côté de ce roman.
    Je n'ai pas trouvé ce que j'attendais et j'en suis un peu déçue...Je le laisse sur un coin d'étagère, je le lirai plus tard.

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  • Ce roman est inspiré d'une histoire vraie. Les événements se déroulent en Argentine, à Buenos Aires. Nous sommes en août 1987. Lisandra est retrouvée défenestrée. La police emprisonne et accuse Vittorio, son époux. Eva Maria, dont Vittorio est le psychologue, mène l'enquête pour l'innocenter....
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    Ce roman est inspiré d'une histoire vraie. Les événements se déroulent en Argentine, à Buenos Aires. Nous sommes en août 1987. Lisandra est retrouvée défenestrée. La police emprisonne et accuse Vittorio, son époux. Eva Maria, dont Vittorio est le psychologue, mène l'enquête pour l'innocenter.
    Le récit suit le mode de l'enquête à travers les yeux d'Eva Maria, et ne verse à aucun instant dans la facilité. On retrouve le style de l'auteur déjà éprouvé dans le Confident, pourtant l'univers en est à mille lieues. Ce deuxième roman est une réussite.

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  • Le roman se déroule dans les années qui suivent la dictature des généraux en Argentine.
    Lorsque Lissandra, la femme de Vittorio, un psychiatre est retrouvée défenestrée, les soupçons se portent immédiatement sur son mari.
    Des cris ayant été entendus dans l’immeuble, la police ne pousse pas...
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    Le roman se déroule dans les années qui suivent la dictature des généraux en Argentine.
    Lorsque Lissandra, la femme de Vittorio, un psychiatre est retrouvée défenestrée, les soupçons se portent immédiatement sur son mari.
    Des cris ayant été entendus dans l’immeuble, la police ne pousse pas plus loin ses investigations et classe l’affaire comme drame passionnel.
    Eva Maria, dont la fille a disparu pendant le règne de la junte militaire ne croit pas en sa culpabilité et va mener sa propre enquête sur la base de cassettes enregistrées par Vittorio à l’insu de ses patients.
    Dans un scénario parfaitement maitrisé, Hélène Grémillon promène son lecteur
    à travers des hypothèses toutes plus crédibles les unes que les autres jusqu’à lui assener un dénouement inattendu dans les toutes dernières pages.
    J’avais, comme beaucoup été séduite par « Le confident » bien que lui ayant trouvé un léger manque d’élégance dans le style d’écriture.
    Rien de tel cette fois-ci, je suis totalement conquise.
    Du grand art !

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  • Buenos Aires, Argentine hiver 1987.
    Décor du deuxième roman d'Hélène Grémillon, elle a son style, celui du chuchotement même pour parler de choses affreuses le ton est feutré.

    Ici nous explorons l'âme humaine à travers le prisme de la mort d'une jeune femme : Lisandra (l'équivalent...
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    Buenos Aires, Argentine hiver 1987.
    Décor du deuxième roman d'Hélène Grémillon, elle a son style, celui du chuchotement même pour parler de choses affreuses le ton est feutré.

    Ici nous explorons l'âme humaine à travers le prisme de la mort d'une jeune femme : Lisandra (l'équivalent d'Alexandra) , jeune femme amoureuse du tango, mystérieuse , s'est-elle suicidé, a-t-elle été assassinée ?

    Un jour elle échoue sur le palier d'un psy comme un oiseau mazouté sur la plage, lourde de ses secrets, elle parle et elle s'enfuie; lui déjà subjugué la recherche, la retrouve, l'épouse. Sont-ils heureux...Après plusieurs années, leur mariage semble battre de l'aile.

    Mais la police du pays est expéditive, elle inculpe le mari de meurtre, ne sachant vers qui se tourner il va demander de l'aide à une de ses patientes Eva Maria.
    Celle-ci est plus morte que vive après la disparition de sa fille dans les évènements , Stella fait partie des Desaparecidos que "les folles de la place de mai" revendiquent; son mari l'a quitté et son fils vit sa vie tout en étant près d'elle, mais elle n'arrive plus à communiquer avec lui.

    Donc Eva Maria, va partir en quête d'indices, pouvant le disculper.

    Mais ce n'est pas facile, car Vittorio a donné semble t -il un faux alibi, sa voisine raconte qu'elle les entendait se disputer fréquemment.

    Par le jeu d'une conjugaison de styles (dialogues, récits, monologues etc) l'histoire se tisse en mêlant , ce qui est chère à l'auteur la petite histoire dans la grande.

    Cependant, lors du salon du livre à Paris, célébrant la littérature argentine, l'auteure était invitée à débattre et peu à l'aise elle a précisé que seul son livre se situait à Buenos Aires et que l'idée de l'intrigue lui était venue en lisant le livre d'un psy et qu'elle avait donc souhaité transposer l'histoire ailleurs. Pour cela elle s'est interrogée après avoir entamé l'écriture sur le bienfait d'aller sur place ou non; cela venait à un moment un peu compliqué pour elle et a choisi de se contenter du guide "le petit futé" et d'un plan de Buenos Aires...Mais personnellement je n'ai ressenti aucun dépaysement, car pas de description, pas d' élément argentin autre que la fameuse place. Un peu déçue d'autant que je n'ai pas eu d' empathie pour les personnages, et n'ai pas éprouvé cette tendresse éprouvée lors de la lecture du confident.

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