Le jury de la 16e édition, présidé par Jean-Christophe Rufin, a délibéré
Dans la beauté solaire de son île grecque, la jeune Pavlina aime celui qu'elle croit son cousin, Aris.
Elle ignore le secret qui dévastera pour longtemps la famille : Aris est du même père qu'elle. L'enfant qu'elle aura de lui, fruit d'un inceste, sera confié à l'adoption. La Fille des Louganis raconte l'histoire de ce double arrachement, à l'île et à l'enfant. A Genève, où elle émigre, Pavlina poursuivra son existence, comme absente à elle-même, sans renoncer au rêve - obsédant jusqu'à la folie - de retrouver un jour la fille qu'on lui a enlevée.
Sur ce thème à la fois intime et universel de l'abandon, sur le hasard des rencontres et la vertu des amitiés, sur les forces vitales et les péripéties du destin qui nous gouvernent par-delà le bien et le mal, Metin Arditi a composé un roman profond, saisissant d'émotion et de vérité.
Un roman où les femmes et la sensualité sont à la première loge.
L'histoire commence dans les années 50, sur une île grecque où la vie des pêcheurs n'est pas toujours facile, d'autant plus quand la malédiction s'abat sur les Louganis. le père de Pavlina et son oncle meurent tous les deux lors d'un accident sur la mer. C'est ce qui est connu mais l'histoire est en fait tout autre. Puis survient le suicide de son cousin dont Pavlina est très proche et même amoureuse. Elle est d'ailleurs enceinte de lui quand le drame arrive. La mère de Pavlina manoeuvre afin que l'enfant lui soit enlevé à la naissance. Pourtant, l'amour est au-dessus de tout et permet à Pavlina de survivre, ce qui lui permettra de penser et de chercher sa fille en permanence.
Beaucoup d'émotion à la fin du roman, (notamment quand Pavlina apprend la vérité sur l'identité réelle de son cousin) qui me font pardonner les quelques longueurs du départ.
Une île grecque où vit la famille Louganis. Des secrets et des drames familiaux. Une passion dévorante de Pavlina pour son cousin Aris.
De bons ingrédients pour faire un bon roman, mais pour moi c’est une petite déception. C’est agréable à lire, pas mal écrit, mais j’étais restée sur l’émerveillement du « Turquetto » et de la plume de Metin Arditi. Et ce deuxième roman que je lis de lui n’a pas sa puissance ni sa force et m’a laissée un peu sur ma faim.
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Dernière réaction par Corinne il y a 2 jours
Dernière réaction par Sandra Masara il y a 4 jours
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